[Sports Automobile] Sujet Général (2)

Sujet: [Sports Automobile] Sujet Général (2) Jeu 28 Mar 2013 - 15:31

Rappel du premier message :

Y'a-til des fans de formule 1, rallye, moto gp......

Parlons en ici

Citation :: Moto
Gino Rea, programme réduit par manque de budget

Après avoir perdu son guidon avec le retrait de son écurie ESGP, le plan de Gino Rea, en 2013, était de participer, avec sa propre écurie et en tant que wild-card, à l’ensemble des manches européennes de la saison.

Malheureusement pour le Britannique, les fonds ne sont pas arrivés en suffisance et actuellement, il ne peut espérer disputer plus de cinq Grands Prix.

Toutefois, sa recherche de partenaires continue et s’il devait finalement décrocher la timbale, il en effectuerait 4 autres.

Vous êtes riches, vous aimez la moto et avoir le nom de votre entreprise en long et en large sur la moto du sympathique britannique vous intéresse ? Une seule adresse, www.ginoreaclub.com

Citation :: Le succès de Vettel ne fait pas celui de Silverstone

La mainmise de Sebastian Vettel sur le championnat du monde de Formule 1 depuis trois saisons commence à peser négativement sur la billetterie du Grand Prix de Grande-Bretagne, l’une des rares épreuves du calendrier à ne pas disposer de fonds publics.

Les ventes de tickets sont actuellement en baisse de 10% par rapport à l’an dernier.

"Sebastian Vettel fait un job incroyable, tout comme Red Bull, a commenté Richard Phillips, le directeur général du circuit de Silverstone. Personnellement, je pense que c’est un excellent pilote et j’adore Red Bull, mais ce serait bien s’ils ne gagnaient pas tout le temps."

Le manque de résultats des pilotes britanniques, à savoir Jenson Button et Lewis Hamilton, doit également influencer à la baisse la vente de billets.

Citation :: Divorce entre Red Bull et Magneti Marelli ?

Selon la presse italienne, Red Bull aurait cessé sa collaboration avec son fournisseur d’alternateur, la firme italienne Magneti Marelli.

L'an dernier, l’écurie autrichienne avait perdu de précieux points au championnat suite à des casses d’alternateur à répétition. Cela lui avait notamment coûté une victoire certaine au Grand Prix d'Europe.

Suite à ce manque de fiabilité, le grand patron de Red Bull, Dietrich Mateschitz, n’avait d’ailleurs pas caché qu’il voulait que son équipe change de fournisseur. Ce serait désormais chose faite depuis cette saison. Alors que Magneti Marelli continue à fournir Lotus, Red Bull serait à présent sous contrat avec Tag.

Formule 1

Citation :: Les pilotes ne seront plus privés de signaux lumineux

Les pilotes ne seront plus privés de signaux lumineux dans leur cockpit à compter du Grand Prix d’Espagne, programmé le week-end prochain sur le Circuit de Catalunya.

Jusqu'à présent cette saison, les signaux lumineux normalement envoyés dans les cockpits (indications de drapeaux bleus, etc.) par Charlie Whiting, le directeur de course, n'étaient pas de mise.

La FIA ne parvenait pas à établir une bonne transmission des données de télémétrie entre les voitures et la direction de course, après avoir changé de fournisseur de télémétrie durant l’hiver.

L’autorité sportive de la Formule 1 a toutefois promis un retour à la normale pour le Grand Prix d’Espagne, première manche européenne de la saison.

"Nous avons été informés que le système sera mis à jour à Barcelone et qu’il devrait alors être pleinement opérationnel", a indiqué Derek Warwick, qui officie ponctuellement comme quatrième commissaire sur les Grands Prix, à l’agence de presse Reuters.

Citation :: Mike Di Meglio : « si tu as des craintes, ça ne sert à rien de rester en Moto2 »

On a souvent entendu dire que cette saison, c’était un peu celle de la dernière chance pour Mike Di Meglio, après avoir rencontré de grosses difficultés depuis le lancement du Moto2.

Conscient de ce défi, le Champion du Monde 125 2008 a fourni, durant tout l’hiver, un travail colossal en compagnie des ingénieurs TSR afin de mettre toutes les chances de son côté.

L’abnégation du Français commence maintenant à porter ses fruits et si, en course, les résultats n’ont pas encore été extrêmement visibles, en revanche, on le sent présent et ambitieux.

Pour la première fois depuis longtemps, nous avons l’impression qu’une fois que toutes les bonnes choses se mettront les unes derrière les autres, le pilote JiR pourrait nous réserver de belles surprises.

Nous l’avons rencontré afin de tracer avec lui les contours de ses progrès et de ceux qu’il lui reste à accomplir.

Suivez le guide.

« GPi : Mike, tu as réalisé une énorme présaison, tu es d’ailleurs probablement le pilote qui a le plus roulé cet hiver et tu viens maintenant de disputer deux Grands Prix avec JiR, c’est donc le bon moment pour recueillir ton sentiment quant à ta collaboration avec cette structure.

