[Sports Automobile] Sujet Général (1)

Rappel du premier message :

Y'a-til des fans de formule 1, rallye, moto gp......


Parlons en  ici

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GP Malaisie-Libres 1: Webber s'illustre d'entrée

Malheureux en Australie où il a notamment souffert d'un départ raté pour prendre la 6e place, Mark Webber (Red Bull) a réalisé ce vendredi le meilleur chrono de la première séance d'essais libres du Grand Prix de Malaisie. Dans la chaleur de Sepang, l'Australien a devancé de 68 millièmes le Finlandais Kimi Räikkönen (Lotus), vainqueur à Melbourne. Le triple champion du monde Sebastian Vettel (Red Bull) est troisième devant Fernando Alonso (Ferrari). Premier Français, Romain Grosjean est 10e devant la première McLaren, celle de Jenson Button. Jean-Eric Vergne (Toro Rosso) est 17e, Jules Bianchi (Marussia) 20e et Charles Pic (Caterham) 21e.

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GP Malaisie-Libres 2: Räikkönen confirme

Vainqueur du premier Grand Prix de la saison le week-end dernier en Australie, Kimi Räikkönen (Lotus) a réalisé le meilleur chrono de la deuxième séance d'essais libres du Grand Prix de Malaisie ce vendredi. Entre les gouttes, le Finlandais, dans le sillage de Mark Webber lors de la première séance, a devancé de 19 petits millièmes Sebastian Vettel (Red Bull) et de 92 millièmes Felipe Massa (Ferrari). Fernando Alonso suit sur l'autre Ferrari à quatre dixièmes, juste devant Mark Webber (Red Bull). Romain Grosjean est sixième. Les McLaren sont une nouvelle fois en dehors du top 10. Jean-Éric Vergne (Toro Rosso) est 15e, Jules Bianchi (Marussia) 18e et Charles Pic (Caterham) 20e.

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Libres 1 : Webber (Red Bull) le plus rapide

Mark Webber (Red Bull) a établi le meilleur tour lors des essais libres 1 de la deuxième manche du Mondial, à Sepang, en 1'36"935. Il a devancé Kimi Räikkönen (Lotus) de 0"068 et Sebastian Vettel (Red Bull) de 0"169.

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Mercedes modifie son organigramme

Nick Fry est le premier haut dirigeant de l’écurie Mercedes à faire les frais de l’arrivée de Toto Wolff, le nouveau directeur exécutif de l’équipe allemande.

Le Britannique, qui occupe actuellement le poste de CEO au sein du team basé à Brackley, quittera ses fonctions à la fin du mois. Il restera toutefois consultant pour l’écurie.

Le poste sera repris en grande partie par Wolff, qui est également le nouveau responsable de la compétition de Mercedes-Benz.

Fry avait rejoint Mercedes quand l’équipe s’appelait encore BAR. Il a joué un rôle essentiel aux côtés de Ross Brawn dans le maintien de l’écurie en Formule 1 après le retrait de Honda.

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EL2 : Räikkönen un souffle devant Vettel

Kimi Räikkönen (Lotus) a signé le meilleur temps de la deuxième et dernière séance d’essais libres de ce vendredi au Grand Prix de Malaisie. Le Finlandais, victorieux le week-end dernier à Melbourne, confirme qu’il faudra de nouveau compter sur lui pour la victoire ce dimanche. Lotus est arrivée à Sepang avec quelques nouveautés et les fortes températures ont plutôt tendance jouer en faveur de la E21.

Räikkönen a devancé de 0"019 le triple champion du monde en titre Sebastian Vettel (Red Bull) et de 0"092 Felipe Massa (Ferrari). A la lumière de cette première journée d’essais, la victoire devrait se disputer entre Lotus, Red Bull et Ferrari ce dimanche, ces trois équipes se tenant actuellement dans un mouchoir de poche.

Quatrième, Fernando Alonso (Ferrari) a concédé quatre dixièmes au champion du monde 2007. Le pilote espagnol a devancé Mark Webber (Red Bull) et Romain Grosjean (Lotus), qui semble avoir retrouvé un rythme plus normal après ses déboires australiens. Le top 10 est complété par Nico Rosberg (Mercedes), Paul di Resta (Force India), Lewis Hamilton (Mercedes) et Adrian Sutil (Force India).

