[Sports Automobile] Sujet Général (3)

Rappel du premier message :

Parlons ici de la formule 1 moto gp ......

Citation :: Moto
Randy de Puniet va tester la Suzuki sur le Twin Ring de Motegi.

Comme nous vous l’annoncions samedi (lire ici) Randy de Puniet a pris l’avions, hier, en direction du Japon pour faire la connaissance de sa nouvelle amie, la Suzuki GSV-R.

Le Français y mènera un premier test de deux jours, sur le Twin Ring de Motegi, au guidon du nouveau prototype d’Hamamatsu.

On se réjouit bien entendu, de connaître ses impressions si du moins il est autorisé à nous les donner.

Citation :: Moto
Au Mans, le soleil c'était les Paddock girls...

Pour ce Grand Prix de France, on n’a pas vraiment été épargné par la météo puisqu’il a beaucoup plu lors des journées de samedi et de dimanche.

Pourtant, une fois de plus, c’est le grand spectacle que le Bugatti nous a offert avec une course Moto2 somptueuse et une course MotoGP qui l’était presque tout autant.

Et puis, si le soleil n’était pas présent dans le ciel, les rayons de soleil étaient un peu partout dans le paddock et comme Shoot me if you can aime bien le soleil, il l’a ramené pour vous dans ses valises !

Retrouvez toutes les photos du week-end en cliquant ici

Citation :: Formule 1
Hülkenberg ne peut cacher sa déception

Nico Hülkenberg est déçu par son début de saison avec sa nouvelle équipe Sauber. En quittant Force India pour la formation helvétique, l’Allemand espérait effectuer un pas en avant dans la hiérarchie, et non en arrière…

"Nous n’avons clairement pas répondu à nos attentes en ce début de saison. Les résultats obtenus ne sont pas ceux que nous attendions", a-t-il confié au journal espagnol El Confidencial.

"Il reste encore beaucoup de courses à disputer cette année, mais je veux me battre pour des victoires, et être champion un jour. Pour y parvenir, je dois rejoindre une équipe de pointe. Et pour cela, je dois faire de mon mieux avec la voiture que j’ai à ma disposition chaque week-end de Grand Prix."

Citation :: Formule 1
Williams dans l’expectative

Inquiétée par de modestes Caterham et Marussia au Grand Prix d’Espagne, Williams ne sait pas à quoi s’attendre pour le Grand Prix de Monaco de ce week-end.

Si l’équipe basée à Grove disposera de quelques évolutions, rien ne garantit qu’elle ne terminera pas une nouvelle fois la course dans les méandres du peloton…

"Nous avons un peu progressé à Barcelone mais cela fut malgré tout un week-end éprouvant pour chacun d’entre nous dans l’équipe, a commenté le directeur technique Mike Coughlan. Nous avons quelques nouveautés pour Monaco conçues spécifiquement pour ce circuit. Nous devons continuer à travailler dur même si nous espérions un tout autre début de saison."

Pastor Maldonado a ajouté : "Nous travaillons sans relâche à l’usine pour voir les domaines dans lesquels nous pouvons nous améliorer. J’espère que nous réaliserons des progrès avec notre FW35 en Principauté et que nous y obtiendrons un meilleur résultat qu’en Espagne."

Citation :: Formule 1
Kristensen commissaire en Principauté

Tom Kristensen, huit fois lauréat des 24 Heures du Mans, sera le pilote qui épaulera les trois commissaires de la FIA durant le Grand Prix de Monaco de ce week-end.

En ce qui concerne la zone de DRS, le point de détection sera situé 44 mètres après le virage 16. Les pilotes qui en auront l’autorisation pourront activer leur aileron arrière ajustable 18 mètres après le virage 19.

Par ailleurs, le circuit de Monaco a été resurfacé à différents endroits par rapport à la dernière édition. La voie des stands et la portion située entre les virages 1 et 3 disposent ainsi d’un asphalte neuf.

Citation :: Formule 1
Grande première pour Bottas…

Des cinq débutants de la saison 2013 de Formule 1, Valtteri Bottas est le seul qui n’a jamais couru en Principauté dans les catégories inférieures.

Jules Bianchi a effectué ses débuts sur le Rocher en Formule Renault 3.5 en 2009 et y a aussi couru en GP2 Series. Les premiers tours de Giedo van der Garde remontent à 2005 lorsqu’il courait en F3 Euro Series. Le pilote néerlandais a par la suite limé le bitume monégasque en Formule Renault 3.5 et GP2.

Max Chilton a débuté à Monaco en Formule Renault 3.5 en 2009. Il y a ensuite couru de 2010 à 2012 dans l’antichambre de la Formule 1. Finalement, les débuts d’Esteban Gutiérrez sur ce circuit mythique datent d’il y a deux ans, lui aussi en GP2.

Bottas s’apprête donc à vivre un week-end difficile en Principauté, d’autant plus qu’il ne sera pas aidé par le manque de compétitivité de sa Williams.

"Je n’ai jamais couru à Monaco et j’ai vraiment hâte d’y être car c’est un circuit tellement mythique. Il s’agit du tracé le plus sélectif du calendrier pour les pilotes : un bon vieux circuit urbain qui ne pardonne pas la moindre erreur. Il me tarde d’y courir et de frôler les rails", a-t-il confié.