Je suis très satisfait du travail qu’on effectue, déjà parce que l’équipe m’a permis de rouler énormément cet hiver afin de travailler de nombreux points techniques quant à mon pilotage. Ce sont des gens extrêmement motivés et décidés à ce que ça marche. Je les sens tous derrière moi. C’est sûr que ça n’a pas encore payé mais on peut déjà constater que, comparé aux saisons précédentes, j’ai changé beaucoup de choses. J’ai le sentiment que je m’adapte plus facilement à n’importe quelle piste et même lorsque je rencontre des soucis, comme à Austin où j’ai détruit les pneus, on arrive à rentrer avec certains points alors que l’an passé, je suis persuadé que dans les mêmes conditions, j’aurais subi un peu plus ma course.

Il y a donc pas mal de points positifs et maintenant, il va falloir continuer à pousser toujours plus loin sur la limite de la moto et à trouver des petites choses sur le set-up pour nous permettre d’être encore un peu mieux. Mais je ne m’inquiète pas parce que cette équipe travaille énormément en coulisse. Nous devons engranger des points, nous rapprocher du top 5 et au fur et à mesure, du podium.

GPi : Tu parles de changer ton pilotage et il y a quelques jours, Gianluca Montiron, ton team manager, disait la même chose en déclarant avoir engagé un processus, avec toi, destiné à changer certains points sur ton pilotage (voir ici).

J’ai essayé d’analyser le style de mes concurrents et on commence à savoir quel type de pilotage fonctionne en Moto2. Après, c’est sûr qu’il y a des pistes où les efforts d’adaptation sont plus grands. Jusqu’ici, j’avais un style plus efficace sur les pistes rapides et maintenant, je commence à également bien sentir la moto dans les portions lentes. On a donc changé une multitude de petits points techniques.

Cet hiver, JiR m’a laissé la moto et ça m’a donné l’opportunité de m’entraîner sur des pistes assez variées ce qui, au final, m’a permis d’arriver au Qatar avec un bagage technique bien plus développé.

GPi : Dans cette même interview, Gianluca Montiron déclarait que la MotoBi avait le meilleur package de base du plateau. Pourtant, la saison dernière, Johann Zarco s’est souvent plaint de la vitesse de pointe de cette moto. Depuis le Qatar, on voit que les choses ne se sont pas spécialement arrangées. Est-ce une des faiblesses pénalisantes de cette moto ?

C’est parfois pénalisant mais souvent, on a réussi à ne pas trop mal s’en sortir sur ce point. Ce sont des paramètres que nous analysons pour comprendre les tenants et aboutissants de ce problème. Après, un certain nombre d’évolutions vont arriver et notamment au niveau des carénages.

Nous cherchons des solutions mais au final, ce n’est pas le plus gros problème parce que lorsque j’arrive à bien conduire la moto et faire ce que je veux, on est vite devant. En revanche, il me manque toujours cette régularité à pouvoir pousser sans me poser trop de questions.

On va donc dire que dans ce qui nous manque encore, il y a un peu de la moto et un peu de moi mais pour la vitesse de pointe, je ne m’inquiète pas parce que l’équipe est consciente qu’elle doit faire évoluer les choses de ce point de vue. Il faut qu’on continue sur cette voie en effectuant des petits pas en avant et je pense que tout va finir par se goupiller.

GPi : Tu es souvent très bien lors des séances et puis, on te sent parfois un peu en retrait lors des qualifications. Est-ce là un des points qui va recevoir toute ton attention dans le futur ?

Au Qatar, ce n’était pas trop mal avec une dixième position. Malheureusement, on a dû partir des stands. A Austin, j’étais une nouvelle fois en train de me qualifier aux environs de la dixième place et suite à une erreur de ma part, le résultat final n’était pas celui escompté. Si j’avais pu finir mon tour, les choses auraient été différentes mais c’est le jeu. Après, ça ne me tracasse pas trop parce que je suis un pilote de course et je remonte souvent mais c’est vrai qu’à Austin, si j’avais pu partir de la dixième position, la course aurait probablement été différente. Les erreurs ça arrive, je vais juste veiller à ce qu’elles ne se reproduisent plus !

GPi : Marc Marquez, en 2012, attirait toute l’attention sur lui et depuis son départ, on dirait que les ambitions de nombreux pilotes se sont réveillées. Son départ a-t-il permis de décupler les envies et les ambitions de certains pilotes Moto2?

D’un point de vue personnel, je n’étais pas bridé par la présence de Marc Marquez. Je n’ai pas d’aprioris sur mes concurrents et au contraire, j’essaye surtout de comprendre chaque pilote et de voir s’il y a des choses positives à retirer de son pilotage. C’est évident que Marc Marquez était un peu un exemple pour nous et beaucoup se sont servis de son pilotage pour faire évoluer le leur.

Au fur et à mesure des années, tout le monde évolue mais si on commence à avoir des craintes vis-à-vis de l’un ou de l’autre, ça ne sert à rien de rester en Moto2.

GPi : Le fait de signer avec JiR semble t’avoir apporté la stabilité qui t’a cruellement fait défaut la saison précédente !

J’ai construit ma saison l’année dernière en rencontrant énormément de partenaires qui m’ont aidé en me donnant le budget nécessaire à amener chez JiR.

