[Sports Automobile] Sujet Général (2)

Sujet: [Sports Automobile] Sujet Général (2) Jeu 28 Mar 2013 - 15:31

Rappel du premier message :

Y'a-til des fans de formule 1, rallye, moto gp......

Parlons en ici

Citation :: Formule 1
Vettel redoute Ferrari

Sebastian Vettel estime que Ferrari devrait une nouvelle fois être l’équipe à battre ce week-end sur le circuit de Sakhir.

Fernando Alonso a dominé le récent Grand Prix de Chine, terminant une douzaine de secondes devant Sebastian Vettel, quatrième à l’arrivée au volant de sa Red Bull.

"Ils sont rapides le dimanche après-midi, comme les trois premières courses nous l’ont montré, a indiqué Vettel dans le paddock bahreïni. Ils semblent bien faire fonctionner leurs pneumatiques, et ils sont donc naturellement performants en course."

"Je ne m’attends pas à un quelconque changement ici, je m’attends à ce qu’ils soient à nouveau très performants, mais nous n’aimons pas nous focaliser sur nos adversaires. Nous nous focaliserons sur nous. Je pense qu’il y a plusieurs choses que nous pouvons améliorer afin de mieux faire fonctionner les pneus."

Red Bull a souvent critiqué Pirelli ces dernières semaines, reprochant au manufacturier italien d’avoir conçu des pneus trop peu endurants. Vettel a toutefois souhaité nuancer les propos de son écurie.

"Nous consacrons beaucoup de temps et dépensons beaucoup d’argent pour améliorer nos voitures, mais la course est de nos jours limitée par les pneumatiques. Après, c’est la même chose pour tout le monde. Au cours des dernières courses, certaines équipes ont fait un meilleur travail que nous, nous ne nous plaignons donc pas", a précisé le triple Champion du monde en titre.

"Pour être franc, je pense que nous n’étions tout simplement pas assez rapides en Chine. C’est pourquoi nous avons opté pour une stratégie décalée en qualifications car nous nous sommes assez rapidement rendus compte que nous ne pourrions pas nous battre pour la pole position."

Citation :: Moto
Jarvis remplace Rossi qui fait l’impasse sur la conférence de presse

Aujourd’hui, la conférence de presse du Grand Prix du Texas devait réunir Jorge Lorenzo, Marc Marquez, Cal Crutchlow, Ben Spies, Steve Sexton, le président du COTA et Valentino Rossi.

Toutefois, ce dernier vient de refuser d’y participer et sera remplacé par Lin Jarvis, le directeur général de Yamaha en MotoGP.

Le communiqué Yamaha se montre extrêmement laconique et spécifie simplement que Valentino Rossi est OK.

Retard dans les avions, mauvaise humeur, désaccord au sein de son équipe? Nous devrions probablement en apprendre plus dans les minutes ou heures qui viennent.

On émet tout de même une hypothèse ? Et si Valentino Rossi avait refusé de s’y rendre pour marquer son désaccord sur l’expulsion du COTA de son grand ami Kevin Schwantz ?

Affaire à suivre…

Citation :: Formule 1
De la pluie ce vendredi à Bahreïn ?

La météo est capricieuse à Bahreïn, quelques averses s’abattant sur la région depuis ce début de semaine.

Les prévisions actuelles font état d’un léger risque de pluie pour les deux premières séances d’essais libres de demain. Un comble quand on sait qu’il ne tombe en moyenne qu’un centimètre de pluie en avril dans le Royaume !

Toutefois, même en cas de faibles précipitations (comme ce fut le cas aujourd’hui à deux reprises), l’asphalte ne mettra que quelques secondes à sécher avec une température ambiante dépassant les 35°C. Le mercure devrait aussi pointer aux alentours des 35°C pour les qualifications et la course, avec une température de piste qui pourrait atteindre les 50°C.

Citation :: Moto
Valentino Rossi a loupé son vol…

La raison pour laquelle Valentino Rossi a loupé la conférence de presse est enfin connue…l’Italien a manqué son vol !

C’est un début de Grand Prix décidément bien chaotique.

A ce sujet, notons que l’Italien n’est pas le seul à avoir connu des mésaventures avec les avions puisque le team de Maverick Viñales a mis deux jours pour rejoindre Austin !

Citation :: Moto
Dominicali remplace Del Torchio. Ducati reste en Italie…en partie !

La semaine dernière, nous vous avions relayé une information de GPOne qui annonçait le probable passage de Gabriele Del Torchio, AD de Ducati, de Borgo Panigale à Alitalia, la compagnie aérienne italienne.

Deux personnes étaient pressenties pour le remplacer : un allemand, Wolfgang Durheimer et un italien, Claudio Domenicali, l’actuel Directeur Général du constructeur. Et c’est ce dernier qui a finalement été choisi par AUDI.

Dominicali est entré chez Ducati en 1991 et y a occupé successivement les fonctions d’Administrateur Délégué de Ducati Corse, de Directeur recherche & développements et dernièrement, de Directeur Général et responsable des processus de développement des produits et des opérations.

Avec le départ de Filippo Preziosi il y a quelques semaines et à présent, celui de Gabriele Del Torchio, c’est l’ensemble du projet Rossi qui a quitté Ducati. En effet, Del Torchio avait été le principal artisan de la venue de Rossi. L’Italien avait en effet été jusqu’à annoncer sa venue, à demi-mot, un an avant qu’il ne signe (Wrooom 2010).