McLaren est toujours autant en difficulté. Sergio Pérez et Jenson Button ont terminé à plus d’une seconde du meilleur temps du jour, incapables d’accéder au top 10. A l’heure actuelle, même inscrire un point dimanche s’apparente à une gageure pour les pilotes de Woking.

Du côté des trois autres mousquetaires, Jean-Eric Vergne (Toro Rosso, 15ème) a devancé d’un bon dixième son équipier Daniel Ricciardo. Jules Bianchi (Marussia), 18ème devant Valtteri Bottas (Williams), a relégué Max Chilton (Marussia) à plus de deux secondes. Finalement, Charles Pic (Caterham), 20ème, a précédé son coéquipier Giedo van der Garde de 0"011.

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Vergne heureux de sa journée

Quinzième de ce vendredi d’essais libres à Sepang, un bon dixième devant son équipier Daniel Ricciardo, Jean-Eric Vergne est plutôt satisfait de sa journée dans la fournaise malaise.

Le pilote tricolore a accumulé les kilomètres au volant de sa Toro Rosso, bouclant un total de 48 tours aujourd’hui sans rencontrer le moindre incident.

"Je pense que ce fut une bonne journée, surtout au niveau de la fiabilité, ce qui est important, a commenté JEV. Nous nous sommes concentrés sur les longs relais et nous avons obtenu des réponses à nos questions, ce qui est également important. Nous n’avons pas cherché à signer le meilleur temps possible. Demain, nous nous concentrerons davantage sur notre rythme."

"Le niveau de dégradation des pneus est assez important ici, mais nous nous y attendions et tout le monde est dans le même bateau. S’il fait sec durant l’entièreté de la course, il ne sera pas simple de gérer nos pneumatiques."

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Webber et Vettel dégomment les Pirelli !

Mark Webber déplore que la Formule 1 soit désormais régie par les pneus, reléguant au second plan l’importance de disposer de la monoplace la plus performante et d’un très bon coup de volant.

Kimi Räikkönen est parvenu à remporter le Grand Prix d’Australie, le week-end dernier, en effectuant un arrêt de moins que ses rivaux. A pitstops égaux, c’est probablement la Ferrari de Fernando Alonso qui l’aurait emporté.

Pour le Grand Prix de Malaisie de ce week-end, tout semble indiquer que les pneumatiques joueront une nouvelle fois un rôle prépondérant dans le résultat final de la course, au grand dam de Webber.

"Toute la grille est régie par les pneus à l’heure actuelle. On ne parle que des pneus. Pneus par-ci, pneus par-là… Pour être franc, ces pneus slicks fonctionnaient mieux aujourd’hui sur une piste détrempée que sèche…" a déclaré Webber.

Un avis partagé par son équipier Sebastian Vettel : "Les pneumatiques ne tiennent pas. J’espère que j’en aurai assez pour pouvoir disputer l’entièreté de la course. Je pense que tout le monde a souffert d’une usure particulièrement importante des pneus aujourd’hui, ce qui vous empêche évidemment d’exploiter le plein potentiel de votre monoplace. Il n’est pas possible de prendre du plaisir dans de telles conditions, c’est la stricte vérité."

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Bianchi progresse dans ses réglages

Jules Bianchi avait le sourire au terme de ce vendredi d’essais libres à Sepang, satisfait de sa journée et des progrès réalisés au niveau des réglages.

Le Français, qui a découvert la piste de Sepang ce matin, a signé le 18ème temps du jour, reléguant son équipier Max Chilton, en délicatesse au volant de sa Marussia, à deux secondes.

"Je suis heureux du travail que nous avons réalisé aujourd’hui, a commenté Bianchi, mais il est toujours difficile de terminer un vendredi d’essais sans réellement savoir où vous vous situez dans la hiérarchie. Malgré tout, je suis satisfait de ma performance du jour et nous semblons réaliser des progrès au niveau des réglages, c'est ce dont nous avions besoin."

"C’est la première fois que je cours ici et je suis heureux de la façon dont je me suis familiarisé à cette nouvelle piste. A présent, nous devons voir ce que la suite du week-end nous réserve. Elle pourrait amener de la frustration ou de l’excitation. Nous verrons bien."

