[Sports Automobile] Sujet Général (3)

Rappel du premier message :

Parlons ici de la formule 1 moto gp ......

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Nico Rosberg (Mercedes) s'impose à Monaco 30 ans après son père, devant Vettel et Webber

Trente ans après son père, Keke, Nico Rosberg a remporté le Grand Prix de Monaco, signant sa première victoire de la saison. Au volant de sa Mercedes, le pilote allemand, qui avait survolé les essais, s'impose devant son compatriote Sebastian Vettel (Red Bull), toujours leader du Championnat des pilotes, et Mark Webber (Red Bull). Le Français Jean-Eric Vergne (Toro Rosso) se classe 8e.

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Formule 1
Räikkönen très énervé contre Pérez

Kimi Räikkönen était très remonté contre Sergio Pérez à l’arrivée du Grand Prix de Monaco.

Heurté par le Mexicain au freinage de la Nouvelle Chicane, le pilote Lotus a crevé, ce qui l’a contraint de rentrer au stand pour changer son pneu en fin de course.

Räikkönen a finalement rallié l’arrivée en dixième position alors qu’il limitait les dégâts en Principauté, pointant au cinquième rang avant cet incident. Il a du coup perdu de précieux points sur Sebastian Vettel, deuxième aujourd’hui, au championnat, 21 unités les séparant désormais.

"C’est une grosse déception. A cause d’une manœuvre stupide de Sergio, j’ai perdu beaucoup de points sur Sebastian au championnat et nous ne pouvons pas nous permettre de perdre des points de cette manière", déplore-t-il.

Pérez a rejeté l’entière responsabilité de l’incident sur Räikkönen, lui reprochant de ne pas lui avait laissé suffisamment de place (cliquez ici pour lire notre article). Ce qui énerve encore plus le Finlandais.

"Il m’a tapé à l’arrière et c’est tout. S’il pense que c’est par ma faute qu’il est arrivé trop vite sur le virage, alors, à l’évidence, il ne sait pas de quoi il parle, a poursuivi Iceman. Ce n’est pas la première fois qu’il percute quelqu’un en course. Apparemment, il s’attend à ce que les autres sachent toujours ce qu’il pourrait faire, lui laissent le passage ou aillent tout droit s’il arrive trop vite sur un virage et qu’il ne pourra pas tourner sans heurter quelqu’un. Ce n’est pas un week-end idéal, mais je n’y pouvais rien. Au moins, j’ai récupéré un point à la fin."

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Moto
Valentino Rossi à Monaco : « après le MotoGP, je veux courir en voiture »


Ce n’est un secret pour personne que Valentino Rossi aime courir en voiture. Que ce soit en rallye, sur circuit et même, par le passé, en monoplace.

Grand admirateur de la Rossa, le pilote Yamaha était aujourd’hui à Monaco pour supporter Alonso et par chance, un des journalistes du Corriere dell Sport y était également.

L’occasion pour lui de revenir sur la passion de l’Italien pour les quatre roues et l’occasion pour Rossi de réaffirmer son souhait de se reconvertir en pilote automobile une fois sa carrière sur deux roues terminée.

« J'aimerais courir en voiture mais seulement quand j’arrêterai le MotoGP. J'aimerais plutôt avec des pneus couverts comme en DTM ou en voiture de tourisme. Je pense que j'aurai encore quelques bonnes années, mais certainement pas au même niveau que sur deux roues. Je roulerai pour le plaisir ».

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Moto
CEV : Danilo cinquième et premier non espagnol. Quartararo deuxième du championnat.

Une semaine après le Grand-Prix de France où Jules Danilo avait montré de bonnes choses, il retournait ce week-end disputé le championnat d’Espagne. Et une fois encore, il a su montrer son potentiel dans un championnat très relevé.

Qualifié en neuvième position, ce qui était sa meilleure position en qualifications, le français en a profité pour également réaliser son meilleur résultat en course.

Après avoir mené son groupe durant une grande partie de la course, Jules termine à la cinquième place et premier pilote non espagnol.

A la fin de sa course, le pilote nous confiait : « La prochaine fois j’accroche le groupe de devant ! »

Fabio Quartararo, co-leader du championnat avant cette manche, termine quant à lui à la douzième place après un week-end compliqué où le vent l’aura fortement handicapé.

Il partait en course avec de mauvais réglages mais accroche néanmoins une douzième place qui lui permet de marquer quatre points important au championnat.

Au classement général, Fabio est deuxième et Jules, qui marque ses onze premiers points de la saison, est actuellement en quinzième position.

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Moto
CEV : Maria Herrera est entrée dans l’histoire au Motorland

Cet après-midi, avait lieu la seconde manche du Championnat d’Espagne de vitesse sur le motorland d’Aragon. Qualifiée en troisième position, Maria Herrera, qui pilote une KTM de chez Monlau, vient d’écrire une page de l’histoire du motocyclisme en devenant la première fille à remporter une course.

C’est une belle récompense pour celle qui, depuis sa plus tendre enfance, n’a cessé de croire en son rêve. Côté francophone, on retrouve Fabio Quartararo en douzième position, Loris Cresson en vingt-neuvième, Hugo Casadesus en trentième et Amaury Jakab en trente et unième.