Gianluca Montiron, c’était quelqu’un que je ne connaissais pas et en le rencontrant, j’ai trouvé en lui l’excellence.

C’est quelqu’un qui est là depuis très longtemps, qui a travaillé avec de grands pilotes, qui était en MotoGP et qui a énormément d’expérience, que ce soit du point de vue du chef-mécanicien qu’il était ou du point de vue de la gestion d’un weekend.

On discute énormément pendant les Grands Prix et ça nous permet de construire beaucoup de choses. On discute avec lui, mon entraîneur, mon équipe technique, le Japonais de chez TSR et c’est constructif. Tout le monde se remet en question et on arrive à déterminer la bonne direction à suivre.

GPi : Justement, avec TSR, ils ne disposent que d’une seule moto sur la grille et c’est un handicap au développement par rapport à l’armada de Kalex, mais ils ont l’air de compenser par une grande implication dans le projet.

Totalement ! Cet hiver, ils sont venus avec moi sur les pistes parce qu’au début, je ne me sentais pas très bien sur la moto. On a alors travaillé énormément pour trouver une base de setting. Une fois cette base trouvée, on a pu commencer à travailler sur mon style mais aussi sur des petites choses importantes. On a énormément bossé ensemble en essayant une multitude de choses différentes sur la rigidité du châssis et ça nous a menés dans la bonne direction.

GPi : tu vas maintenant arriver à Jerez, une piste où vous avez tourné en hiver et que tout le monde connaît, ce sera un Grand Prix référence pour juger du niveau des uns et des autres ?

C’est un circuit espagnol ou tous les Espagnols vont être…énervés (rires) et où, en conséquence, ce sera encore plus compliqué que d’habitude de faire la différence.

De notre côté, on dispose d’un bon bagage technique et la saison dernière, je n’avais pas trop mal roulé avec la SpeedUp mais je pense qu’on pourra réellement démontrer la technicité de notre moto à partir du Mans parce que Jerez, tout le monde connaît, tout le monde a beaucoup de facilités.

GPi : Justement, le Mans, parlons-en un peu, ça reste le « must » pour un pilote français ?

Personnellement, c’est un circuit que j’apprécie depuis toujours. J’aimais beaucoup l’ancienne chicane Dunlop mais bon, c’est comme ça, ce sont les aléas de la sécurité.

Courir devant le public français, en espérant qu’il fasse beau, c’est un sentiment incroyable.

GPi : Terminons par tes attentes quant à ce Grand Prix d’Espagne.

J’espère réaliser un beau weekend en progression comme nous tentons de le faire à chaque fois. Après, pour le Grand Prix en lui-même, il faut toujours compter sur les faits de course et il faut juste essayer de les gérer au mieux. Après, si je dois donner un objectif chiffré, c’est clair que le top10, c’est le minimum que je devrai aller chercher ».

Citation :: Moto
Casey Stoner : « la moto me manque mais je n’ai aucune envie de revenir »

En réponse aux récentes rumeurs concernant son éventuel retour pour le Grand Prix d’Australie et du Japon, Casey Stoner a tenu à clarifier les choses et cette mise au point risque de ne pas plaire à ses fans ni, plus généralement, aux amoureux du MotoGP.

En effet, interrogé en prélude de la course de la "Dunlop Serie" qi aura lieu ce week-end, Stoner a certes bien affirmé que piloter des motos lui manquait mais il a également tenu à rappeler qu’il n’avait aucune envie de revenir.

« Piloter des motos me manque mais c'est le seul aspect. Un grand nombre des raisons pour lesquelles je suis parti sont certainement assez profondes pour ne pas avoir de fourmis dans les jambes et vouloir remonter sur une moto. Je suis vraiment content de la décision que j'ai prise et pour être honnête, je ne suis pas intéressé par un retour ».

Citation :: Alonso impatient de courir à domicile

Fernando Alonso est excité à l’idée de disputer son Grand Prix national, programmé le week-end prochain sur le Circuit de Catalunya.

La star espagnole souhaite se refaire une santé au championnat après sa huitième place décevante au Grand Prix de Bahreïn, la faute à une casse de son aileron arrière ajustable survenue en début de course.

"Ma victoire décrochée à Barcelone en 2006, celle obtenue à Monza en 2010 et mon succès de Valence de l’an dernier sont sans aucun doute les plus belles victoires de ma carrière", a indiqué Alonso, cité par La Gazzetta dello Sport.

"C’est très spécial de courir à domicile, vous bénéficiez toujours d’un accueil chaleureux de vos supporters. Dès les premiers tours de piste le vendredi matin, vous sentez la ferveur du public et cela accroît indiscutablement votre motivation."

Alonso, actuellement relégué à 30 points de Sebastian Vettel au championnat, ne s’est plus imposé à Barcelone depuis 2006. La saison dernière, il avait dû se contenter de la deuxième place derrière la surprenante Williams de Pastor Maldonado.

Citation :: Le futur permis à points à l'étude à Barcelone

Les équipes de Formule 1 se réuniront en marge du Grand Prix d’Espagne, en présence de Charles Whiting, directeur de course de la FIA, pour discuter de plusieurs sujets. Celui de l’introduction d’un permis à points sera notamment abordé par les acteurs du championnat.