Citation :: Moto
5 questions à Jules Danilo, un espoir de la moto française

Après avoir montré tout son talent en championnat de France et en championnat d’Europe, Jules Danilo franchit un cap cette saison et se concentre sur le très relevé CEV (Championnat d’Espagne de Vitesse), l’antichambre des Grands Prix.

Il aura cette année l’occasion de partager les paddocks avec les meilleurs pilotes du monde, puisqu’il sera pilote invité au Grand-Prix de France. 5 questions à un espoir de la moto française.

GPi : « Jules, ça fait longtemps que tu attendais la réponse de ta participation au Grand-Prix de France. C’est maintenant officiel, alors, impatient je suppose ? »

La demande de wild-card de notre côté était prévue depuis plus de 2 mois déjà, donc oui en effet j’étais très impatient de connaître la réponse ! Et puis étant donné que la wild-card est attribuée aux pilotes participants au FSBK, la course du Mans était la course décisive pour l’obtenir, et j’y suis parvenu. C’est une très grande opportunité pour moi, ce sera ma première course en GP donc forcément un peu de pression, mais je pense qu’il va falloir rester le plus calme possible. Ça passera surtout par une bonne préparation avant l’évènement, afin de vraiment me concentrer sur ce qu’il y’a à faire.

GPi : « Tu partageras le box de Livio Loi que tu connais bien pour avoir souvent disputé les mêmes places lors de différentes courses. Tu es donc capable d’être au moins aussi rapide que lui, ça sera un objectif du week-end ? »

Je connais bien Livio et ça fait plusieurs années qu’on court ensemble. L’écart entre nous deux n’a jamais été très grand, et nous nous sommes souvent battus à moto égale ! Livio est un pilote rapide, et je pense qu’une fois au GP du Mans, il aura emmagasiné un bon rythme en Grand Prix. Mon objectif n’est pas de le battre à tout prix, il faut que je puisse rouler au maximum de mes capacités sans me concentrer sur les autres.

GPi : « Après avoir roulé sur une Honda, tu passes cette année sur une Kalex KTM qui fonctionne plutôt bien en GP. Quelles sont tes premières impressions de cette moto ? »

La Kalex est une moto qui paraît très rigide de l’extérieur, mais finalement on arrive bien à ressentir l’adhérence, surtout au niveau de l’avant, et ça c’est très important car sans feeling de l’avant il est difficile d’attaquer. C’est un châssis assez nerveux sur les bosses mais avec un moteur plus agréable et progressif que le Honda, ce qui donne un bon compromis.

La moto sur laquelle je roule est celle de 2012, c’est un châssis qui est plus long et plus lourd que la 2013. Il y a quelques différences au niveau moteur également car KTM proposent des kits GP qui ne sont pas proposés aux championnats nationaux. GPi : « Tu as totalisé 14 points en 4 courses l’an dernier dans le CEV, sur des circuits que tu ne connaissais pas. Tu vises quelles places du championnat en fin d’année ? »

L’an passé, en CEV, ça a été une bonne saison pour moi, surtout vers la fin, car j’ai obtenu deux dixièmes places, au Championnat d’Europe et à la dernière de Valence. Pour ce début de saison 2013, il faut donc que je reparte sur ces mêmes bases voire mieux vu le matériel dont je dispose. Il ne faut pas non plus que je me mette trop de pression car ça ne va pas aider, mais il en faut tout de même un peu car c’est vraiment une année importante pour moi si je veux accéder au mondial en 2014. Un top 5 au final serait génial !

GPi : « Hormis dans le championnat d’Espagne, on pourra te retrouver sur d’autres courses cette année ? »

Le championnat d’Espagne sera vraiment mon plus gros point de travail et donc notre base. Je vais certainement participer au Championnat d’Europe en fin de saison mais il n’y a rien de sûr de ce côté-là car c’est encore loin pour le moment. Je vais essayer d’obtenir d’autres wild-cards avec l’implication de l’équipe VDS car je ferai partie de leur équipe pour le GP de France. Malheureusement c’est compliqué d’en obtenir d’autres quand il ne s’agit pas de son Grand-Prix national. L’an passé les wild-cards étaient attribués à 4 ou 5 pilotes maximum, mais cette année le règlement a changé, et c’est descendu à 2. On verra si toutefois il y a des possibilités sur d’autres GP, mais pour le moment rien n’est sûr ».

Citation :: Formule 1
Massa et le challenge Alonso

F1i

Fernando Alonso est l’un des meilleurs pilotes du plateau. L’Espagnol rend donc logiquement la vie dure à ses équipiers.

Felipe Massa, qui épaule l’Ibère depuis maintenant quatre saisons chez Ferrari, est toutefois heureux de faire équipe avec un pilote de cette pointure.

"J’ai toujours eu des équipiers compétitifs dans ma carrière, nous a confié le Brésilien dans le paddock de Sakhir. La plupart des gens estiment que ce n’est pas une bonne chose d’être confronté à un équipier de haut niveau, mais je pense que c’est bénéfique. Cela vous oblige à aller chercher le meilleur de vous-même à chaque instant car, si vous ne faites pas votre job à la perfection, vous serez toujours derrière. En termes d’expérience, vous apprenez beaucoup au contact d’un équipier redoutable."

"Je pense que beaucoup de personnes considèrent Fernando comme étant le meilleur pilote au monde. Je dois donc beaucoup travailler et je pense que c’est une bonne chose en définitive. Vous êtes toujours sous pression car vous devez tout faire à la perfection chaque jour. Mais j’aime ça. Je pense que c’est une bonne chose. Nous ne cessons jamais de nous améliorer et c’est ce que j’essaye de faire chaque jour."