Citation :: Formule 1
Button aborde Monaco avec optimisme

Après avoir enduré un Grand Prix difficile il y a un peu moins de deux semaines en Espagne, Jenson Button aborde avec confiance l’épreuve la plus glamour du calendrier de la Formule 1.

Le Champion du monde 2009 espère voir son écurie McLaren, actuelle sixième force du plateau, poursuivre sa remontée au sein du peloton.

"Tout le monde au sein de McLaren travaille sans relâche depuis le Grand Prix d’Espagne, a déclaré le pilote britannique. Nous ne sommes pas encore là où nous voulons être en termes de compétitivité, mais je suis convaincu que nous progresserons un petit peu à Monaco."

"Nous continuerons à développer la MP4-28 jusqu’à ce qu’elle soit capable de se battre à l’avant du peloton. Il n’y a aucune autre alternative pour une équipe comme McLaren, qui vit pour gagner. L’objectif pour Monaco est de placer nos deux voitures dans les points, comme nous l’avons fait à Barcelone."

Citation :: Formule 1
Pérez en quête de son premier point sur le Rocher

Sergio Pérez espère être en mesure de terminer dans le top 10 ce dimanche au terme des 78 tours de course du Grand Prix de Monaco.

L’année dernière, le pilote mexicain avait échoué à la porte des points avec Sauber.

"J’ai disputé mon premier Grand Prix de Monaco la saison dernière. J’avais terminé à une place d’inscrire mon premier point et je compte bien changer ça cette année", a expliqué Checo.

"La MP4-28 est en constante progression, à mesure que nous introduisons des nouveautés et que nous comprenons mieux son comportement. Elle était plus facile à conduire en Espagne il y a deux semaines, en particulier quand elle était peu chargée en carburant. Cela sera primordial à Monaco car les qualifications sont toujours très importantes."

Citation :: Moto
Montiron : "le manufacturier unique contraint les privés à la figuration"

Depuis sa création, l’écurie JiR, pour Japan Italy Racing, a été active en 250, en Moto2 bien entendu, mais on se souviendra aussi que la structure de Gianluca Montiron avait également joué un rôle en vue en MotoGP.

En effet, en 2004, en misant sur un pari entièrement japonais (pneus, pilote et moto), l’écurie de Monte Carlo avait réussi à décrocher trois poles et deux victoires grâce à Makoto Tamada.

A l’époque, JiR avait décidé de s’associer avec le manufacturier japonais Bridgestone et c’est ce qui lui avait permis de se mettre en évidence.

Depuis cette époque, les temps ont changé et les contraintes économiques ont commencé par dévorer les pilotes et puis doucement les teams. Le rôle des teams managers est de sentir le vent tourner, chose que Gianluca Montiron a faite.

« Les temps changent et on doit regarder la réalité en face. L’économie a changé et donc le Championnat du Monde doit regarder vers d’autres frontières. Pour l’instant, tout est difficile pour un team, qu’il soit en MotoGP, en Moto2 ou en Moto3. Trouver une base en Europe, c’est compliqué ».

Ce qu’il faut, c’est se démarquer et sur ce point, c’est ce que Gianluca Montiron avait fait avec brio lorsqu’en 2004, il acceptait de se lancer avec Bridgestone, Honda et Tamada.

« Les petites structures ont besoin de quelque chose en plus pour se démarquer. Dans mon cas, lorsque nous nous sommes lancés en MotoGP, nous étions partis avec un pilote anonyme qui était Makoto Tamada. A moto égale, il ne pouvait pas rivaliser avec Valentino Rossi. Dès lors, la philosophie derrière ce choix était de lui donner un petit quelque chose en plus qui, à l’occasion, pouvait lui permettre de faire la différence. Et c’est ce que Tamada avait fait en 2004 en accrochant trois poles position et deux victoires.

Nous avions donc réussi à montrer que techniquement, avec des éléments différents, nous avions réussi à établir un programme de travail qui, au final, a amené Bridgestone en Championnat du Monde ».

Toutefois, ce genre d’exploit, à l’heure actuelle semble impossible ou en tout cas très difficile puisque les pneus sont les mêmes pour tous. « Au moment où nous nous sommes lancés dans cette aventure, nous avions en tête un plan clair de développement mais faire ça à l’heure actuelle, ce serait difficile. Avec la situation économique qui est encore plus compliquée pour les petites structures et avec le monopole de Bridgestone, je ne vois pas comment une petite écurie pourrait mettre sur pied un programme pour gagner quoi que ce soit en catégorie reine ».

Le constat est dur mais pourtant le team manager Italien ne voit aucune bonne raison de monter en MotoGP dans ces conditions : « je trouve bien plus gratifiant et bien plus sensé de monter une équipe en Moto2 ou en Moto3 qui peut être gagnante plutôt que d’aller en MotoGP pour y faire de la figuration et remplir la grille ».