La FIA souhaite harmoniser le système de pénalités en vigueur en introduisant une super-licence à points, à l’image de ce qui se fait en MotoGP, avec la possibilité de suspendre automatiquement un pilote s'il venait à perdre trop de points.

"C’est un sujet complexe et nous devons trouver le juste équilibre car suspendre un pilote n’est pas une chose que nous pouvons prendre à la légère. Nous devons nous assurer qu’un pilote mérite réellement d’être suspendu", indiquait Whiting en début de saison.

Le team principal de l’écurie Lotus, Eric Boullier, estime que l’introduction d’un système de pénalités plus transparent ne pourrait être que bénéfique pour la Formule 1.

"Le système est plutôt bien fait aujourd’hui mais le problème est que ce système est simplement lié aux jugements personnels de personnalités, qui ne sont pas toujours les mêmes", confiait Boullier à F1i la saison dernière.

"Je conçois qu’il est très difficile d’être un arbitre, que ce soit dans le football ou en F1, mais pour essayer d’avoir la ligne la plus fairplay possible, il faut peut-être renforcer les procédures. Avec un système équitable pour tous les pilotes et en même temps fairplay."

Il faut en effet savoir que les commissaires sportifs de la FIA sont différents sur tous les Grands Prix, ce qui peut entraîner un manque de cohérence dans les sanctions rendues. Un permis à points permettrait d’harmoniser les pénalités.

Citation :: Williams: Astana arrive en renfort

Connu pour son soutien à l'équipe kazakhe de cyclisme, le groupement d'investisseurs TAK Group a annoncé ce jeudi rejoindre l'écurie Williams comme sponsor.

Les deux FW 35 de Pastor Maldonado et Valtteri Bottas seront donc ornés du logo et du nom "Astana" sur le nez de la monoplace dès le prochain Grand Prix d'Espagne à Barcelone. Astana est le nom de la capitale du Kazakhstan, le partenariat étant destiné à faire mieux connaître le potentiel industriel de la ville qui doit accueillir l'exposition internationale en 2017.

Williams n'a pas pris le moindre point lors des quatre premières courses de la saison alors qu'elle avait justement remporté le Grand Prix d'Espagne en 2012, Pastor Maldonado signant à Barcelone sa première et seule victoire de sa carrière.

Citation :: Moto
Olivier Boutron : le savoir français au service de Livio Loi

Olivier Boutron a déjà un long parcours dans le paddock, notamment avec Tech3, mais son expérience la plus marquante à ce jour, reste bien entendu ses trois saisons passées au service de Ben Spies, dont deux chez Yamaha factory.

Le Français, qui est considéré comme un excellent mécanicien, avait reçu, après le départ de l’Américain pour Pramac, l’opportunité de travailler pour Ducati en Superbike. Désireux toutefois de rester dans le paddock MotoGP, il acceptait la proposition de Michael Bartholémy et décidait de rejoindre Livio Loi en Moto3.

Comme on le sait, le jeune Belge, n’a eu 16 ans (âge minimum fixé par le règlement pour disputer une course) que la semaine dernière et c’est donc à Jerez qu’il fera sa grande entrée en Championnat du monde.

C’était l’occasion pour nous de nous intéresser à son mécanicien français qui, comme vous le ressentirez peut-être dans cette interview, est une personne extrêmement agréable à interroger.

« GPi : Olivier, en quittant Yamaha ‘factory’ pour VDS en Moto3, tu passes d’une énorme machine à une plus petite structure, comment s’est passé la transition ?

Il y a plusieurs aspects concernant ce changement et le premier, qui est extrêmement positif, c’est que j’ai retrouvé de l’emploi. Ensuite, je me retrouve dans une équipe sympa et avec une petite moto mais en gros, le travail est le même si ce n’est qu’il y a moins d’éléments et que c’est moins lourd (rires). La mécanique reste la même, enlever un moteur pour en mettre un autre, réaliser des settings de suspension…

Nous sommes deux mécaniciens et je trouve l’expérience vraiment sympa. Ça change de la grosse usine qu’était Yamaha même si je m’y sentais vraiment très bien mais c’est différent et je suis content de ma situation.

GPi : Comment trouves-tu ton pilote ? As-tu déjà senti des évolutions quant à son feedback ?

Déjà, depuis la saison passée, à Valence (dernière manche du CEV), au moment où j’ai commencé à travailler avec lui, j’ai appris à le connaître.

Du point de vue de son évolution, ça ne fait aucun doute qu’il a progressé mais surtout, d’après ce que je vois, je suis convaincu qu’il en a sous le coude. Et puis, ce qui m’épate chez lui, c’est qu’il est très relax. Le gamin, il a zéro stress, on a toujours l’impression qu’il se promène sur la moto. Contrairement à certains pilotes que tu sens très agressifs, lui je le vois hyper coulé.

Après c’est peut-être un manquement, on le verra par la suite mais là, on a le sentiment qu’il roule sur une Harley. Ce que je dis, n’a rien de péjoratif, au contraire, il nous donne l’impression de ne pas devoir sur-piloter.