Jusqu’au Grand Prix de Chine, Massa était parvenu à battre quatre fois consécutives Alonso dans l’exercice des qualifications. Preuve que le Pauliste se sent bien plus à son aise au volant de la Ferrari.

"Depuis l’an dernier, nous avons beaucoup appris sur la façon de faire fonctionner les pneus. Cette année, je suis vraiment à mon aise quand je prends le volant, ce qui me permet de faire un meilleur job", a-t-il conclu.

Citation :: Formule 1
Rosberg ne ressent aucune frustration

F1i

Après trois Grands Prix, Nico Rosberg occupe une lointaine septième place au championnat, à 28 points de son équipier Lewis Hamilton. Un retard qu’il doit principalement à ses abandons survenus sur problème mécanique aux Grands Prix d’Australie et de Chine.

L’Allemand n’éprouve toutefois aucune frustration, trouvant du réconfort dans la compétitivité de sa Mercedes.

"Ce fut décevant de ne pas terminer ces deux courses, c’est sûr, mais je regarde vers l’avant car je sais que j’arrive ici avec une bonne auto et avec la conviction de pouvoir me refaire ce week-end", nous a-t-il indiqué dans le paddock de Sakhir.

"Disposer d’une voiture compétitive est une sensation agréable que je n’ai que rarement éprouvée l’année dernière. A partir de la moitié de la saison, notre championnat était déjà terminé, nous n’étions nulle part. Je suis donc impatient de disputer ce Grand Prix, sachant que je peux compter sur une monoplace performante."

Mercedes avait particulièrement souffert de l’usure excessive de ses pneus sur le circuit de Sakhir l’an dernier. Rosberg se veut toutefois confiant pour cette nouvelle édition du Grand Prix de Bahreïn.

"Notre principal problème ici l’année dernière était que nos pneus chauffaient de trop, mais je suis convaincu que nous nous sommes grandement améliorés. Nous devrions donc être en meilleure forme", a-t-il précisé.

Citation :: GP de Bahreïn: Manifestation à trois jours de la course

Des milliers de personnes ont participé jeudi à une manifestation anti-gouvernementale à Bahreïn, à trois jours du Grand Prix de Formule Un qui sera disputé dimanche sur le circuit de Sakhir. L'opposition considère cet événement sportif, en raison de son retentissement médiatique, comme un moyen de faire entendre ses revendications. L'agence Reuters indique qu'entre 2 000 et 3 000 manifestants ont défilé à Karzakkan, au sud-ouest de Manama, la capitale. Ils demandaient la libération des détenus politiques et brandissaient des banderoles sur lesquelles on pouvait lire "la démocratie est un droit". "A bas Al Khalifa !", scandaient les protestataires, visant la famille sunnite qui règne sur ce petit royaume peuplé majoritairement de chiites. En 2011, le Grand Prix de Bahreïn avait dû être annulé après des manifestations qui avaient fait au moins 35 morts. L'an dernier, malgré de nouvelles violences, l'épreuve avait pu être disputée.

Citation :: Le Grand Prix de Formule 1 de Bahreïn démarre sur fond de tension

L'opposition chiite bahreïnie a appelé ses partisans à manifester massivement vendredi, jour des essais libres du Grand Prix de Formule 1, pour faire entendre ses revendications de réformes démocratiques dans ce petit pays du Golfe.

Les forces de sécurité, mobilisées pour l'événement, sont sur le qui-vive pour prévenir tout débordement dans les manifestations organisées ces derniers jours par l'opposition, notamment le Collectif du 14 Février, un groupe radical qui a placé ses protestations contre la F1 sous le slogan "Volcan de colère".

Des barrages de contrôle ont été érigés aux principaux carrefours, en particulier sur les routes menant au circuit de Sakhir, au sud de Manama, où se jouera la course dimanche.

"Non à la +Formule 1 du sang+" et "Votre course est un crime", ont scandé jeudi selon des témoins les partisans du Collectif du 14 Février, qui seront mobilisés pour protester "énergiquement" vendredi matin contre le GP.

Plus conciliants, les mouvements de l'opposition traditionnelle, conduits par la puissante formation chiite Al-Wefaq, ont prévu une grande manifestation en milieu d'après-midi sur l'autoroute de Boudaya, à 4 km à l'ouest de Manama, qui relie plusieurs villages chiites.

Cette manifestation doit couronner une semaine de protestations qui se sont déroulées jusqu'ici dans le calme, tranchant avec celles du Collectif du 14 février qui dégénèrent souvent en heurts entre protestataires et policiers.

"Nous ne sommes pas contre le GP de Formule 1 mais nous voulons faire entendre au monde nos revendications: nous voulons la démocratie, le respect des droits de l'Homme, un gouvernement issu d'élections", a déclaré à l'AFP un dirigeant du Wefaq, Khalil Marzouk.

"La violence engendre la violence", a-t-il cependant averti alors qu'un dialogue national, amorcé en février entre l'opposition et le gouvernement, piétine.

Les autorités restent sereines: "Il n'y a pas de problème de sécurité", a assuré mercredi à l'AFP la ministre d'Etat à l'Information, Samira Rajab, assurant que les troubles attribués au Collectif du 14 Février n'étaient "que des agissements d'adolescents animés par des groupes à la solde de l'Iran".

Le président du Bahreïn International Circuit (BIC), Zayed Alzayani, a assuré jeudi que le GP était "un événement national auquel 77% de la population sont favorables, selon un sondage Nielsen".

"Il y a des incidents mineurs mais aucune menace directe pour la course", a-t-il ajouté à la presse, en tablant sur "25.000 spectateurs dimanche".