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Pic et Caterham toujours derrière Bianchi

Comme la plupart de ses collègues, Charles Pic a passé la journée du vendredi à Sepang à évaluer l’usure des pneumatiques en vue de la course dimanche.

S’il ne s’agissait pas de chercher la performance lors de cette deuxième séance d'essais libres, la Caterham du Français s’est encore montrée en retrait par rapport à la Marussia de Bianchi (qui découvre pourtant le circuit), Charles accusant un retard de 1,2 seconde sur Jules :

“Nous avons consacré cette journée principalement à évaluer la dégradation des pneus et à chercher le bon équilibre sur la voiture. Nous avons réussi à corriger le sous-virage rencontré lors de la première séance.”

“La pluie nous a obligés à changer nos plans, mais elle nous a aussi permis de rouler en intermédiaires, ce qui pourrait être important pour samedi et dimanche. Nous avons également roulé avec les médiums ici, et leur usure est acceptable.”

“J’ai fait une petite faute lors de mon tour rapide, ce qui m’a coûté un peu de temps. Je pense que nous progresserons demain en qualifications. Enfin, nous avons aussi travaillé à améliorer nos procédures dans le garage entre les relais, afin de gagner du temps”, a conclu le Français.

L'équipier de Pic, Giedo van der Garde, est juste derrière lui au classement de cette deuxième session, dans le même dixième de seconde, précédant la Marussia de Max Chilton, qui ferme la marche.

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Moto
Aegerter et Krummencher ont progressé et devront encore le faire

C’est hier que Dominique Aegerter et Randy Krummenacher, les pilotes Technomag – CarXpert, ont clôturé leur présaison.

Avec une onzième place pour Aegerter et une dix-septième pour Krummenacher, l’écurie suisse se rapproche doucement de ses objectifs mais ne les a pas encore atteints.

Toutefois, comme l’a rappelé Frédéric Corminbœuf dans son débriefing d’après test, le travail acharné commence à payer, de quoi donc s'envoler vers le Qatar avec une certaine confiance.

Du travail, bien entendu, il en reste à accomplir mais c'est en tout cas un bon début et une bonne base pour s'attaquer au top5 en ce qui concerne Aegerter et au top 10 pour son équipier.

« Les tests hivernaux ont donc officiellement pris fin aujourd’hui. Pour notre équipe, c’est la satisfaction du travail accompli qui prédomine. Les plans élaborés pour nos deux pilotes ont été parfaitement menés.

Dominique a réalisé un pas supplémentaire dans la gestion de son pilotage et atteint le top 10 régulièrement.

Pol Espargaro, Nico Terol, Julian Simon, Toni Elias et Scott Redding sont tous des prétendants à la victoire cette saison. Nous sommes conscients du niveau très élevé dans cette catégorie et la concurrence sera rude mais le potentiel de Dominique est réel et il faudra compter sur lui cette saison. Son travail acharné commence à payer et on espère tous en récolter les fruits avec un podium!

Randy s’est constitué de bonnes bases de travail grâce à ces essais. Il s’est montré volontaire et tenace, ce qui s’avère très encourageant pour la suite. Vingt-sixième du classement lors du premier test, il a atteint la vingtième place au deuxième essai et terminé en dix-septième position aujourd’hui. La progression est bien là et nous sommes très contents. La relation de confiance entre lui et l’équipe s’est installée rapidement et permet à tous d’être dans une bonne direction.

Pour autant, Randy et Dominique restent des adversaires. Sur la piste, la rivalité est bien présente mais dans le box, c’est la collaboration qui prime et c’est parfait pour le travail de l’équipe.

Le Team va maintenant prendre un repos de quelques jours bien mérité. Il ne faut pas oublier que nous sommes une « jeune » équipe, en place depuis seulement trois mois et qu’il a fallu tout organiser en un laps de temps très court. Mais l’investissement de chacun des membres nous permet d’avoir maintenant notre place confirmée dans le paddock et nous en sommes fiers.

Pour les pilotes, le programme va alterner repos, récupération active, entrainement et éventuellement perdre encore 200 ou 300 grammes avant le départ pour le Qatar !! »

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Williams se tourne déjà vers son usine

Les Williams de Pastor Maldonado et Valtteri Bottas n’ont pas affiché les progrès espérés par l’équipe de Grove ce vendredi matin pour les essais libres du Grand Prix de Malaisie.