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Formule 1
La FIA confirme que Mercedes et Pirelli sont dans de sales draps

La FIA a tenu à faire toute la lumière sur les essais privés effectués par Mercedes, pour le compte de Pirelli, dans la foulée du Grand Prix d’Espagne.

Red Bull et Ferrari ont déposé réclamation contre Mercedes, lui reprochant d’avoir enfreint le règlement sportif en utilisant sa monoplace de cette saison.

Après plusieurs heures de délibérations, les commissaires sportifs du Grand Prix de Monaco se sont toutefois dessaisis de l’affaire, renvoyant le dossier à la FIA. L’autorité sportive de la Formule 1 pourrait maintenant saisir son Tribunal International, devant lequel Mercedes encourrait de lourdes sanctions si elle était reconnue coupable.

Et il semble de plus en plus probable que l’équipe allemande, voire même Pirelli, risque réellement gros, à la lecture d’un communiqué distribué aux journalistes ce dimanche soir dans la salle de presse du Grand Prix de Monaco.

"Au début du mois de mai, Pirelli a demandé à la FIA si elle pouvait effectuer des essais de développement pour ses pneumatiques avec une équipe, en utilisant une voiture actuelle. Le contrat passé entre Pirelli et la FIA en tant que manufacturier unique l’autorise à mener jusqu’à 1.000 kilomètres d’essais avec n’importe quelle équipe, à condition que toutes les écuries aient reçu l’opportunité de le faire", a indiqué la FIA dans son communiqué.

"Pirelli et Mercedes-AMG ont été conseillés par la FIA que de tels essais de développement ne pourraient avoir lieu que s’ils étaient menés par Pirelli, l’équipe se chargeant de fournir la voiture et le pilote, et que de tels essais ne pourraient avoir lieu qu’à la condition que toutes les équipes aient reçu la même opportunité d’effectuer ces essais dans le but de garantir l’équité sportive."

"Après cette communication, la FIA n’a plus jamais reçu la moindre information concernant de possibles essais, tant de la part de Pirelli que de Mercedes-AMG. En outre, la FIA n’a jamais reçu confirmation que toutes les équipes avaient reçu l’opportunité de prendre part à ces essais."

"Par ailleurs, en ce qui concerne l’application du règlement sportif, comprenant le principe d’équité sportive, il devrait être rappelé que, conformément au Code Sportif International, sur la base d’un rapport des commissaires de l’épreuve, ou de sa propre initiative, l’organe judiciaire de la FIA peut porter une affaire devant le Tribunal International."

"Le Tribunal peut décider d’infliger des pénalités qui supplanteraient n’importe quelle sanction qui aurait pu être donnée par les commissaires de l’épreuve. Cette procédure serait suivie en application des règles judiciaires et disciplinaires de la FIA."

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GP Monaco: Grosjean plaide non coupable

Pénalisé de dix places sur la grille du prochain Grand Prix du Canada, après être entré en collision avec Daniel Ricciardo ce dimanche à Monaco, Romain Grosjean a tenu à se défendre devant la presse, tenant le pilote australien du team Toro Rosso pour responsable. "Je le suivais depuis 61 tours et j'étais juste derrière ses pneus arrières. Il n'avait plus d'adhérence, a ainsi déclaré le pilote Lotus. J'étais très proche de lui dans le tunnel et j'ai suivi sa trajectoire pendant plusieurs tours. Je me suis fait avoir quand il a freiné très tôt au milieu de la piste.

"

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WRC: Hyundai fait rouler sa i20

C'est au salon de l'auto de Paris que Hyundai avait annoncé son retour au championnat du monde des rallyes. Un retour qui sera effectué avec la i20 qui a effectué ses premiers tours de roues à la mi-mai avant d'enchainer la semaine dernière par une grosse séance de 3 jours avec 550 km au compteur. "Les enseignements tirés de ces premiers tests sont assez positifs, J'ai le sentiment que nous partons d'une bonne base. C'était crucial étant donné notre timing serré jusqu'à la fin de l'année", a expliqué à L'Equipe Michel Nandan responsable du projet.

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Moto
La Production Racer de Honda a tourné à Motegi

Il y a quelques jours Shuhei Nakamoto annonçait à motogp.com que les travaux sur la ‘production racer’, la RCV low cost, étaient en bonne voie mais qu’ils accusaient toutefois un certain retard.

Selon ses dires, la sortie en piste était proche et il n’avait pas menti puisqu’on apprend que le HRC a tourné avec cette machine les 23 et 24 mai passés sur le Twin Ring de Motegi.

Si les détails ne nous ont pas encore été communiqués et si ce n’est pas avec cette photo qu’on pourra en apprendre beaucoup plus, Shuhei Nakamoto, dans le communiqué Honda, s’est dit satisfait et surpris de ses performances.

« Le développement du modèle est actuellement un peu en retard mais les résultats des tests nous ont montré plus que ce à quoi nous nous attendions, en particulier au niveau de ses performances sur la piste. Nous ne pouvons pas annoncer son nom ou ses spécifications à ce moment mais nous aurons l'occasion d'annoncer les détails dans un avenir pas trop lointain. Nous allons continuer à développer la machine pour répondre à la réglementation sportive et technique 2014 du MotoGP et nous introduirons le modèle d'ici la fin de cette année ».