On a repéré avec notre chef mécano qu’il n’exagère jamais lors des essais alors qu’en course, il se met à plaquer les chronos.

GPi : Et au jour le jour, il est comment ce Livio ?

Moi, je le trouve bien et je peux te dire qu’après avoir passé trois ans avec un mec qui tire la tronche tout le temps et qui ne te dit jamais bonjour, je suis content de travailler pour un petit gars qui est souriant, qui te dit bonjour, qui vient te voir…ce n’est que du bonheur. Il est extrêmement poli, gentil, il a de l’éducation !

Je n’ai jamais eu ce sentiment avec les autres pilotes que j’ai pu avoir même si, par exemple, Colin Edwards c’est un mec bonheur, mais avec Livio, c’est différent, on se sent beaucoup plus proche de lui. Il est jeune et les choses évolueront peut-être mais on va dire qu’il part sur de bonnes bases.

GPi : De ton côté, tu t’es découvert de nouveaux collègues. Le courant passe bien ?

Super ! Nous sommes quatre et nous avons des caractères qui se marient bien. La chef mécanicien est vraiment très sympathique et puis bon, quand tu fais bien ton boulot, personne ne se prend vraiment la tête.

Parfois, c’est un peu compliqué parce que mon collègue Martin ne parle pas super bien l’anglais mais il y travaille.

Le truc c’est que je suis le seul français entouré de trois espagnols et vu que je n’ai pas assez bossé cette langue lorsque j’étais à l’école (rires) parfois je décroche un peu des conversations.

Mais moi aussi, de mon côté, je m’y mets. J’ai enfin terminé ma galère pour passer le permis poids lourd et mon objectif suivant, c’est d’apprendre cette langue.

GPi : Là vous avez roulé au Mans en FSBK, fait des essais CEV, disputé une course CEV, le paddock du Championnat du Monde ne te manquerait pas un peu ?

Ah, c’est certain que ça fait bizarre et lors des essais IRTA à Jerez, j’ai pu croiser les personnes de chez Tech3 et de chez Yamaha qui elles, arrivaient et ça m’a fait extrêmement plaisir de pouvoir les saluer.

Et là, je t’avoue que je suis vraiment très impatient d’aller à Jerez pour revoir du monde. Ce sont des gens que j’ai côtoyé pendant de nombreuses années et avec une coupure un peu plus longue que d’habitude, ça fait bizarre.

GPi : Quand on est mécanicien, comment est-ce qu’on vit la course de son pilote ? Comme un supporter ?

On la vit avec lui. On n’est pas sur la moto mais pas loin, on transpire avec (rires)! Quand on le voit franchir la ligne d’arrivée avec une première ligne ou avec un podium, c’est l’euphorie totale.

Mais en réalité, on le vit chacun différemment. Moi, je suis très expressif et émotif dans ce genre de situation. Si tu te souviens, lorsque les caméras passaient dans notre box, on pouvait toujours me voir en train de m’arracher les cheveux. C’était mon truc chez Yamaha et même Jorge Lorenzo, un jour, m’avait fait une petite boutade là-dessus.

GPi : Quel est le podium qui t’a le plus marqué ?

Celui de Nakasuga (second) à Valence la saison dernière. Ça a été extraordinaire ! Il remplaçait Ben Spies pour le dernier Grand Prix, notre dernier avec Yamaha et pour fêter ça, le mec nous a offert un podium ! C’était notre meilleur résultat de la saison et un grand soulagement après une saison que pour rester poli, je qualifierais de compliquée.

GPi : Lorsque Spies est parti, tu n’as pas eu l’opportunité d’aller chez Ducati ?

Lorsque j’ai quitté Tech3, grâce à Spies, j’ai eu l’occasion d’aller chez Yamaha factory et puis, fin de saison dernière, notre team manager a essayé de nous caser quelque part parce qu’il était un peu dégoûté que ça se passe comme ça. Il m’avait trouvé une place en Superbike chez Ducati et puis l’option VDS s’est présentée et comme j’avais envie de rester dans le paddock, je l’ai saisie et je suis totalement convaincu d’avoir fait le bon choix.

GPi : Et puis, Livio Loi est un pilote qui va grandir et gravir les échelons, enfin, c’est ce qu’on lui souhaite, et c’est peut-être aussi pour toi l’opportunité de le suivre ?

Exactement. Je n’envisage rien pour l’instant car c’est un peu tôt mais c’est une possibilité qui aurait tout pour me plaire ».

Citation :: Formule 1
JEV Story : Une passion pour le karting

La semaine qui a suivi le Grand Prix de Bahreïn, Jean-Eric Vergne a visité la grande école d'ingénieurs ESTACA et invité quelques-uns de ses collègues de travail en France pour participer à une course de karting…

Les journées furent très chargées pour moi depuis le Grand Prix de Bahreïn et je me suis bien amusé au cours de la dernière semaine. Jeudi dernier, j’étais à Paris avec Laurent Mekies, qui est le responsable de la dynamique du véhicule chez Toro Rosso, à l’ESTACA, la grande école d'ingénieurs où il a effectué ses études. C’est une école assez prestigieuse et j'étais honoré de m’y rendre pour parler aux étudiants. Laurent a beaucoup apprécié cette visite car il s’agit de son ancienne école et il a pu revoir certains de ses anciens professeurs.