La seule solution serait de trouver un autre moyen de se démarquer car bien que regrettable, Montiron reconnaît que pour l’instant, avoir plusieurs manufacturiers qui se font la guerre en Grand Prix, c’est financièrement inconcevable. « L’économie est ce qu’elle est et plus aucun manufacturier ne peut se permettre de faire monter les coûts à l’infini comme c’était le cas en 2004 ou en 2005. Cette compétition entre manufacturier, plus aucun ne pourrait la soutenir alors ce qu’il faut, c’est regarder vers d’autres marché et peut-être trouver de nouveaux constructeurs pour entrer en MotoGP avec un projet différent ».

Stay tuned !

Citation :: Formule 1
Räikkönen “pas surpris” d’être deuxième au championnat

Kimi Räikkönen avoue ne pas être étonné pas son très bon début de campagne.

Après sa victoire en Australie, le Finlandais a en effet chaque fois terminé à la deuxième place, sauf en Malaisie (7ème), ce qui lui a permis d’inscrire 36 points de plus que l’an passé après cinq courses.

“Je ne vois pas pourquoi on devrait être surpris, il n’y a aucune magie là-dedans, a déclaré Räikkönen à Autosport. Nous voulions nous améliorer par rapport à l’an passé, et nous l’avons fait. Je connais l’équipe, elle me connaît, nous avons plus d’expérience ensemble, et nous sommes plutôt constants et rapides cette année. Le but était de mieux négocier les premières courses, et nous nous sommes d’ores et déjà mis dans une très bonne position. On voulait plus de victoires mais, ça, ça n’est pas encore arrivé. Après coup, on n’est jamais satisfait. Même si nous avions tout gagné, nous ne serions probablement pas heureux à 100 %.”

Pragmatique, Iceman, qui ne s’est qualifié qu’une fois en première ligne, ne pense pas que Lotus profite excessivement de la dégradation rapide des Pirelli le dimanche ni que la physionomie des courses ait radicalement changé cette saison :

“Les choses ont un peu changé ces dernières années, mais les fondamentaux sont toujours les mêmes : si vous n’êtes pas rapide, vous ne montez pas sur le podium. Il faut d’abord être assez fort [soi-même] pour y aller. Aujourd’hui, il y a peut-être plus de possibilités de faire la différence avec les pneus et des choses comme ça, mais avant on jouait avec la quantité d’essence.”

Citation :: Formule 1
McLaren n’a pas encore fait une croix sur 2013

Martin Whitmarsh a déclaré que son équipe McLaren n’avait pas encore décidé de jeter l’éponge cette saison pour concentrer toutes ses ressources sur leur monoplace de 2014.

La formation britannique n’a pourtant plus qu’une maigre chance d’être sacrée cette année. Après cinq Grands Prix disputés, elle pointe à la sixième place du championnat, à 102 unités du leader Red Bull.

"Nous répartissons nos ressources entre cette saison et la suivante, tout est une question de compromis et de timing, a commenté Whitmarsh. Mais nous n’avons pas encore renoncé à cette saison. Je vous assure que nous travaillons sans relâche sur notre voiture de cette année afin que nous retrouvions le niveau de compétitivité auquel nous sommes habitués."

"Nous sommes encore très tôt dans la saison, mais nous ne baisserons pas les bras. Nous devons croire que nous pouvons nous sortir de cette mauvaise passe et réaliser des résultats décents. Parfois, c’est notre faiblesse, le fait de ne pas vouloir relâcher nos efforts pour nous concentrer sur la saison suivante. Mais pour le moment, nous sommes déterminés à faire en sorte que notre voiture gagne en compétitivité et délivre les résultats escomptés."

"Pour être totalement honnête avec vous, pour le moment nous allouons moins de ressources que nous l’avions prévu sur notre monoplace de l’année prochaine car nous avons du pain sur la planche avec notre auto actuelle."

McLaren aborde le Grand Prix de Monaco de ce week-end avec l’objectif de placer ses deux voitures dans les points. L’équipe détient le record de victoires en Principauté, avec un total de 15 succès.

Citation :: Moto
Plus de peur que de mal pour Christophe Guyot au Mans

Hier, à l’issue de la seconde journée du Grand Prix de France, Yamaha Motor France offrait deux tours de circuit à certains de ses clients.

Pour les accompagner, outre Eric de Seynes, on retrouvait également Christophe Guyot, le team manager du GMT 94 et qui est aussi l'un des consultants de Rémy Tissier sur Eurosport.

Et cette petite ballade a bien failli tourner au drame lorsqu’à l’issue des deux tours, un des clients est venu percuter Christophe Guyot par l’arrière alors qu’il s’était arrêté pour saluer la foule.

Plus de peur que de mal toutefois puisqu’après avoir été soigné sur place, aussi bien Christophe que le client sont « OK », comme on dit dans le milieu.

Victime apparemment d’une fracture tibia/péroné, Christophe nous a assuré qu’il serait en mesure de tenir sa place en cabine pour vous commenter la course MotoGP.

Nous lui souhaitons, bien entendu, un prompt rétablissement.

Citation :: Formule 1
McLaren a libéré Lowe sans contrepartie

McLaren assure que son ancien directeur technique Paddy Lowe a rejoint sa rivale Mercedes sans la moindre contrepartie.

Lowe a été autorisé à rejoindre l’équipe de Brackley à compter du 3 juin prochain, alors que son contrat n’expirait pas avant la fin de l’année.