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Moto
Encore quelques heures pour commander vos billets du Mugello à prix réduit

Chaque année, le Grand Prix d’Italie, au Mugello, organise une prévente de ses entrées avec de belles réductions à la clé.

La période de réduction qui devait s’achever il y a quelques jours a été prolongée jusqu’à ce soir.

Pour en bénéficier, une seule adresse, cliquez ici !

Formule 1
Horner en rajoute une couche

Alors que les commissaires sportifs du Grand Prix ont renvoyé le dossier des tests secrets menés par Pirelli et Mercedes auprès de la FIA (qui pourrait saisir son Tribunal international, cliquez icipour en savoir plus) après la plainte conjointe de Red Bull et Ferrari, le patron de l’écurie autrichienne enfonce le clou.

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Pour Christian Horner, Mercedes a tout simplement agi en sous-main :

“Ce qui n’est pas correct, c’est qu’une équipe a agi en sous-main pour tester en toute connaissance de cause des pneus conçus pour cette saison. Les règles à propos des essais sont clairement définies dans le règlement sportif, et quand vous vous inscrivez au championnat en début d’année, vous souscrivez à ce règlement.”

“Ces jours-ci, on parle beaucoup des économies à réaliser. Vendredi, nous avons ainsi passé trois heures à discuter d’éventuels essais en cours de saison, à trouver une solution, et il apparaît que Mercedes en a déjà fait un paquet.”

Horner, qui affirme avoir découvert l’existence du test après qu’il a été mentionné lors d’une réunion du GPDA (l’association des pilotes de Grand Prix) vendredi, estime que les règles n’ont pas été respectées :

“Il est tout de même significatif que personne ne savait qu’une voiture de cette année, avec des pilotes titulaires, tournait à Barcelone, sur un circuit du championnat. On ne l’a appris que vendredi.”

"Je peux comprendre la volonté de Pirelli de mener des tests, et je peux concevoir que la FIA y soit favorable. Mais il y a une procédure qui n’a pas été suivie, puisque le règlement n’a pas été modifié. L’accord de toutes les équipes aurait dû être demandé, ce qui n’a pas été le cas.”

Enfin, le patron de Milton Keynes, décidément remonté, balaie l’argument de Ross Brawn, selon lequel son équipe n’aurait tiré aucun enseignement du test litigieux :

“Chaque fois que vous roulez avec ces voitures, vous apprenez. Vous apprenez des choses sur la fiabilité, sur le côté mécanique, sur le comportement de la voiture. Les pilotes aussi apprennent. Alors quand Mercedes prétend qu’elle n’a tiré aucun bénéfice de ce test, c’est très vraiment très difficile à croire.”

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Moto
Les moteurs de Rossi et Lorenzo seront-ils bridés ?

Alors que le MotoGP s‘apprêtent à débarquer au Mugello où les MotoGP atteignent des vitesses vertigineuses, c’est avec un handicap que Yamaha factory devrait effectuer le déplacement.

En jetant un oeil sur le fichier résumant l'allocation des moteurs, on peut constater que Yamaha a déjà plombé trois moteurs pour deux seulement du côté de chez Honda. Interpelé, nous en avons discuté avec une personne bien placée chez Yamaha qui nous confiat qu’à Jerez, un des pilotes factory avait rencontré un souci sur un de ses blocs et que depuis, par sécurité, ils avaient choisi de brider les moteurs.

« Pour une usine japonaise, bien plus que pour une européenne, ce qu’il faut à tout prix éviter, ce n’est pas de terminer cinquième mais bien, en live et devant le monde entier qui vous regarde, de casser un moteur. Pour eux, la fiabilité est quelque chose de primordiale. Dès lors, lorsqu’ils ont un doute, ils font en sorte de limiter les risques, même si c’est au détriment de la performance.

Parfois, il peut vous arriver des boulettes qui ne remettent pas spécialement en cause la fiabilité du bloc. Mais à partir du moment où il est plombé et que donc vous ne pouvez pas y toucher, qu’il doit réaliser un certain nombre de kilomètres et que vous n’en avez que 5 pour la saison, le moindre souci peut vite vous compliquer la vie pour le reste de la saison».

Yamaha a donc fort logiquement choisi de jouer la carte de la sécurité puisque le championnat est encore long. Maintenant, la question est de savoir quel impact aura cette mesure sur les performances des M1 au Mugello ? Réponse dès vendredi.

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Formule 1
La violente sortie de piste de Massa expliquée

La Scuderia Ferrari a indiqué qu’un problème technique était à l’origine de la violente sortie de piste dont a été victime Felipe Massa hier durant le Grand Prix de Monaco (cliquez ici pour voir les photos de l’accident).

Le pilote brésilien a tapé le rail à vive allure avant le freinage du premier virage à Sainte Dévote. Etourdi, il a été emmené à l’hôpital pour passer quelques examens avant de regagner son domicile monégasque.