C’était un chouette après-midi et nous avons eu une discussion réellement intéressante avec les étudiants. Tous les meilleurs étudiants en ingénierie des transports et en aéronautique étaient présents. Les questions qu’ils posaient étaient donc très précises puisqu’ils étaient évidemment très bien informés.

Jeudi dernier, c’était aussi mon 23ème anniversaire. J’ai donc passé la soirée avec ma famille à Paris. C’était vraiment un moment sympa. Ensuite, vendredi, certains gars de l’équipe sont venus dans la capitale pour participer à une course de karting sur le circuit de mes parents – le Racing Kart de Cormeilles. Mon patron Franz Tost, mon ingénieur de course Phil Charles, le designer en chef Luca Furbatto, mon premier mécanicien Alberto Gavarini, Laurent et mon manager Renaud Derlot m’ont tous rejoint pour former une équipe afin de participer à cette course d’endurance longue de 25 heures. Pourquoi 25 heures ? Pour célébrer le 25ème anniversaire du circuit.

Le vendredi, nous avons eu la journée pour nous entraîner avant le départ de la course qui était programmé le lendemain. Je dois dire que ce fut assez difficile mais aussi très sympa. C’est vraiment un grand événement, assurément l’une des courses de karting amateur les plus difficiles et le niveau est naturellement très élevé.

Chaque équipe était composée de quatre à dix personnes et, logiquement, ce sont les équipes qui étaient composées de quatre personnes – quatre bons pilotes – qui ont terminé aux premières places. Nous étions sept dans notre équipe. Nous savions donc que nous n’allions pas gagner, mais je pense que nous nous sommes très bien débrouillés en terminant septième sur un total de 44 équipes engagées.

Je tiens à dire que tout le monde a fait du bon boulot dans notre équipe, et je ne me la joue pas diplomate ! J’ai été étonné par leur rapidité sur la piste, tout le monde s’est vraiment donné à fond, mais je suppose que l'on ne peut pas en attendre moins de personnes qui sont impliquées en Formule 1.

Franz était fidèle à lui-même – extrêmement compétitif et désireux de bien faire, exactement ce qu’il est sur les circuits de course. Il nous encourageait et nous poussait constamment. Il s’est réellement pris au jeu et je pense qu’il a passé un très bon moment.

Voilà donc comment s’est passé le break pour moi jusqu’à présent, mais la reprise est déjà pour bientôt, avec le Grand Prix d’Espagne. J’espère que nous pourrons nous refaire une santé durant cette saison européenne. En regardant les quatre premières courses, même si elles n’ont pas été fantastiques, je dirais qu’il y a malgré tout du positif à en tirer. Nous pouvons compter sur une équipe solide, composée de personnes compétentes. Il règne une bonne cohésion dans notre équipe. La voiture est fondamentalement compétitive, comme ma course en Malaisie et les points inscrits par Dan [Ricciardo] en Chine l’ont démontré.

Certes, nous avons vécu une course assez délicate à Bahreïn, mais je pense que c’était plus une anomalie qu'autre chose. La voiture de Daniel était la plus lente en piste durant la course. Il devait y avoir quelque chose qui clochait car ce n’est vraiment pas un mauvais pilote. Mon point de vue est qu’une voiture qui finit un Grand Prix en septième position ne passe pas soudainement à la dernière place en l'espace d'une semaine sans aucune raison. L’équipe se penche actuellement sur le problème et je suis sûr que tout reviendra à la normale à Barcelone.

Jean-Eric Vergne, avec la Scuderia Toro Rosso.

Citation :: Argentine-ES2: Loeb recule à la 4e place

Sébastien Ogier a conforté sa place de leader du rallye d'Argentine au terme de la deuxième spéciale, la première disputée ce jeudi.

Le pilote Volkswagen a réalisé un nouveau temps scratch, bouclant les 27,09 kilomètres proposés avec 5 secondes d'avance sur son coéquipier Jari-Matti Latvala et 6"1 sur Mikko Hirvonen. Sébastien Loeb est quatrième à 8"5.

Conséquence, le nonuple champion du monde, de retour sur cette manche qui figure à son calendrier restreint cette saison, n'est plus que quatrième au classement général à 10"7 d'Ogier.

Citation :: Formule 1
Räikkönen assiste… à une promo Red Bull !

Voilà qui fait tache pour l’équipe Lotus, qui essaye tant bien que mal de mettre un terme aux rumeurs insistantes liant Kimi Räikkönen à un éventuel passage chez Red Bull en 2014.

Son pilote vedette a participé hier à une exhibition parrainée par Red Bull, l’adversaire direct de Lotus aux championnats des constructeurs et des pilotes, dans la vallée autrichienne de Zillertal.

Devant quelque 20.000 personnes, Iceman a posé aux côtés de David Coulthard, consultant pour la BBC... mais surtout toujours sous contrat avec l'équipe Red Bull (voir photo ci-contre). Lotus appréciera… ou pas !