Certains soupçonnent Mercedes d’avoir mis la main au portefeuille pour pouvoir compter sur les services de l’ancienne éminence grise de Woking six mois avant son arrivée initiale, mais Martin Whitmarsh affirme qu’il n’en est rien.

"Pourquoi nous l’avons libéré de ses obligations contractuelles plutôt que prévu ? Parce que Paddy fut un loyal serviteur. Nous estimions que c’était la bonne chose à faire, de le libérer plus tôt. Je n’ai rien d’autre à ajouter", a-t-il déclaré.

D’autres observateurs estiment qu’il s’agirait d’un geste de bonne volonté de la part de McLaren, après que l’équipe ait décidé de mettre un terme à son partenariat avec Mercedes pour s’engager avec Honda à partir de 2015. Whitmarsh a également démenti cette possibilité.

"Cela n’a rien à voir avec Honda, a assuré le patron des gris. Nous avons agi de notre propre chef. C’était la bonne chose à faire. Paddy est un chic type. Il a décidé de prendre une direction différente de la nôtre et nous ne voulions pas le retenir plus longtemps que nécessaire."

Citation :: Moto
Alexis Masbou, entre frustration et satisfaction

Après avoir vécu un début de saison relativement compliqué, Alexis Masbou revient bien dans le coup et ce dimanche, en France, si son résultat en course le décevait, l’Albigeois se montrait tout de même satisfait de son week-end où progression restait le maître mot.

Sans faire de bruit, le Français en est déjà à son troisième top10 en quatre courses et occupe actuellement la neuvième place du classement général, la seconde place des pilotes propulsés par un moteur Honda (le premier étant Brad Binder sur une Suter/Honda).

C’est donc une jolie performance mais qui en appelle d’autres tant on sent que le Français se trouve de mieux en mieux dans son équipe et sur cette moto.

Bien entendu, les KTM semblent encore loin mais on sait qu’Honda prépare quelques ripostes et vu le classement du pilote tricolore, on peut espérer qu’il en bénéficie rapidement.

« GPi : j’ai pu lire que tu étais déçu à l’issue du week-end, pourtant, vous avez de nouveau bien progressé. Explique-nous d’où vient la frustration.

J’étais déçu par rapport à la course en elle-même car le week-end était bon et solide et en tout cas plus solide que les précédents.

Ma déception vient du fait qu’en course, j’ai rencontré plusieurs problèmes d’embrayage et que ça m’a fait commettre plusieurs erreurs. Du coup, j’ai été incapable d’imprimer le rythme et réaliser le résultat qui était à notre portée.

GPi : Du coup, la frustration retombée, il y a tout de même un ensemble de points positifs à retirer…

C’est clair, le week-end a été très bon dans son ensemble et une fois ma frustration retombée, je reconnais qu’on a bien progressé.

C’est un problème qui est arrivé en course, subitement, mais on n’a pas encore pu analyser son origine car les gars de l’équipe avaient leur avion directement et l’analyse sera donc repoussée au Mugello.

Mais on peut retenir que nous avons réalisé un bon week-end. On a continué à approfondir notre travail d’équipe et notre base de réglages. C’est ce dont on avait envie et nous y sommes parvenus. C’est la première fois que nous étions à moins d’une seconde des KTM et où on était régulièrement premier pilote Honda

GPi : Quelles conséquences ce souci a-t-il engendrées ?

J’avais des difficultés pour rétrograder, j’ai commis quelques erreurs et j’ai été obligé de baisser le rythme car plus la course avançait, plus je commettais des erreurs. J’ai failli chuter à plusieurs reprises parce que je n’arrivais jamais dans le virage avec le bon rapport. C’était un peu risqué et c’était extrêmement rageant de ne pas pouvoir attaquer comme je le voulais pendant toute la course.

GPi : on a effectivement pu voir qu’après qu’Ajo et Khairuddin soient tombés, tu as commencé à perdre du terrain sur Fenati.

C’est exactement à partir de ce moment-là que j’ai commencé à commettre quelques petites erreurs. J’ai dû baisser le rythme et ce n’était donc pas possible de les empêcher de passer.

GPi : L’objectif est donc de rester premier pilote Honda ?

Les KTM sont loin car même si ce week-end nous nous en sommes rapprochés, elles restent bien devant. L’objectif était de s’approcher à moins d’une seconde des pilotes des motos autrichiennes et nous y sommes arrivés. Du côté Honda, on est souvent premier pilote et donc c’est certain que ça donne un bon point de repère parce que se retrouver devant Fenati et Miller, qui est en forme, ça donne une bonne indication sur le niveau de nos performances ».

Citation :: Formule 1
Toro Rosso-Renault, annonce imminente ?

Toro Rosso et Renault Sport F1 devraient officialiser en marge du Grand Prix de Monaco leur partenariat moteur pour les saisons à venir, selon Sport Bild.

La décision de Toro Rosso de quitter Ferrari pour le futur V6 turbo de Viry-Châtillon est tout sauf surprenante puisqu’elle permettra à Red Bull de réaliser des nombreuses économies d’échelles.

Reste maintenant à savoir si Renault conservera Lotus et Williams à moyen terme. La première serait courtisée par Honda, qui effectuera son retour en Formule 1 en 2015, alors que la seconde pourrait bien passer à une motorisation Mercedes dès l’année prochaine.