"L’accident d’hier ressemblait à s’y méprendre à celui d’avant-hier qui s’était produit durant la troisième séance d’essais libres, mais, en fait, les deux accidents sont très différents", a indiqué Pat Fry, le directeur technique de Ferrari.

"A l’inverse d’avant-hier, il semble que l’accident d’hier puisse être attribué à un problème survenu au niveau de la partie avant-droite de la voiture. Il est trop tôt pour dire avec précision ce qui s’est passé. Nous ferons toute la lumière sur cet accident dans les prochains jours quand nous aurons regagné Maranello."

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Formule 1
L’affaire se corse pour Mercedes et Pirelli

Le team principal de l’écurie Lotus, Eric Boullier, a révélé que sa formation n’avait à aucun moment été contactée par Pirelli pour effectuer trois journées d’essais privés dans la foulée du Grand Prix d’Espagne.

"Non", nous a-t-il répondu quand il lui a été demandé si le manufacturier italien avait requis les services de Lotus pour effectuer des essais similaires à ceux de Mercedes.

La FIA a indiqué hier soir que le contrat la liant à Pirelli autorisait bien l’entreprise milanaise à effectuer 1.000 kilomètres de tests avec une monoplace de 2013, à la stricte condition que toutes les équipes aient reçu la possibilité de participer à ces essais. Le non catégorique de Boullier vient confirmer que Mercedes et Pirelli sont bel et bien dans de sales draps.

"Mon point de vue est qu’il y a un règlement sportif. Il y avait aussi un accord concernant les essais privés entre les équipes. Nous verrons ce que la FIA décidera, a ajouté le Français. Si la permission avait été donnée par la FIA d’effectuer ces essais, tout le monde aurait dû se voir offrir la possibilité d’y participer. A tout le moins, toutes les équipes auraient dû en être informées."

Boullier estime par ailleurs que Mercedes a tiré un avantage indéniable de ces trois journées d’essais sur le Circuit de Catalunya.

"Il est évident qu’ils ont tiré un avantage de ces essais. S’ils l’ont fait, c’est qu’ils pensaient avant tout qu’ils pouvaient en tirer profit", a-t-il indiqué.

Il est désormais plus que probable que la FIA saisisse son Tribunal International pour statuer sur cette infraction au règlement sportif. Mercedes encourt de lourdes sanctions.

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Formule 1
Alonso agacé par le pilotage de Pérez

Fernando Alonso estime que Sergio Pérez devrait se calmer, jugeant le pilote mexicain trop fougueux en piste.

Après avoir frôlé l’accrochage avec son équipier Jenson Button à Bahreïn, Checo s’est illustré hier à Monaco. Il a ruiné la course de Kimi Räikkönen en le percutant au freinage de la Nouvelle Chicane et il n’est pas passé loin d’en faire autant avec Alonso.

"Je ne souhaite pas créer de polémique, nous a déclaré le Champion du monde espagnol. Tout ce que je peux dire, c’est que ce n’est pas le premier incident dans lequel il est impliqué cette saison."

"Il s’est fait remarquer à Bahreïn. Ici, j’ai dû couper la chicane pour éviter de m’accrocher avec lui mais Kimi [Räikkönen] n’a pas été aussi chanceux… Seule McLaren doit être contente de son comportement."

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Formule 1
Boullier va s'entretenir avec Grosjean...

Eric Boullier, le team principal de l’équipe Lotus, a révélé qu’il allait s’entretenir avec Romain Grosjean dans les prochains jours, à l’usine d’Enstone, après les trois accidents commis par son pilote durant le week-end du Grand Prix de Monaco (cliquez ici pour voir les photos des crashs).

Le Français est sorti deux fois de la piste à Sainte Dévote en essais libres avant d’harponner la Toro Rosso de Daniel Ricciardo en course, les contraignant tous les deux à l’abandon.

"Romain doit garder sa pointe de vitesse et s’assurer qu’il retrouve le contrôle qu’il avait en début de saison. Je vais m’asseoir avec lui et avoir une discussion", nous a indiqué Boullier.

"On peut voir qu’il était clairement performant le week-end dernier à Monaco, ce qui est d’autant plus frustrant. Nous aurons une petite discussion à tête reposée quand nous serons de retour à l’usine. Il a fait un excellent boulot durant l’hiver pour régler tous ses problèmes de l’an dernier. Il ne faut pas dramatiser la situation, je ne pense pas qu’il commence à retomber dans ses travers de la saison dernière."

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Moto
6 questions à Mike Di Meglio et Gianluca Montiron : l’analyse du début de saison

Depuis son arrivée en Moto2, Mike Di Meglio, le champion du monde 2008 en 125, n’a pas réellement réussi à s’imposer.

Que ce soit chez Aspar en 2010, chez Tech3 en 2011 ou la saison passée où il sera passé par Speedmaster, MZ et Kiefer Racing.

Face à une impasse en fin de saison dernière, c’est chez JiR que le Toulousain est en train de rebondir avec comme récompense de ses nombreux efforts hivernaux, une convaincante septième place au Mans.