Citation :: Formule 1
"Rush" et The Killers s’invitent à Singapour

Les organisateurs du Grand Prix de Singapour, programmé le 22 septembre prochain, ont décidé de mettre les petits plats dans les grands pour la sixième édition de leur épreuve nocturne.

Le film "Rush", retraçant la saison 1976 de Formule 1, marquée par le fameux duel entre James Hunt et Niki Lauda pour le titre (cliquez ici pour voir le trailer), sera diffusé en première mondiale à Singapour en marge du Grand Prix, le jeudi 19 septembre, soit un jour avant sa diffusion officielle aux Etats-Unis.

En outre, après la séance qualificative, The Killers, célèbre groupe de rock alternatif américain originaire de Las Vegas, donnera un concert.

allez Loeb

Citation :: Argentine-ES3: Citroën réagit, Latvala perd du terrain

Mikko Hirvonen a remporté la troisième spéciale du rallye d'Argentine ce jeudi.

Le pilote Citroën a devancé son coéquipier Sébastien Loeb de deux secondes et Sébastien Ogier de 6"7. Ce dernier reste leader de l'épreuve avec 3"6 d'avance sur Hirvonen et 6 secondes sur Loeb. A noter la grosse déconvenue de Dani Sordo, qui est sorti de la piste et a perdu plus de 7 minutes.

Jari-Matti Latvala a en quand à lui perdu pas moins de 21 secondes et recule au quatrième rang à 23"5 de son coéquipier. Deux autres spéciales sont prévues en soirée et boucleront la première étape de cette cinquième manche du championnat du monde.

Citation :: Formule 1
Alexander Wurz va concurrencer Nicolas Todt...

Le pilote autrichien Alexander Wurz, toujours actif en endurance chez Toyota, prépare sa reconversion. Après avoir été consultant de la FIA et coach des pilotes Williams en F1 (car proche de son compatriote Toto Wolff), il se lance dans le management en prenant des jeunes pilotes sous contrat.

Le premier d'entre eux est Anglais, il se nomme Alex Lynn (19 ans) et court avec brio dans le nouveau Championnat d'Europe de Formule 3.

Un autre espoir britannique vient de signer avec le structure de Nicolas Todt, All Road Management, où il rejoint Felipe Massa, Pastor Maldonado et Jules Bianchi : il s'agit de James Calado, qui court en GP2 Series dans le team ART Grand Prix, dont Nicolas Todt est copropriétaire.

"J'espère qu'il se battra pour le titre en GP2 en démontrant qu'il possède les qualités pour courir en Grand Prix", a indiqué Todt Junior.

Citation :: Moto
8h de Suzuka, Schwantz : « je serai prêt »

omme nous vous l’annoncions hier, Kevin Schwantz prendra part aux 8 heures de Suzuka qui se tiendront le 28 juillet prochain.

L’Américain, qui aura alors 49 ans, a cédé à la tentation et fera donc équipe avec Haga et Kagayama. Retiré des courses depuis 1995, la question qui se pose est, bien entendu, de savoir dans quel état physique l’ancien champion du Monde se trouve mais c’est un point qui semble ne pas le perturber puisqu’il a déclaré à Cycle News qu’il serait prêt.

« Je suis assez bien en forme et je vais encore améliorer ma condition physique. Je ne serai peut-être pas en forme pendant 8 heures mais j'ai disputé une course d'endurance au Texas il y a quelques semaines et j'ai roulé une heure d’affilée sur la moto. Je sais ce que je dois travailler pour être mieux préparé et je ferai quelques tests avant l'événement. Je pense que je serai prêt ».

Citation :: Long Beach et Valence : entre démenti et hésitation

L'éventualité de voir la F1 revenir dans les rues de Long Beach est loin d'être confirmée, même s'il n'y a pas de fumée sans feu. Les responsables de l'IndyCar et le promoteur local ont démenti le retour d'un Grand Prix de F1 en Californie, en indiquant que l'IndyCar possédait une clause permettant de prolonger le contrat de cinq ans à son terme (2015).

Le spécialiste américain du marketing Zak Brown, actif en F1 également, a pour sa part nié être impliqué dans des négociations entre Bernie Ecclestone et la ville de Long Beach. Il faut savoir que Brown devrait être confirmé nouveau patron de l'IndyCar dans les semaines qui viennent...

En revanche, le réputé journaliste Gordon Kirby a écrit dans MotorSport que le maire de Long Beach Bob Foster se rendra à Montréal en juin prochain pour rencontrer Bernie Ecclestone. Si cela devait être le cas, cela signifierait que la ville californienne souhaite évaluer les retombées d'un Grand Prix de F1 par rapport à une épreuve d'IndyCar en tenant compte des coûts respectifs des deux événements.

Pendant ce temps, le président de la région Catalogne Artur Mas a précisé que l'alternance avec Valence pourrait toujours avoir lieu en 2014, mais que si ce n'était pas le cas Barcelone était prêt à organiser le Grand Prix d'Espagne tous les ans. Etant donné l'état désastreux des infrastructures à Valence, dont l'économie est exsangue, la seconde option semble devoir s'imposer...

Citation :: Formule 1
Williams tourne Kazakh !