Toutefois, HRW a déploré le silence des organisateurs du GP face aux "abus en matière de droits de l'Homme (à Bahreïn) qui semblent être directement liés à la course", en dénonçant une récente vague d'arrestations "arbitraires" de militants d'opposition dans des localités proches du circuit de Sakhir.

"Les responsables qui se soucient de F1 doivent tenir compte des souffrances humaines et de la répression qui entachent leur sport", écrit l'organisation.

Bahreïn est le théâtre de troubles récurrents depuis février 2011 en raison d'un mouvement de contestation animé par les chiites, majoritaires dans la population, contre la dynastie sunnite des Al-Khalifa au pouvoir.

Le Grand Prix avait été annulé en 2011 en raison de cette instabilité politique. Lors de l'édition 2012, l'opposition avait organisé des manifestations, parfois violentes, pour attirer l'attention sur ses demandes de réformes politiques, mais sans entraver le déroulement de la course.

Citation :: Quand Hamilton s’est fait refouler de chez McLaren…

Lewis Hamilton a confié dans le paddock de Sakhir qu’il s'était fait refouler de chez McLaren, lors des premiers essais hivernaux de Jerez, en février dernier, quand il avait voulu dire bonjour à son ancienne écurie.

"Je suis allé les voir en Australie, mais j’ai aussi essayé à Jerez, lors des tests, et [le directeur sportif] Sam Michael m’a foutu dehors ! Ce n’était pas vraiment sympa de sa part, je n’ai pas apprécié", a-t-il indiqué.

Hamilton a passé ses six premières années en Formule 1 avec McLaren. Il court cette saison pour Mercedes, avec qui il a signé un contrat de trois ans.

Citation :: Vettel raille le dîner entre Webber et Alonso

Sebastian Vettel a pour le moins réagi avec cynisme au dîner en tête-à-tête entre son équipier Mark Webber et Fernando Alonso.

L’Espagnol a posté en début de semaine sur son compte Twitter une photo de Webber et lui dans un restaurant de Dubaï avec la légende "dîner entre amis". Il l’a ensuite retirée, sans doute pour éviter toute polémique inutile.

Interrogé sur la portée de ce dîner dans le paddock de Sakhir, Vettel a eu du mal à cacher son agacement : "Etaient-ils nus ? Vous savez, nous avons tous besoin de manger, mais je ne regrette pas d’avoir manqué ce moment."

Webber, qui est managé par Flavio Briatore, tout comme Alonso, a ajouté : "Je connais Fernando depuis 13 ans. Beaucoup de pilotes nouent des liens. J’aurais très bien pu dîner avec Jenson [Button]. Pourquoi ne pourrais-je pas ? Nous avons aussi une vie sociale vous savez !"

Citation :: Moto
Valentino Rossi s’est offert 300 bornes en taxi !

Hier, c’est Lin Jarvis qui s’est assis à la table de la conférence de presse aux côtés des pilotes et du Président du COTA, Steve Sexton.

Comme nous vous l’avons rappelé hier, la présence du Manager de Yamaha Racing en Grand Prix avait pour but de palier à l’absence de Valentino Rossi.

En effet, après avoir dû patienter (et on comprendra aisément pourquoi au vu des tragiquement évènements qui ont touché la ville) pendant deux heures et demie avant de pouvoir présenter son passeport à l’aéroport de Boston, l’Italien a manqué son vol et n’a donc pas pu arriver à l’heure au circuit.

Mais son périple ne s’arrêtait pas là puisqu’il se voyait contraint de prendre un vol pour Houston et non pas pour Austin.

Une fois sur place, c’est alors en taxi que l’italien a terminé son trajet.

« J'ai passé 2h30 dans une file pour le contrôle des passeports à Boston, ensuite j’ai atterri à Houston au lieu d’Austin et à partir de là, nous avons pris un taxi. Il y a 300 km entre les deux villes mais c'était la seule option pour arriver ici dans un délai raisonnable ».

Après s’être fait ramener au parc fermé par Andrea Iannone au Qatar, on dirait bien que ça devient une habitude, pour l’Italien, d’emprunter les taxis.

L’histoire ne dit toutefois pas qui de lui ou de Yamaha a réglé l’addition qui, on n’en doute pas un instant, ne pouvait qu’être salée !

Citation :: Moto
Austin, crash : Lauren et Randy de Puniet ont eu très chaud

Entre le premier Grand Prix de la saison au Qatar et le second, à Austin, la famille de Puniet s’était offert quelques jours de vacances aux Bahamas.

Et ces vacances ont bien failli tourner au drame puisqu’en quittant leur lieu de villégiature, l’avion s’est crashé en atterrissant à Black Point.

Heureusement, plus de peur que de mal puisque comme le précise l’épouse du pilote sur Twitter, l’accident s’est produit une fois que l’avion était déjà au sol et pas lors de atterrissage.

Décidemment, la liste noire du Grand Prix d’Austin commence à devenir très longue même si, dans ce cas, l’issue est finalement heureuse.

Citation :: Formule 1
Alonso ne fait pas de politique…

Fernando Alonso a souhaité relativiser le retour de la Formule 1 à Bahreïn, même si la tenue du Grand Prix dans ce petit royaume du Golfe est encore assez controversée.

Avec pas mal de franchise, le pilote espagnol a confié à la presse hier, dans le paddock, que la Chine n’était pas mieux placée en matière de droits de l’homme. Pourtant, la F1 y court depuis maintenant dix ans.

"Si nous commençons à faire de la politique, alors, quand nous nous rendons en Chine, nous devrions nous préoccuper de ce qui se passe dans leurs usines. Même chose quand nous allons en Inde, où on dit que les enfants sont exploités, voire même en Espagne où il y a de la corruption au niveau politique", a-t-il indiqué.