Caterham devrait de son côté logiquement rester avec le constructeur français, les deux entités produisant conjointement la nouvelle Alpine.

Citation :: Formule 1
Lopez pense que Räikkönen restera chez Lotus

Le copropriétaire de Lotus, Gérard Lopez, n’est pas inquiet quant à l’éventualité de voir Kimi Räikkönen quitter Enstone, malgré les appels du pied de Dieter Mateschitz, le patron de Red Bull (cliquez ici pour lire notre article), et le récent départ du directeur technique James Allison.

“Je ne suis pas inquiet, a confié Lopez à Press Association Sport. Nous voulons que Kimi pilote pour nous l’an prochain, mais nous connaissons aussi son caractère, et nous savons qu’on ne peut pas le forcer à faire quoi que ce soit.”

“Je sais qu’il est heureux [chez nous], et s’il devait choisir aujourd’hui [une équipe], je sais où il irait. Ce qui compte pour Kimi, c’est d’avoir une voiture capable de gagner, et c’est ce qu’il a chez nous. S’il pouvait trouver une meilleure voiture ailleurs, et s’il avait une option pour rejoindre cette formation, je suis sûr qu’il la considérerait. Mais je sais que nous lui donnons ce qu’il recherche, et aussi longtemps que ce sera le cas, il restera avec nous.”

L’homme d’affaire luxembourgeois estime que l’écurie peut compter sur le rapport particulier qu'elle entretient avec son pilote finlandais :

“Avec Kimi, vous ne vous asseyez pas pour discuter formellement d’un nouveau contrat – vous parlez, c’est tout. C’est une relation différente. Je sais que cela peut paraître bizarre, mais nous ne gérons pas l’équipe comme le font les autres teams, et c’est pour cela que Kimi s’adapte bien à nous. Bien sûr, nous parlons de contrat, mais le plus important est de discuter avec lui de comment il se sent et de la manière dont nous allons progresser, et une chose en appellera une autre, automatiquement.”

Citation :: Formule 1
Dasha ne porte pas chance à Fernando…

Dasha Kapustina s’est invitée au traditionnel match de football opposant des pilotes de F1 et d'autres disciplines de sport automobile à des célébrités locales monégasques (cliquez ici pour voir les photos de la rencontre).

La jolie top-modèle russe n’a malheureusement pas porté chance à l’équipe emmenée par son boyfriend Fernando Alonso.

La Nazionale Piloti s’est inclinée 2 buts à 3 au terme des 90 minutes de jeu. L’honneur des pilotes a été sauvé par Sergio Pérez et Maro Engel, ancien pilote de DTM aujourd'hui engagé en V8 Supercar.

Citation :: Formule 1
Les enjeux du Grand Prix de Monaco

Enfin la bonne cible pour les Flèches d’argent ?

Sur les trois derniers Grands Prix, les Mercedes ont chaque fois décroché la pole position, avant de s’écrouler en course. Même si Monaco est un hapax, une course sans équivalent, les monoplaces argentées ont une belle carte à jouer, comme l'a annoncé Fernando Alonso (cliquez ici pour lire notre article). Sur les dix dernières éditions, huit ont en effet été remportées par le poleman. En outre, les W03 y avaient bien marché l’an dernier : Michael Schumacher avait signé le meilleur temps des qualifications avant d’être rétrogradé à cause d’une pénalité, et Nico Rosberg était monté sur la deuxième marche du podium, dans les échappements de Mark Webber.

Pour briller dans les ruelles du Rocher, il faut disposer d’une voiture possédant beaucoup d’appui à basse vitesse ainsi qu’une excellente traction. Il y a quinze jours, la Mercedes était la plus véloce dans le troisième secteur à Barcelone, qui est généralement un bon indice de la compétitivité à Monaco. En outre, malgré 19 virages par tour, la dégradation des gommes – talon d’Achille des W04 – est traditionnellement faible (la piste est même la moins abrasive de toute l’année). Pirelli y apporte d’ailleurs ses deux composés les plus tendres : les tendres (jaunes) et les supertendres (rouges).

N’oublions pas Red Bull

Même si les créations d’Adrian Newey sont réputées mieux exprimer leurs qualités aérodynamiques sur les tracés rapides, Red Bull a remporté les trois dernières éditions du Grand Prix (deux succès pour Mark Webber, un pour Sebastian Vettel). Sur cette piste, moins exigeante pour les pneus, la RB9 ne devrait pas souffrir autant qu’à Barcelone en course. En revanche, le Cheval cabré a souvent regimbé devant le Rocher : Ferrari n’y a plus gagné depuis… 2001 !

Casse-tête stratégique

Étant donné la quasi-impossibilité de dépasser en Principauté, une manière pour Ferrari et Lotus de tirer leur épingle du jeu (puisqu’elles sont traditionnellement moins à l’aise le samedi) serait de tirer profit de leur faible usure pneumatique. Mais la situation est assez complexe.