Le Français progresse et si après une course difficile à Jerez, on craignait de voir revenir le spectre de la déception, c’est tout le contraire qu’il nous a offert pour sa course nationale.

Nous l’avons rencontré en compagnie de Gianluca Montiron pour revenir, avec eux, sur ces premiers mois d’une collaboration où on sent que pilote comme écurie sont là pour saisir une chance.

« GPi : Après quelques mois de collaboration, quel est le point de vue du team manager sur son pilote et le point de vue du pilote sur son équipe ?

Gianluca Montiron : Lorsque nous avons engagé Mike, nous l’avons fait parce qu’il a été Champion du Monde en 125cc et que nous croyons qu’il a le potentiel pour réussir en Moto2 parce qu’un champion reste un champion.

Il vient de trois saisons relativement compliquées où il est passé par plusieurs teams et différentes motos et je pense que nous sommes maintenant dans un processus de reconstruction de sa confiance en la moto mais également en son équipe. Du coup, le parcours est un peu plus long que celui que nous voudrions en matière de résultats sportifs.

Mais nous procédons étape par étape et pendant l’hiver et ces premières courses, nous avons d’abord essayé de lui offrir la confiance nécessaire pour pouvoir changer son style de pilotage parce que nous avons remarqué que pour réussir en Moto2, il a besoin d’un style différent de celui qu’il a utilisé jusqu’aujourd’hui.

La dynamique du quatre temps est différente de celle du deux temps. Le fait de ne pas avoir de contrôle de traction impose un style différent. Les 10 premiers se sont probablement adaptés à ce standard et du coup, la cible est plus élevée. Depuis 2010, lorsque nous nous sommes tous lancés dans le Moto2, les choses ont changé. Lorsque Corsi ou de Angelis ont roulé pour JiR, ils ont réussi de bonnes prestations qu’ils n’ont plus répétées par la suite, ce qui montre que le niveau s’est élevé. Avec Mike, nous repartons de zéro pour nous adapter à ce nouveau style de pilotage et c’est qui fera la différence.

Nous sommes confiants et nous savons ce que nous avons à faire pour obtenir de meilleurs résultats parce que nous sommes-là pour essayer d’atteindre les places qui comptent.

Mike Di Meglio : Lorsque je suis arrivé, je n’avais pas beaucoup de feeling avec l’avant de cette moto mais ce qui m’a plu, c’est d’avoir toute cette aide du Japon. Ils m’ont été d’une aide précieuse pour trouver une base de réglages qui me convenait. C’est eux qui ont conçu cette moto et c’était donc eux les mieux placés pour savoir ce qu’on devait essayer et ce qu’on devait modifier pour qu’elle me plaise. Ils ont été là tout l’hiver pour effectuer le travail de fond. Leur assistance a été capitale aussi parce que lorsque les Japonais font quelque chose, ils le font à fond et c’est une mentalité que j’admire.

GPi : Chez JiR, l’équipe est complètement différente par rapport à celle qui encadrait Johann Zarco et pour Mike, le team est tout nouveau. Comment ça se passe une découverte ? C’est difficile de recommencer avec de nouvelles personnes ?

M.DM : La saison dernière, j’ai changé trois fois d’écurie alors je pense être rodé à ces changements (rires) ! Ca ne pouvait donc pas être pire !

C’est clair qu’un travail sur plusieurs années est plus agréable mais dans ma carrière, ça ne m’est jamais arrivé. On prend les choses étape par étape, d’abord les résultats et puis on pensera à travailler pour le futur.

G.M. : L‘important, c’est d’avoir la conviction de mettre tout en œuvre pour permettre au pilote d’évoluer à son meilleur niveau. Je pense que de notre côté, nous faisons tout pour mettre Mike dans les meilleures conditions. Après, on peut y arriver, ou pas, mais nous, de notre côté, on met tout en œuvre pour que cette collaboration soit un succès.

GPi : Gianluca, j’ai pu lire que tu avais estimé que la MotoBi était un des meilleurs packages de base en Moto2. Pourquoi en es-tu convaincu car finalement, les adversaires comme Kalex ou Suter sont relativement forts ?

Les techniciens de TSR sont ceux qui gèrent les Honda officielles. Ils participent, pour le HRC, aux huit heures de Suzuka et au championnat japonais. Ils ont donc une connaissance spécifique et approfondie de ce qu’est la CBR 600 et la 1000. Dès lors, je pense qu’ils ont le « know how » pour construire une moto compétitive. C’est pourquoi j’ai confiance dans le fait que nous disposons d’une moto compétitive. Je me base aussi sur le fait que par le passé, nous avons obtenu des places qui comptent. N’avoir qu’un seul pilote n’est pas relevant car les japonais ont une méthode de travail ‘step by step’ qui fait qu’ils avancent au fur et à mesure des tests. Ils ont également un pilote d’essai au Japon qui mène des essais sur toutes les modifications qui nous arrivent. Nous nous sommes divisés le travail. Nous, de notre côté, on travaille sur l’aérodynamique alors que de leur côté, ils travaillent sur le setting du châssis. Nous avons un contrat d’exclusivité avec eux pour essayer les modifications et c’est un avantage car TSR est une référence pour nous, mais également pour Honda.