Citation :: La stratégie pourrait ne pas aider McLaren

F1i

Jenson Button est conscient que disposer d’une bonne stratégie pourrait ne pas suffire ce week-end à Bahreïn.

La semaine dernière, le Britannique était parvenu à s’adjuger la cinquième place à l’arrivée du Grand Prix de Chine – ce que ne valait sans doute pas sa McLaren – au prix d’une excellente stratégie.

"Je pense que nous ne cessons de nous améliorer depuis la première course, a-t-il indiqué en conférence de presse hier. Nous nous sommes améliorés lors de chaque Grand Prix et je pense que ces circuits convenaient peut-être un peu mieux à notre voiture que celui-ci."

"Pour terminer cinquièmes à l’issue de la dernière course, devant des voitures très rapides, nous avons dû faire les choses différemment. La cinquième place n’est pas là où nous voulons être, mais je pense que nous avons beaucoup appris le week-end dernier en Chine."

"Oui, nous avons dû essayer une stratégie différente, nous sommes partis sur une course à deux arrêts, ce qui fut loin d’être simple. Ici, nous devons attendre avant de nous prononcer. Les pneus seront mis à rude épreuve ce week-end, il fait très chaud. Nous devons voir quel sera le niveau d’usure des pneumatiques avant de voir ce que nous ferons. Mais je pense qu’il est fort probable que la plupart des pilotes seront sur la même stratégie.

"

Citation :: Libres 1 : Massa (Ferrari) le plus rapide

Felipe Massa (Ferrari) s'est montré le plus rapide des essais libres 1, vendredi à Sakhir, en 1'34"487. Il a devancé Fernando Alonso (Ferrari) de 0"077 et Nico Rosberg (Mercedes) de 0"134.

Citation :: GP Bahreïn-Libres 1: Ferrari sur sa lancée

Felipe Massa a signé le meilleur temps des premiers essais libres du Grand Prix de Bahreïn, vendredi, tournant en 1'34"487 au volant de sa Ferrari. Frais lauréat du Grand Prix de Chine, Fernando Alonso lui emboite le pas, deuxième de la séance à 77 millièmes, avec la Mercedes de Nico Rosberg dans le rétroviseur (+0"134). Sebastian Vettel suit sur Red Bull à trois dixièmes, alors que la première McLaren, celle de Jenson Button, pointe au sixième rang, à près de six dixièmes. A noter par ailleurs le tir groupé des Lotus de Kimi Räikkönen et Romain Grosjean, 9e et 10e à huit dixièmes et une grosse seconde de chrono de référence.

Citation :: Moto
Lorenzo : « avoir testé en mars n’est pas un avantage »

Jorge Lorenzo, à l’instar de Rossi, Bradl, Pedrosa et Marquez, a eu l’occasion de découvrir le tracé d’Austin lors des tests privés Honda du mois de Mars.

Pourtant, si on en croit le récent vainqueur du Grand Prix du Qatar, le fait d’avoir déjà pu dégrossir le travail sur ce circuit compliqué, ne représente pas un avantage déterminant. C’est en tout cas ce qu’il a confié à nos confrères de GPOne.

« Si on ne disposait que d’une ou deux séances d’essais libres ça aurait été un avantage pour nous d’avoir mené des tests ici mais quatre séances suffisent à tous les pilotes pour apprendre la piste. Ce n'est pas non plus évident de retrouver automatiquement la confiance des essais de mars, il faudra un peu de temps pour moi.

Le COTA est un tracé complet et difficile. Un premier virage en montée et en aveugle après le départ, je n'avais jamais vu ça avant, c’est très spécial et ce n'est pas facile de trouver le point de freinage. Ensuite, il y a de nombreux petits virages et la première partie de la chicane. Ce n’est pas facile de trouver directement les bonnes trajectoires ».

Citation :: Formule 1
Hankook à la place de Pirelli ?

Une des inconnues de la saison 2014 - qui n'en manque pourtant pas - concerne les pneumatiques, dans la mesure où la FIA n'a pas encore renouvelé le contrat avec Pirelli.

On sait que Pirelli souhaite poursuivre l'aventure à certaines conditions (notamment financières) toujours en tant que fournisseur unique. La date-butoir est fixée à juin 2013, mais Paul Hembery, le manager de Pirelli Motorsport, a indiqué que le plus tôt serait le mieux afin de préparer la saison prochaine le mieux possible.

Dans l'ensemble, les teams sont favorables à une stabilité car de nombreux paramètres vont changer l'an prochain, même si certaines équipes ne seraient pas fâchées de voir un partenaire plus conservateur aux affaires après la polémique créée par les gommes tendres à dégradation rapide fournies cette saison par Pirelli.

Il semble que la FIA ait lancé un appel d'offres pour respecter une procédure déterminée par le conseil mondial et que, comme lors du précédent tour de table en 2010, la marque Hankook serait sur les rangs. Son président Hyan Bum Cho a confirmé être en négociation directe avec Bernie Ecclestone.

Le manufacturier coréen, déjà fournisseur du DTM et présent en F3, pourrait donc créer la surprise ou constituer une alternative au cas où Pirelli renoncerait à continuer en F1 en raison de la controverse liée à... son respect du cahier des charges. Ce sont en effet les décideurs de la F1 qui ont demandé aux Italiens de produire des pneus à dégradation rapide afin de pimenter le spectacle des Grands Prix.

Citation :: Moto
Une moto française en MotoGP? Avec le projet GECO, c'est possible!