L’an dernier, tous les pilotes présents dans le top 10 à l’arrivée avaient suivi une stratégie à un seul arrêt. Or, pour ne passer qu’une fois par les stands, il faudrait pourvoir rouler pendant, par exemple, 28 tours en supertendres et 50 en tendres, ce qui paraît peu envisageable avec les pneus de cette année, même pour la F138 et la E21. Mais sait-on jamais…

Si une tactique à deux arrêts était retenue, Ferrari et Lotus devraient alors – de façon très théorique – arrêter leurs pilotes plus tôt, ce qui permettrait à ceux-ci de tourner plus rapidement avec des gommes fraiches et d’être devant lorsque leurs adversaires remontent en piste après leur propre pitstop (sans s’inquiéter trop de l’usure de leurs gommes malgré des deuxième et troisième relais plus longs)… à condition qu’ils ne soient pas gênés par le trafic.

Et c’est là que se réside toute la difficulté du Grand Prix de Monaco d’un point de vue stratégique. Sur le Rocher, en effet, rien ne se passe comme prévu à cause du trafic et du risque très élevé (80 %) d'entrée en piste de la voiture de sécurité vu les nombreux accidents (cliquez ici pour redécouvrir en images une décennie de crashs en Principauté). Bref, bien malin qui pourrait prédire le numéro gagnant… comme au casino.

Citation :: Formule 1
Räikkönen a deux options pour 2014

Kimi Räikkönen a indiqué qu’il avait deux options pour rester en Formule 1 la saison prochaine.

Outre rester chez Lotus, la seconde option consiste vraisemblablement à rejoindre l’équipe Red Bull, qui le courtise depuis plusieurs mois pour remplacer Mark Webber aux côtés de Sebastian Vettel.

"Pour le moment, je ne dispose d’aucun contrat pour la saison prochaine, a-t-il confié dans un entretien accordé au magazine italien Autosprint. Je prendrai ma décision au moment opportun. Je dirais que j’ai deux options pour l’année prochaine, mais tout peut très vite changer en Formule 1."

Pas plus tard qu’hier, le copropriétaire de l’écurie Lotus, Gérard Lopez, faisait part de sa plus grande conviction concernant le fait que Räikkönen resterait à Enstone l’an prochain (cliquez ici pour lire notre article).

Citation :: Formule 1
Monaco, un circuit "contre-nature" pour les moteurs

Rémi Taffin, le directeur des prestations piste de Renault Sport F1, nous explique les particularités du circuit de Monaco pour les moteurs.

"Monaco fait partie de ces courses qui mettent tout le monde sous pression, car la quête des réglages optimums est toujours une affaire de compromis", commente le Français.

"Cela nécessite un énorme effort et nous passons plus de temps pour préparer cette course que n’importe quelle autre au cours de la saison. Ce circuit est contre-nature, car nous travaillons sur des vitesses basses, alors que quasiment tous les autres circuits sont à moyenne ou haute vitesse."

"Avec 160 km/h de moyenne et une vitesse maximum de 280 km/h, nous sommes loin des caractéristiques des autres pistes : à Barcelone, lors de la dernière course, nous atteignions 315 km/h ! De plus, le moteur n’est sollicité à plein régime que sur 35% d’un tour. Les cartographies sont donc programmées pour délivrer du couple à bas-régime, et ce afin d’améliorer la facilité de pilotage et la réponse en sortie de courbe. Les rapports de boîte sont calculés pour favoriser une accélération efficace entre les virages."

Le nombre élevé de virages signifie également que le moteur n’a pas beaucoup de répit et le refroidissement est une donnée cruciale.

"La recherche de grip avec les appuis aérodynamiques ne nous permet guère d’ouvrir les carrosseries pour évacuer les calories, ajoute Taffin. Nous cherchons donc à disperser la chaleur à l’aide des circuits d’eau et d’huile."

"Il est évident qu’un tracé urbain est particulièrement bosselé : les voitures sautent par dessus les vibreurs, les plaques d’égout et autres débris que l’on peut trouver sur la piste. La bosse la plus importante est située dans la descente du Casino vers Mirabeau : c’est la raison pour laquelle on a l’impression que les monoplaces quittent la trajectoire idéale."

"En fait, elles prennent le chemin le plus logique pour éviter de décoller sur la bosse. Si les roues arrière quittaient le sol, le moteur atteindrait soudainement le limiteur, ce qui causerait une perte de temps et des dégâts potentiels sur la mécanique. Il y a d’autres exemples de bosses et talonnages tout au long du tour, mais ce n’est pas toujours possible de les éviter. Nous portons une attention particulière à la programmation des diodes indiquant au pilote qu’il doit changer de vitesse. Nous les encourageons également à monter les rapports un peu plus tôt pour éviter de prendre le rupteur trop souvent."

"Lorsque nous avons défini tous les réglages, nous travaillons beaucoup en direct avec le pilote. Le challenge est de lui donner un niveau de confiance tel qu’il n’a aucun commentaire à faire sur le moteur. Cela veut dire que la mécanique répond parfaitement à ses attentes. Si nous arrivons à ce résultat, cela veut dire que nous avons fait du bon boulot !"

Citation :: Formule 1
Vettel critique encore Pirelli

Sebastian Vettel poursuit ses critiques contre les pneus Pirelli, dont le manque d’endurance l’empêche d’exploiter la quintessence de sa Red Bull.