GPi : Quand vous dites que vous travaillez sur l’aérodynamique, le travail se résume sur les circuits ou le gros du travail s’effectue-t-il à la maison ?

Le gros du travail est réalisé à l’usine et testé en course. On travaille en soufflerie et ensuite, on amène les évolutions sur la piste pour mener des comparaisons car ce n’est pas parce que les résultats semblent bons au banc d’essai qu’ils le sont sur le circuit. Il y a de nombreuses petites choses que nous développons de course en course et que nous continuerons à développer tout au long de la saison.

GPi : J’ai pu lire, après Jerez, où vous avez disputé une mauvaise course, que chacun s’était remis en question pour trouver ce qui n’avait pas fonctionné. Quelles étaient les conclusions ?

G.M. : C’est une combinaison de choses qui n’a pas fonctionné et nous savons que sur certaines pistes le travail à effecteur est plus grand qu’ailleurs et donc, nous sommes conscients de ce qui nous manque et nous travaillons pour progresser le plus rapidement possible. Les courses sont comme ça. Ca nous est arrivé à Jerez et nous avons mis tout en œuvre, notamment en changeant notre chef-mécanicien, pour que ça ne se reproduise pas au Mans. L’important, c’est de ne jamais perdre confiance en notre projet.

M.DM : Nous avions beaucoup de références à Jerez parce que nous y avons tourné longuement en hiver. Nous y avions déjà rencontré quelques soucis mais pas comme lors du Grand Prix. Les conditions avaient fortement changé par rapport à l’hiver. Nous avons cherché à comprendre pourquoi nous avons été mis en difficulté et je pense qu’au Mans, nous avons montré que le travail d’analyse a porté ses fruits.

GPi : Quelle serait le classement idéal en fin de saison ?

G.M. : Clairement, nous devons arriver à lutter pour le podium. C’est l’objectif

M.DM : C’est pareil pour moi parce que ça fait maintenant depuis 2009 que je n’ai plus eu l’occasion de monter sur un podium. J’ai une faim incroyable de le retrouver. On donne le maximum pour être devant le plus vite possible, que ce soit le team ou moi pour changer mon style de pilotage ».

Et pourquoi pas au Mugello alors…

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Formule 1
Boullier critique
Sergio Pérez est sous le feu des critiques pour son pilotage jugé trop agressif durant le Grand Prix de Monaco.

Le Mexicain est passé à deux doigts de s’accrocher avec Fernando Alonso en début de course. Kimi Räikkönen n’a malheureusement pas été aussi chanceux, perdant la cinquième place et de gros points au championnat après avoir été heurté par le pilote McLaren au freinage de la Nouvelle Chicane.

Après Alonso, c’est désormais Eric Boullier qui demande à Checo de se calmer.

"Si vous regardez les images vidéo, il (Pérez, ndlr) a retardé son freinage au maximum, jugeant mal le point de freinage de Kimi. Je pense qu’il en a trop fait", nous a indiqué le team principal de l’équipe Lotus.

"Il s’est presque accroché avec son équipier à Bahreïn. Ici, il y a eu aussi pas mal d’action. Il essaye trop souvent d’être trop agressif et de tenter quelque chose qui, dans la plupart du temps, est impossible à faire. Après, c’est le problème de McLaren, pas le mien." Pérez

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Formule 1
Interview de Stefano Domenicali sur l’affaire Mercedes

Stefano Domenicali était très attendu hier à Monaco, dans le motor-home de la Scuderia, sur le coup de 18 heures. L’entièreté de son traditionnel point presse d’après Grand Prix fut consacrée à la vive controverse du moment impliquant Mercedes et Pirelli. Le team principal des rouges a tenté de répondre aux interrogations des journalistes. F1i était naturellement présent pour vous rapporter ce que l’Italien avait à dire.

Pourquoi avez-vous porté réclamation contre Mercedes ?

"Nous avons porté réclamation car, grosso-modo, c’est le seul moyen d’avoir une clarification sur un point du règlement qui est flou. Nous estimons qu’il n’est pas flou, que vous n’êtes pas autorisé à utiliser votre voiture de 2013 pour n’importe quelle sorte d’activité que ce soit durant la saison. Nous voulons savoir si c’est possible. Si c’est le cas, alors nous serons les premiers à lever notre main pour nous assurer de pouvoir faire la même chose."

"Comme vous le savez, Ferrari milite pour le retour d’essais privés durant la saison. Nous voulons comprendre ce qu’il en est, rien de plus. Si la décision rendue par la FIA venait à infirmer notre sentiment, alors nous devrions réagir au plus vite pour pouvoir effectuer à notre tour ce genre d’essais."

Estimez-vous que Mercedes en ait tiré un quelconque avantage ?

"C’est difficile à dire. Naturellement, avec trois jours d’essais privés… Je ne vais pas m’étendre sur le sujet car je ne sais pas ce qu’ils ont fait. Je n’étais pas là. Je n’en sais pas plus que vous."