Alors que le Championnat du Monde MotoGP a repris ses droits et que comme la plupart d’entre vous, nous piaffons d’impatience à l’idée de voir les moteurs rugir sur les pistes du monde entier, d’autres, comme Eric Offenstadt et son équipe, continuent leurs recherches pour ramener une moto de conception française parmi l’élite.

Quoi ? Une moto française en course d'endurance ? Un concept tricolore ? Parfaitement !

Pour les adeptes des revues spécialisées ou les membres du groupe facebook « une moto française en MotoGP », le sujet n’est pas neuf. Toutefois, c’est aussi de ceux qui, aujourd’hui encore, viennent de se poser les trois questions précédentes, qu’Eric Offenstadt a besoin.

Mais commençons par le début, la remise en question de plusieurs décennies de recherche du monde des deux roues.

Certains conformistes imperméables aux nouveaux courants de pensée vont probablement avoir envie de mettre un terme anticipé à leur lecture mais pourtant, si vous lui accordez dix petites minutes, le GECO pourrait bien vous étonner.

GECO, c’est le nom du prototype qui, aujourd’hui à l’étude, pourrait, si on lui en offre les moyens, se concrétiser sur les circuits et donner aux français l’orgueil et la fierté qui, en 2007, a comblé les tifosi de la Ducati.

A la base de ce projet novateur, on retrouve une notion clé, la fonction homocinétique (utilisée en F1 depuis 50 ans).

GPi : Eric, comment en es-tu arrivé à vouloir créer une alternative à la suspension traditionnelle ?

Pour parler populaire, je dirais que j’ai mis 35 à comprendre comment fonctionnait une moto. Après avoir arrêté de courir, je suis rentré dans une société de la plus grande zone industrielle de l’époque française, près de Pontoise et on y a construit la première transmission arrière homocinétique mais sans le savoir, c’était purement intuitif.

A cette époque, nous avions construit un bombardier avec une transmission arrière qui réduisait l’usure du pneu et ça s’entendait directement au bruit lorsqu’elle passait sur les bosses. La transmission supprimait les accélérations de roue parasites.

Ensuite, c’est en travaillant pour les fourche W.P., qui avait loué un de mes brevets, et Aprilia qui m’avait demandé de lui construire une suspension avant alternative, que je me suis rendu compte que ce qui avait l’air très compliqué, à savoir les accélérations de roues parasites, était ce qui provoquait toute l’adhérence et toutes les réactions entre la machine et son centre de gravité.

GPi : est arrivé ensuite le proto Tecmas…

Ça, c’est 5 ans plus tard et cette fois, nous avons travaillé sur l’avant et sur l’arrière. Sylvain Guintoli l’a essayé. Il tournait à 1,2 seconde des Ducati d’usine au test Michelin (même jour, même pneu) avec le vieux proto Tecmas 500 bicylindre. Malheureusement, l’écurie n’avait pas un sous et ne pouvait pas construire.

A l’époque, Sylvain avait demandé à son écurie en 250 de monter les T de fourche sur son Aprilia, ce qui a été refusé. C’est dommage puisque lorsqu’il a été interviewé par Moto Revue il y a de ça deux ans, il avait déclaré avoir enrhumé Bayliss, or, à l’époque, je ne pense pas qu’il roulait aussi vite que l’Australien.

Tecmas a été viré des Grands Prix par la Dorna et n’ayant plus les fonds nécessaires, le proto a été vendu à un particulier.

GPi : Après cette mise en bouche, on en arrive à ne plus tenir en place. Qu’est-ce que le principe homocinétique ?

Le principe homocinétique, qui est présent sur les voitures depuis 1963, signifie que les bosses ne font pas accélérer ou décélérer les roues c’est-à-dire qu’il n’y a pas de perte d’adhérence des roues en passant sur les bosses.

Les cardans homocinétiques sur les voitures ont 50 ans ! En Formule un, ils vont jusqu’à traquer la fonction homocinétique au centième de millimètre. Ils vont même jusqu’à calculer l’influence de chaque coup de piston 600 fois par seconde sur l’accélération de la roue tellement c’est néfaste à l’adhérence tandis que nous, les motards, on a 45 millimètres à l’avant !

En fait, sur les motos, on a un tas de défauts homocinétiques et tout le monde s’en fou. En fait, on ne s’est jamais posé la question.

GPi : et le GECO là-dedans, il en est où ?

Le GECO c’est une des applications de ce principe, aussi bien au niveau de la suspension avant que de la suspension arrière.

Sur notre groupe Facebook, nous avons monté une association afin de récolter un peu de fonds. Nous avons déjà pu recueillir 10.000 euros et c’est déjà énorme car nous partions sans le moindre budget et aujourd’hui, il est de 25.000 euros. Nous pouvons respirer un tout petit peu: Mais c'est juste assez pour la mettre sur roues. Quand on voit le budget que trouve le père d'Abraham pour faire quelques points au championnat, c’est un peu triste. Notre projet en est à une quarantaine de pages dans la presse avec 0 euros de budget et c’est pour nous difficile de comprendre que certaines personnes dépensent autant d’argent pour aussi peu de retombées, mais c’est un autre débat.

GPi : Tu as tout de même reçu quelques soutiens ?

D’abord, par l’intermédiaire de Christophe Guillot que je remercie, Eric de Seynes nous a prêté une R1 et le service "recherche compétition" de Michelin nous offre sa collaboration technique. Ensuite, nous pouvons également compter sur le soutien de Spem, de l’Université de technologie de Montpellier, de Paul Mas, de l’Assurance mutuelle des motards, de TS, de Titan, de Rome motos, de France équipement et du Lycée Jean Moulin de Béziers.