Si le manufacturier italien a promis de modifier légèrement sa gamme à partir du Grand Prix du Canada, le triple Champion du monde en titre estime que l’entreprise transalpine devrait plutôt revoir entièrement ses pneumatiques.

"Il ne s’agit pas tout simplement de changer un ingrédient de la recette. C’est la recette elle-même qui pose problème", a indiqué Vettel dans les pages du magazine allemand Kicker.

Pour le Grand Prix de Monaco de ce week-end, les équipes auront à leur disposition les pneus tendres et super-tendres. Nul doute que les Pirelli seront une nouvelle fois au centre des discussions dans le paddock…

Citation :: Moto
Le Mans : Cal Crutchlow remercie la direction de course

Direction de course, Dorna, IRTA, FIM…sont des institutions souvent critiquées. Au final, quoi de plus logique puisqu’ayant du pouvoir, elles prennent des décisions qui forcément, ne peuvent pas plaire à tout le monde.

A côté de ça, ce sont aussi des institutions qui font de l’excellent travail et qui ne cessent jamais de se remettre en question, notamment pour aller dans le sens de l’amélioration des conditions de sécurité.

Il y a deux jours, on se remémorait la disparition tragique de Pasolini et Saarinen et le commentaire de Didier de Radiguès, en dessous de notre article (lire ici), était sans équivoque.

En effet le Belge qui, en 1992, devint le premier président de l’IMRA (International Motorcycle Riders Association), dont les fonctions sont aujourd’hui exercées par Loris Capirossi mais au sein de l’IRTA, commentait « à ceux qui pensent que c'était le "bon vieux temps" ».

Les temps ont changé et certes, parfois, lorsque des drames arrivent, on a toujours tendance à penser que les choses ne vont pas assez vite, mais le risque zéro, sur deux roues, avec des engins qui atteignent 344km/h au Qatar, n’existe pas !

En revanche, certaines choses peuvent toujours être améliorées et difficile de ne pas penser à la manière d’évacuer Hector Barbera, la saison dernière, à Indianapolis ou bien encore la civière de Marco Simoncelli qui tombe en Malaisie…

Sur ces détails, les acteurs concernés travaillent tous les jours afin d’être prêts à parer aux différentes éventualités et à réagir dans un temps record.

On se souvient de l’efficacité des services de secours coordonnés par la Direction de course à Jerez, lorsqu’Alan Techer gisait dans le bac à gravier, on se rappelle également le temps record avec lequel le drapeau rouge a été brandi après la chute de Cal Crutchlow lors de la quatrième séance d’essais libres. A l’issue de son week-end, le Britannique remerciait d’ailleurs la Direction de course. « J'ai une petite fracture sur la partie supérieure du tibia, alors quand je marche, ça fait mal mais sur la moto ce n’était pas si douloureux. Et puis, quand l'adrénaline s’en mêle, ce n’est plus un problème.

J'étais plus inquiet pour la poitrine et l'estomac parce que je crachais beaucoup de sang et j'ai également eu un gros saignement de nez.

Je suis reconnaissant envers les commissaires pour avoir brandi le drapeau rouge après la chute parce que j'étais couché sur le sol avec du sang dans le casque et je ne savais pas quelle était la situation, alors je suis resté à terre ».

Citation :: Moto
Les + et les – du Grand prix de France

Avec un jour de retard, voici notre traditionnelle rubrique des + et des – de ce super Grand Prix de France.

Choisir les 5 plus n’est pas chose aisée tant le spectacle a été beau en piste et les acteurs enthousiasmants mais bon, lançons-nous !

Les « + »

Dani Pedrosa : l’Espagnol n’a pas connu un début de saison facile mais il est de retour et sur la pluie comme sur le sec, il est redoutable. La meilleure moto, son expérience et sa vitesse en font désormais le grand favori à la couronne mondiale. Un grand week-end pour l’Espagnol.

Marc Marquez : parti en pole, à la ramasse au premier virage, une remontée spectaculaire et une fin de course où il tournait une seconde plus vite que ses adversaires…what else ? N’est-ce pas lui finalement le plus grand adversaire de Pedrosa ?

Cal Crutchlow : Le Britannique est une montagne ! Volontaire, courageux, téméraire, Crutchlow a encore démontré que rien ne l’arrêtait. Blessé en FP4 et quatrième 20 minutes plus tard en qualifications, le pilote Tech3 arrache son meilleur résultat en MotoGP et sauve yamaha du naufrage. Enorme !

Scott Redding : Première victoire et première place au classement général. Lorsqu’en hiver, le Britannique a annoncé qu’il serait un des prétendants au titre, certains ont rigolé, il démontre qu’il n’y avait rien de marrant.

Xavier Simeon : Constant, régulier, et sur le podium pour la première fois de sa carrière en Moto2, le Belge confirme tout le bien qu’on pensait de son début de saison. Il fait maintenant partie des pilotes qui comptent.

Voilà, il fallait bien choisir et en éliminer certains et notamment les Ducati et Diovizioso en particulier qui, c’est vrai, aurait bien mérité de se retrouver dans les plus.

La partie qui suit s’annonce encore plus compliquée mais ici aussi, il faut bien nous lancer, alors allons-y pour les moins.