Pourquoi ne l’avez-vous appris qu’à la veille du Grand Prix de Monaco ? Cela semble un peu surprenant de ne pas avoir été au courant plus tôt…

"Je suis tout à fait d’accord avec vous. Il y a eu des discussions samedi soir lors d’une réunion de l’Association des Pilotes de Grand Prix (GPDA). Et c’est de cette façon que nous l’avons appris."

Pirelli prétend ne pas avoir seulement demandé à Mercedes de mener ces essais. Est-ce vrai et, si oui, pourquoi Ferrari n’a-t-elle pas saisi l’opportunité ?

"Non. Pour nous, il était très clair que nous ne pouvions pas mener ces essais avec une voiture de cette saison. Si nous estimions que ces essais étaient autorisés, croyez moi bien que nous aurions été en pole position pour les mener."

Si la FIA estimait que ces essais n’étaient pas autorisés, quelle serait la sanction appropriée ?

"Je pense que c’est intéressant car quand il y a un manquement au règlement sportif, vous vous attendez à ce qu’une pénalité tombe. Je ne vois pas de solution car il n’y a aucun précédent."

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Red Bull-Horner: "Mercedes a agi de manière sournoise"



Christian Horner a expliqué les raisons qui ont poussé Red Bull à porter réclamation suite à la révélation de tests privés réalisés par Mercedes avec Pirelli dans la foulée du dernier Grand Prix d'Espagne.

"Le problème, c'est qu'une équipe, d'une manière sournoise, a consciemment testé les pneus qui ont été conçus pour le championnat de cette année", a déclaré à Autosport le patron de Red Bull Racing à la suite du Grand Prix de Monaco remporté par Nico Rosberg sur Mercedes devant ses deux pilotes, Sebastian Vettel et Mark Webber. "Nous considéronsque les règles sur les essais sont très claires dans les règlements sportifs, et que, quand vous vous engagez dans le championnat au début de l'année, vous signez ces règlements",

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Moto
Xavier Simeon : « avec SAG, on croit l’un en l’autre »

Alors que le MotoGP va débarquer sur la célèbre et magnifique piste du Mugello, nous sommes revenus avec Xavier Simeon sur le premier podium de sa carrière en Championnat du Monde Moto2.

Une fois encore, le pilote Maptaq s’est montré modéré face à ce premier succès car, comme il se plaît à le rappeler, son objectif initial était le top10.

Mais le Belge progresse à chaque sortie et la symbiose avec son équipe fait des merveilles. Difficile donc de s’empêcher de penser que ce top10, c’est déjà plus ou moins de l’histoire ancienne.

« GPi : Lorsque tu es entré dans le parc fermé au Mans, on a eu l’impression que tu versais quelques larmes dans ton casque. L’émotion était grande ?

Sincèrement je n’ai pas vraiment versé de larmes même si j’étais très ému. Il faut dire que comme en qualifications, la course n’a pas été jusqu’à son terme et du coup, il n’y a pas tout à fait la même adrénaline finale.

GPi : c’est vrai que quand on y pense, pour ta meilleure qualification, la pluie t’a empêché d’aller jusqu’au bout et pareille pour la course. La pluie a finalement été cruelle avec toi!

Cruelle je ne dirais pas (rires) ! Je suis évidemment content d’être monté sur le podium car c’est la concrétisation des objectifs que nous nous étions fixés. Je dois même dire qu’on ne s’y attendait pas aussi tôt dans la saison. On a une bonne méthode de fonctionnement et on progresse sans cesse, c’est une belle satisfaction.

GPi : En FP1, tu tombes, tu reviens en FP2 et directement, tu es devant. C’est le signe d’un pilote en forme ça !

Il y a des chutes qui font perdre confiance et d’autres pas. Elles font partie de notre métier, on est formaté pour ça et on connaît ça depuis la tendre enfance. Au final, cette chute m’a quelque peu libéré car je poussais sans cesse et je ne tombais jamais. Comme on dit d’un pilote qui ne tombe pas, qu’il ne va pas à la limite, on a vu que parfois j’y vais aussi (rires).

Plus sérieusement, cette chute n’est ni une erreur, ni le fait que d’avoir dépassé la limite. Je suis passé sur une bosse et je n’ai rien su faire et au final, elle m’a fait du bien. Au final, quand tu ne tombes pas, tu te dis que la chute te pend au-dessus de la tête et là, c’est terminé, elle est venue.

GPi : Quand la course s’est terminée, tu étais second et tu revenais sur Scott Redding, tu aurais aimé que la course ait jusqu’au bout ?

Non et en fait, je trouve que la Direction de course a bien fait de brandir le drapeau rouge. La pluie est arrivée sans prévenir et uniquement sur certaines parties du circuit. A aucun moment, je ne me suis demandé pourquoi ils sortaient le drapeau rouge. Que je sois 2 ou 3, à ce moment-là, ça ne comptait pas, l’important était de monter sur le podium.

GPi : Comment s’est passé le débrief avec SAG ?

Ils étaient extrêmement heureux car ils viennent aussi de trois saisons compliquées. Depuis le début de cette aventure, on a cru l’un envers l’autre. A la base, il n’y avait aucune obligation de résultat alors le fait que ça arrive, ça crée encore plus d’émotion.