Maintenant, nous avons un stagiaire qui se consacre entièrement au dessin de pièces.

Certaines pièces sont usinées mais cette moto, c’est 15 fois plus de travail qu’une machine traditionnelle parce que tout est à dessiner alors que sur une moto traditionnelle, tout est dessiné depuis toujours, il n’y a pas d’étude de géométrie ou de calculs de cinématique à faire, il suffit de commander la fourche chez Öhlins. C’est finalement assez simple pour faire une moto dans le coup, il suffit d’en prendre une qui gagne et la copier !

GPi : Si tout se passe comme prévu, quand voudrais-tu présenter la moto au public ?

Pour l’instant, le programme prévoit que nous allons essayer de présenter la moto pour la manche du Superbike à Magny-Cours. Mais la rapidité est entièrement liée au financement. Plus nous récoltons de fonds plus vite nous allons pour faire usiner des pièces. Pour le moment, nous faisons tout à l’ancienne, par des bénévoles et au meilleur tarif possible.

GPi : Une idée de qui va l’essayer ?

Je sais déjà que ce sera Bruno Vecchioni qui fera le premier déverminage, histoire de voir quand on passe la première, si la moto roule et quand on freine, si ça freine.

Après, le pilote pressenti pour le développement, c’est Thomas Métro. Evidemment, Thomas est fort typé Ducati et ce n’est pas certain qu’il puisse nous donner des renseignements comparatifs avec une R1.

De suite après, ce seront les pilotes de Christophe Guillot qui prendront le relais à moins que Thomas Métro ne se mette dans le coup directement.

Le développement sera compliqué car nous avons à dégrossir des tas de choses complètement inconnues jusqu’à maintenant.

GPi : Et au niveau de l’électronique ? Quid ?

Les essais, nous allons les mener avec un moteur stock et une électronique basique.

GPi : Elle te permettra tout de même de récolter des données utiles ?

Il s'agit de comparer les chronos de notre moteur R1 "STOCK" avec une R1 "stock". Le souci c’est que cette moto-là est tellement différente, que même l’électronique la plus sophistiquée ne pourra pas marcher. On a intérêt à travailler avec l’électronique la plus basique dans le sens où une électronique sophistiquée aurait pour effet de corriger les avantages que notre technique pourrait produire. Par exemple, la moto, à l’arrière, ne se lèvera plus au freinage ou plutôt, elle se lèvera mais avec beaucoup plus de puissance, il faut également mettre beaucoup plus de puissance à l’accélération pour lever la roue avant…donc l’électronique va nous réduire la puissance et en conséquence, elle ne va pas nous avantager.

GPi : Et concrètement, quel gain peut espérer amener le GECO ?

Le gain au niveau de l’adhérence, on ne sait pas bien ce que ça peut donner puisqu’actuellement, les pneus sont conçus pour des suspensions qui travaillent mal ! Par exemple, si on utilise les Michelin (Avec qui nous collaborons) qui ont été fabriqués pour une 1000 : les pneus ne vont pas chauffer puisque notre suspension va être parfaite au niveau grip mécanique.

Avec notre suspension, on va pouvoir utiliser des pneus beaucoup plus tendres donc on va gagner sur l’adhérence mais aussi sur l’adhérence des pneus.

Le jour où il va faire chaud et que les autres vont devoir passer les durs et que nous, nous pourrons mettre les tendres, on pourrait, si la mise au point est aboutie, leur mettre une valise. Et puis, le jour où il fera plus froid et que nous serons obligé de mettre les mêmes pneus qu’eux, c’est nous qui allons la prendre la valise. On ne peut donc pas répondre à cette question dans ce domaine.

Par contre, sur le système à trois amortisseurs qui permet de freiner 12% plus tard et d’accélérer 12% plus fort avant le délestage, on peut chiffrer assez facilement.

Mais pour freiner plus tard, il faut aussi que le pilote en soit capable car il faut avoir du courage. Quand on a essayé le proto Tecmas qui freinait 8% plus tard, Guintoli a mis une demi-journée pour y arriver. Et j’ai tendance à dire qu’il a de la chance de n’avoir eu besoin que d’une demi-journée car d’autres n’y sont jamais arrivés.

En fait, pour pouvoir utiliser un truc comme ça, il faut un des 20 meilleurs mondiaux car le mec qui ne lève déjà pas la roue au freinage avec une moto normale, c’est évident qu’il ne va pas pouvoir freiner plus tard avec le GECO ».

Comme Eric Offenstadt vous en a parlé, avec l’aide quelques personnes, il a monté l’association GECO MOTO et un de ses objectifs est de permettre de récolter des fonds en toute transparence.

Si vous désirez, vous aussi, participer à ce projet et que vous avez envie d’y contribuer financièrement, il vous suffit de cliquer ici.

Si par contre vous n’avez pas envie de débourser de l’argent mais que le projet vous a enthousiasmé, vous pouvez rejoindre Eric sur la page Facebook de l’association en cliquant ici ou simplement en parler autour de vous ou encore, partager cet article ou un de ceux de nos excellents confrères que sont par exemple nos amis de Sport Bikes, de Moto Revue, de Moto-Sport Suisse…

Nous terminerons cet article inédit pour GP-Inside en présentant tout d’abord nos plus vives excuses à Eric pour avoir mis trop de temps à le publier et en vous disant que parfois, nous avons entendu les sceptiques prendre Eric Offenstadt pour un fou. Toutefois, il faut toujours avoir à l’esprit que derrière chaque grande réalisation, il y a toujours eu une grande idée imaginée par un grand penseur que souvent, les gens ont d’abord pris pour un fou.