L'écurie Williams va pouvoir compter sur un nouveau sponsor dès le prochain Grand Prix d'Espagne, qui marque l'anniversaire de la victoire surprise de Pastor Maldonado l'an passé.

Le groupe financier TAK (Kazakhstani Investment Business) va en effet profiter de l'impact mondial de la F1 pour promouvoir Astana, la capitale du Kazakhstan.

Astana est présent depuis plusieurs saisons dans le sport cycliste avec une équipe professionnelle, mais la diversification du sponsoring en Formule 1 devrait permettre de toucher une cible plus large.

Sir Frank s'est naturellement déclaré ravi de ce nouveau partenariat du team Williams avec un pays émergent regorgeant de pétrole... La situation politique incertaine au Venezuela pourrait à terme mettre en péril le soutien de PDVSA à Pastor Maldonado et une alternative est donc vitale pour l'équipe britannique. La promotion d'un pilote kazakh n'est toutefois pas à l'ordre du jour.

Citation :: Formule 1 : HRT renaît de ses cendres

Les moteurs Cosworth des HRT vont à nouveau vrombir, alors que l’équipe ibérique a été contrainte de mettre la clé sous la porte à la fin de la saison dernière. L’homme d’affaires espagnol Teo Martin, qui possède également une casse, compte aligner les deux HRT de 2011 qu’il a acquises dans le championnat européen de BOSS GP. Martin est parvenu à un accord avec l’homme d’affaires Carlos Molla pour engager ses HRT dans la discipline, dont le plateau est composé, entre autres, d’anciennes monoplaces de F1, de CART et d’IndyCar.

Citation :: Moto
Dovizioso et Hayden testeront la Desmo laboratoire ce lundi

Traditionnellement, les premiers tests d’après course de l’année avaient lieu à l’Estoril.

Maintenant que ce rendez-vous a disparu du calendrier, ces tests auront lieu, ce lundi, à Jerez.

Et chez Ducati, on en a des choses à tester puisque si Michele Pirro roulera en course avec la Desmosedici laboratoire ce dimanche, lundi, ce sera en quelque sorte son heure de vérité puisque cette fois, ce seront Nicky Hayden et Andrea Dovizioso qui seront amené à la tester.

Nous confessons une certaine impatience à l’idée d’entendre le feedback de ces pilotes.

Citation :: Moto
[CP] Stefan Bradl poursuivra sa chasse au podium en Andalousie

L'ensemble du paddock MotoGP est arrivé cette semaine en Andalousie pour disputer le Grand Prix d'Espagne, l’un des événements phare du calendrier, sur la traditionnelle piste de Jerez de la Frontera.

Rapide et performant lors des deux manches inaugurales de cette saison 2013, Stefan Bradl, le pilote du LCR Honda MotoGP Team, nourrit l'espoir de pouvoir se rapprocher davantage des ténors de la catégorie reine.

Après une course solide et studieuse au GP des Amériques, le jeune Allemand de 23 ans avait alors ouvert son compteur en empochant les 11 points de la cinquième place.

Stefan Bradl: “Je dois avouer que rouler ici en course pour la première fois de la saison en Europe m’excite un peu. Nous avons déjà eu l'opportunité de tester la moto à Jerez pendant trois journées en mars et les informations recueillies alors devraient nous permettre d'entamer ce week-end avec une base de réglages déjà bien établie. C'est une sorte de soulagement d’être de retour en Europe où nous allons retrouver un emploi du temps plus conventionnel, et l'atmosphère en Espagne a ce côté festif et passionné qui nous surmotive. Après avoir malheureusement chuté au Qatar, la satisfaction était légitimement présente d'avoir pu me battre dans le Top 5 à Austin sur un circuit aussi sélectif. Je pense donc que nous débarquons ici en Andalousie dans une bonne dynamique et avec une motivation qui devrait, je l'espère, pouvoir nous permettre de nous immiscer une nouvelle fois aux avant-postes.”

Citation :: Argentine-ES4: Loeb double Hirvonen

Sébastien Ogier (Volkswagen) a réussi jeudi le meilleur temps de la quatrième spéciale du rallye d'Argentine, en 18'01"5.

Il devance son coéquipier Jari-Matti Latvala de 4"0 et Sébastien Loeb (Citroën) de 6"5, alors que Mikko Hirvonen est relégué à 12"4.

Loeb prend ainsi la deuxième place du général à 12"5 d'Ogier (leader en 1h19'05"5), en devançant Hirvonen de 16 secondes et Latvala de 27"5.

Citation :: Argentine-ES5: Ogier maintient Loeb à distance

Les positions restent figées au rallye d'Argentine, jeudi à l'issue de la 5e spéciale entre Ascochinga et Agua de Oro (51,88km).

Sébastien Ogier (volkswagen) a réussi le chrono de référence en 38'08"6, devant Mikko Hirvonen (Citroën) à 2"1, Sébastien Loeb (Citroën) à 3"8 et Jari-Matti Latvala (Volkswagen) à 13"2.

Au général, Ogier (1h57'14"1) laisse Loeb à 16"3, Hirvonen à 18"1 et Latvala perd déjà pas mal de terrain, à 40"7.