Mais voir cette équipe à fond derrière moi, c’est une source de motivation intarissable. De plus, j’ai un équipier (Marcel Schrötter) qui tourne correctement la poignée et ça me motive encore plus pour ne pas le laisser passer devant moi.

GPi : Quelle est ta marge de progression sur la Kalex ? Tu sens que tu peux encore aller plus loin avec cette moto ?

J’ai envie de dire que oui mais avant tout, je cherche à ne pas m’enflammer. On a fait troisième au Mans mais si on n’accroche pas le podium au Mugello, il ne faudra pas être déçu pour autant. Mon objectif c’est d’être dans le top 10 à la fin du championnat. Depuis le début de la saison, le top10 était l’objectif de chaque course mais c’est clair qu’avec les deux dernières courses qu’on vient de vivre, il se peut que dans ma tête, je me fixe des objectifs un peu plus élevés.

Je sais que j’ai une moto qui me permet de rouler comme j’en ai envie et j’ai une équipe qui comprend exactement mes indications. Du coup, quand je monte en piste, c’est beaucoup plus facile pour moi. Du moins jusqu’à présent ».

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Formule 1
Grosjean sur la sellette?

Dans leurs commentaires après la course sur la BBC, Eddie Jordan et David Coulthard se sont montrés très critiques envers Romain Grosjean.

"Après quatre erreurs en un week-end, et la pénalité qui lui est infligée, on peut se demander si Grosjean sera dans la voiture à Montréal", a déclaré l'ancien patron d'écurie. Son contrat comporte une clause de révision de ses performances toutes les trois courses, or là nous sommes à la sixième... Lotus pourrait se priver de ses services sans conséquence."

De son côté, Coulthard n'a pas été tendre non plus : "Romain a toujours été rapide, mais il n'a pas encore démontré qu'il est un bon pilote...".

Certaines factions à Enstone seraient peu favorables au maintien du Franco-Suisse, mais on voit mal Grosjean être remplacé au Canada, faute d'un réserviste capable de tirer le meilleur parti de la E21 : le troisième homme est officiellement Davide Valsecchi, peu à son affaire lors du seul test qu'il effectua à Barcelone en février. L'an passé, lors de sa suspension après l'accident au départ du Grand Prix de Belgique, Romain avait été remplacé par Jérôme D'Ambrosio, lequel ne s'était classé que 13ème à Monza.

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Moto
Aprilia préparerait des améliorations substantielles pour son ART

Alors que Honda prépare sa ‘Production Racer’, que Yamaha s’apprête à louer ses moteurs et que Suzuki a tourné avec Randy de Puniet à Motegi, Aprilia ne serait pas en reste.

En effet, si on en croit les rumeurs du paddock, relayées par motocuatro, le constructeur italien s’apprêterait à apporter des améliorations substantielles de son ART.

En premier lieu, l’ART 2014 devrait accueillir l’ECU Standard proposé par la Dorna, histoire de ne pas s’obliger à devoir réduire sa quantité d’essence. Deuxièmement, Noale s’apprêterait également à équiper sa machine de soupapes pneumatiques.

Mais pour qui Aprilia prépare-t-elle toutes ces évolutions ? Depuis le début de la saison, Carmelo Ezpeleta entendait obliger Suzuki a entrer en MotoGP en utilisant une structure existante et c’est Aspar, l’écurie d’Aleix Espargaro et de Randy de Puniet, qui tenait la corde.

Toutefois, les temps changent et le CEO de la Dorna serait maintenant ouvert à une arrivée de Suzuki en tant que constructeur à part entière.

Dès lors, Aprilia aurait repris les négociations avec Aspar Martinez…affaire à suivre.

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Moto
Yoshinari Matsushita a perdu la vie au TT de l’Ile de Man

Yoshinari Matsushita, le pilote japonais de 43 ans a perdu la vie aujourd’hui pendant la session de qualifications de l’édition 2013 du Tourist Trophy de l’Île de Man.

Originaire de Saitama, Yoshinari Matsushita, qui avait disputé le TT pour la première fois en 2009

, a été impliqué dans un incident à Ballacrye, dans le nord de l'Île.

Toutes nos condoléances vont bien entendu à sa famille.

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Moto
Maria Herrera : « j’ai essayé de rester calme »

Hier, Maria Herrera est devenue la première fille de l’histoire du CEV à remporter une course dans ce championnat et c’est une prouesse qui aura été saluée aux quatre coins de la planète moto.

C’est une belle victoire que la jeune fille originaire de Toledo a conquise de haute lutte puisqu’elle elle aura disputé l’entièreté de la course sous la menace de Jorge Navarro et d'Alejandro Medina.

« Ce fut une course difficile, parce que j'ai roulé en première position presqu’à chaque tour. J'ai essayé de garder mon rythme et de rester calme, même si l'arrière de la moto dérapait un peu. C'est la première fois que je gagne une course dans le CEV Repsol et c'était très difficile. Je suis consciente que sans le soutien des sponsors et l'équipe, ça n'aurait pas été possible et à partir de maintenant je dois continuer à progresser et atteindre mes objectifs ».

Maria Herrera a-t-elle gagné son ticket pour le Champion du Monde ? On l’espère !