Eric et ses amis ont le courage de défier des années de conception classique de la moto et nous ne pouvons que lui souhaiter d’y parvenir.

Citation :: Formule 1
Honda pourrait fournir Sauber en 2015

Si les écuries de F1 ne se sont toujours pas entendues sur un RRA (Resource Restriction Agreement) pour contrôler les budgets, à cause des positions divergentes des top teams (Red Bull Racing pas d'accord avec la procédure d'audit), les équipes du milieu de tableau sont inquiètes de l'inévitable envolée des coûts à partir de 2014 en raison de l'entrée en vigueur de la nouvelle réglementation. On sait que le prix de fourniture des moteurs V6 turbo va grimper d'une dizaine de millions actuellement à plus de vingt millions.

Certains constructeurs proposent des accords à long terme pour amortir l'investissement, comme Mercedes qui a récemment prolongé avec Force India jusqu'en 2017 et Renault qui propose des partenariats jusqu'en 2020 (au terme de la réglementation).

Dans ce contexte, Sauber se tâte à l'idée de poursuivre avec Ferrari, sans doute le fournisseur le plus cher du marché à 23 millions d'euros avec le supplément "power train" comprenant l'ERS et la transmission. Toro Rosso est aussi dans ce cas et devrait se tourner vers Renault, déjà lié à la grande sœur Red Bull Racing. L'écurie helvétique pourrait s'orienter vers Honda à partir de 2015, quand la marque japonaise reviendra avec McLaren.

La FIA a en effet insisté pour que la firme nippone motorise plusieurs équipes et il se chuchote que Sauber et même Lotus seraient sur les rangs. Reste à gérer le problème de la saison 2014, si Honda n'était pas prêt plus tôt que prévu. Le même cas de figure se pose pour McLaren, mais le team de Woking possède un contrat en béton avec Mercedes qui oblige le constructeur allemand à lui fournir des moteurs en 2014 à des conditions préétablies. Affaire(s) à suivre...

Citation :: Kovalainen livre ses impressions sur la Caterham

Heikki Kovalainen était en piste ce vendredi matin à Sakhir pour donner son opinion sur la Caterham CT03.

Lors de sa rencontre avec la presse ce midi, le Finlandais n’a pas caché que cette monoplace n’était pas vraiment un pas en avant par rapport à sa devancière.

"Cette voiture est assez différente de celle que j’ai pilotée l’an dernier, nous a-t-il confié. Le ressenti n’est pas du tout le même. Il est évident qu’il est nécessaire d’apporter quelques changements afin de l’améliorer."

"Elle manque d’équilibre et est par conséquent moins facile à piloter, même si j'ai noté des progrès dans certains domaines par rapport à la saison précédente. Toutefois, même avec des pneus frais, il n’est pas évident d’être performant sur un tour de qualifications. Une partie des problèmes vient sans doute des réglages, une autre de l’utilisation des pneumatiques."

Kovalainen a révélé qu’il devrait continuer à prendre le volant de la Caterham le vendredi matin après Barcelone, au grand dam de Charles Pic et Giedo van der Garde.

"Oui, il se peut que je participe à plus de deux séances d’essais libres. La décision vient de l’équipe, pas de moi, et je pense que cela n’aide pas d’avoir deux pilotes titulaires avec peu d’expérience. Après, je ne suis pas là pour prendre leur place, mais il est évident que je suis mieux ici, à piloter en essais libres, que chez moi dans mon divan", a-t-il conclu.

Citation :: Formule 1 : Pirelli soutenu par huit équipes

Pirelli a indiqué ce vendredi à Sakhir qu’il disposait du soutien de huit des onze écuries de F1 pour ne pas modifier ses pneumatiques actuels. Le manufacturier a été vivement critiqué dernièrement par Red Bull et Mercedes, qui lui reprochent de fournir des pneus trop peu endurants – une demande pourtant formulée par les autorités de la F1 afin de dynamiser les courses.

Le directeur de Pirelli Motorsport a donc profité d’une rencontre avec la presse pour mettre les choses au clair. "Toute cette controverse est vraiment bizarre car, en coulisses, nous recevons en réalité beaucoup de demandes pour ne rien changer, a indiqué Paul Hembery. Je crois que je peux dire qu’il y a maintenant huit équipes qui sont venues nous voir, soit physiquement, soit par écrit, pour nous demander de ne rien changer. Et je rappelle que nous nous en tenons à notre cahier des charges. Nous faisons ce qu'il nous a été demandé... Oui, je trouve donc cette situation pour le moins étrange."

Citation :: Hamilton : "Alonso deviendra une légende"

Lewis Hamilton ne tarit pas d’éloges sur Fernando Alonso dans sa dernière chronique pour la BBC.

Le Britannique s’estime chanceux de pouvoir affronter sur la piste un pilote aussi talentueux que le double Champion du monde espagnol, une future "légende" de la Formule 1.

"Pour moi, il est le pilote le plus complet du plateau. Il est diablement rapide mais aussi très, très intelligent. Je l’admire réellement, a écrit Hamilton. Fernando est toujours dans le coup. C’est le pilote le plus régulier à l’exception de Sebastian [Vettel], qui fait également un job incroyable mais il dispose aussi de la meilleure voiture."

"Avant que j’accède à la F1, Fernando était le pilote que j’admirais le plus. Il deviendra une légende. Il gagnera d’autres championnats. C’est vraiment une sensation très agréable de courir aux côtés d’une légende et de recevoir tant de compliments de sa part."