Les « - »

Valentino Rossi : Rossi ne trouve pas la parade dans un système de qualifications qu’il n’aime pas et au mans, il s’est de nouveau élancé de la huitième position. Remonté à une belle allure, le nonuple Champion du Monde a terminé douzième après une chute. Toutefois, avant de coucher la moto, il rétrogradait déjà progressivement et se trouvait sous la menace d’Hayden. L’Italien a sombré avec le bateau Yamaha et ne semble pas en mesure de relever la tête.

Jorge Lorenzo : Son plus mauvais résultat depuis 2008 intervient après la difficile course de Jerez. Lorenzo et Yamaha ont laissé Honda reprendre la main. Ce sera difficile de la récupérer car ce n‘est pas un mais deux pilotes qui se dressent devant lui.

Stefan Bradl : Même s’il termine en dixième position, Stefan Bradl vient d’aligner trois chutes en quatre courses. Une série noire impressionnante et, comme nous le confiait un membre de l’équipe, peut-être un petit complexe Marquez dans la tête de l’Allemand. Il va falloir maintenant se reconcentrer.

Alvaro Bautista : Alvaro n’a pas disputé une mauvaise course au Mans mais comme son début de saison, elle a été terne. Il termine à 23 secondes de Pedrosa et c’est tout de même beaucoup.

Pol Espargaro : Une seconde chute après celle d’Austin pour le favori à la couronne mondiale qui incriminait son équipier pour une conduite trop agressive. On parle de lui chez Yamaha en MotoGP la saison prochaine, attention à ne pas se déconcentrer et à laisser une trop forte pression s’installer.

Le Super plus du week-end :

Cette fois nous allons le donner à l’organisation du Grand Prix de France avec ses radios, ses commentaires en bord de piste, ses nombreuses animations. En salle de presse également, tout était parfait et bien rodé. C’était le vingtième de PHA et c’était de nouveau une belle réussite.

Voilà ce que nous avons isolés comme + et comme – de ce Grand Prix de France. A vous de nous dire ce que vous, vous avez isolé. D’accord avec nous ou pas d’accord, dites-nous tout.

Citation :: Formule 1
McLaren veut l’exclusivité avec Honda

Le team principal de McLaren, Martin Whitmarsh, a révélé que son équipe cherchait à obtenir la fourniture exclusive des moteurs Honda à partir de 2015.

Le communiqué de McLaren officialisant le partenariat moteur avec le constructeur nippon ne faisait pourtant nullement mention d’une exclusivité. Et Jonathan Neale lui-même, le directeur général de l’écurie, semblait indiquer récemment que Honda pourrait motoriser d’autres formations (cliquez ici pour lire notre article).

"La réglementation veille en réalité à empêcher qu’un seul constructeur ne s’engage avec trop des meilleures écuries du plateau, a indiqué Whitmarsh au journaliste Peter Windsor. Il n’y a rien dans le règlement qui oblige un constructeur à motoriser plus d’une équipe. Il est donc évident que nous voulons avoir l’exclusivité avec Honda."

Whitmarsh dit vrai… mais uniquement pour 2013. Le règlement sportif de la Formule 1 pour la saison 2014 et les suivantes n’a pas encore été publié par la FIA.

Citation :: Moto
Pol Espargaro et Tito Rabat enterrent la hache de guerre

A l’issue du Grand Prix de France, Pol Espargaro, qui a pourtant chuté au même endroit mais sans être touché par Esteve Rabat, accusait ce dernier d’avoir piloté trop agressivement lors des deux premiers tours.

Partis à la faute, les pilotes Pons Racing avait de quoi s’en vouloir puisqu’il laissait filer Redding vers une victoire qui lui octroyait 24 points d’avance au championnat sur Rabat et 35 sur Espargaro.

Pourtant, c’est surtout à son équipier qu’en voulait celui qui fait figure de favori à la succession de Marc Marquez. Il décalarait : « Il faut prendre les choses avec plus de calme, tout le monde doit se remettre en question dans le box, mon équipe, moi-même, mon équipier, et être plus calme. Nous ne pouvons pas nous attaquer comme des fous dès les premiers tours parce que les courses ne se gagnent pas comme ça ».

Toutefois, la déception passée, les deux équipiers se sont retrouvés lors d’un évènement organisé par Tag-Heuer et comme Pol Espargaro le déclarait à Mundo Deportivo, il a pu débattre de la course avec son équipier et tout semble désormais arrangé. « Nous avons un peu parlé. Ces choses se produisent et ce sont des erreurs que nous avons tous commises, le tout est de ne pas les répéter ».

Sito Pons, de son côté, tirait dans le même sens que son pilote numéro un sur le papier mais numéro deux au classement général, en estimant que tout allait maintenant pour le mieux même si, quoi qu’il arrive, la rivalité entre ces deux hommes existe et ne peut être niée.

« En tant que team, nous cherchons à leur donner les moyens de gagner sur la piste et un bon environnement, nous cherchons à ce qu’ils soient satisfaits, calmes et qu’ils pilotent le mieux possible. Je pense que maintenant, ils sont calmés et qu’entre eux, les choses vont bien. Mais c’est vrai qu'il existe une rivalité, parce que c'est un sport individuel, mais elle doit juste s’exprimer en piste. Nous espérons continuer ainsi ».