Après le décevant week-end de Melbourne, il n’y a toujours aucun signe d’amélioration : Maldonado termine les deux séances en 12ème puis en 16ème position, tandis que son jeune équipier Bottas était lui 16ème le matin, avant de pointer au 19ème rang l'après-midi, derrière la Marussia de Bianchi !

À l’image de Mike Coughlan, le directeur technique de Williams, l’écurie semble déjà penser à son retour à l’usine de Grove à la fin de ce week-end pour travailler sur les améliorations d'une FW35 décidément bien mal née.

“Nous n’avons pas fait les progrès que nous espérions pour aujourd’hui, a indiqué Mike Coughlan. Nous devons nous pencher sur les données récoltées durant les deux sessions d’essais pour optimiser le package que nous avons. [À la fin du week-end], nous retournerons directement à l’usine pour travailler sur quelques améliorations avant Shanghai.”

Pastor Maldonado reste lui aussi réaliste quant aux chances de Williams ce week-end :

“Nous n’étions malheureusement pas dans le rythme aujourd’hui. Nous devons analyser les informations accumulées et voir ce que nous pouvons faire. Nous avons beaucoup de travail à faire, mais nous allons pousser pour voir ce que nous pouvons réaliser demain.”

Enfin, le débutant Valtteri Bottas juge que son équipe a encore beaucoup de travail devant elle pour réduire l’écart avec les autres écuries de milieu de peloton.

“Nous avions un certain nombre de pièces à tester aujourd’hui, après la course à Melbourne, et nous avons évalué différentes choses entre les deux voitures, a-t-il déclaré. Nous espérons que nous trouverons quelques améliorations, mais nous savons que nous avons encore du chemin à faire pour réduire l’écart.”

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McLaren-Button: "Du mieux mais le rythme n'est toujours pas bon"

McLaren a confirmé ses difficultés ce vendredi lors des premiers essais libres du Grand Prix de Malaisie. L'écurie britannique n'a pu se hisser dans le top 10. Jenson Button se voulait optimiste mais reconnaît qu'il y a encore du travail pour accrocher le peloton de tête. "Aujourd'hui, nous avons réalisé une somme de travail satisfaisante et nous avons recueilli quelques informations utiles sur la MP4-28. Sur une piste sèche, elle se sent mieux qu'elle ne l'a fait à Melbourne, mais même alors, son rythme n'est toujours pas bon par rapport à celle des voitures de tête. Nous avons identifié quelques améliorations que nous pouvons faire avant demain ce qui est encourageant, et ça a été une bonne journée en termes d'apprentissage." Sergio Perez note aussi une progression. "Notre voiture s'est améliorée depuis Melbourne - ce qui est assez encourageant si l'on considère que nous avons couru il y a seulement quatre jours - et je me sentais mieux dans les deux conditions sèches et humides aujourd'hui", a expliqué le Mexicain.

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Pérez : “Nous sommes tous coupables”

F1i

Sergio Pérez a terminé en 11ème et 13ème position des deux premières séances d’essais libres du Grand Prix de Malaisie ce vendredi matin.

Toujours en lutte avec la MP4/28, les pilotes McLaren ne parviennent décidément pas à intégrer le top 10.

Malgré ces contre-performances, Pérez ne remet pas en question sa décision de rejoindre l’écurie de Woking, jugeant y être bien, quels que soient les résultats.

“Je ne regrette rien du tout, a-t-il confié. S’ils m’avaient dit avant qu’on signe que j’occuperais cette position, j’aurais quand même signé avec la meilleure équipe. Pour moi, McLaren est la meilleure écurie et je suis très heureux de l’avoir rejointe.”

“Je préfère être à cette position avec McLaren, plutôt que de gagner avec n’importe quelle autre écurie. Je profite de mon temps ici et je sais que l’équipe a des gens formidables pour nous aider à nous sortir de cette situation. C’est incroyable de voir comment ils font face à ces moments difficiles.”

“Avec Martin Whitmarsh, qui est un boss formidable, nous sommes tous coupables. Ce n’est pas quelqu’un qui a fait une erreur. Nous perdons en équipe et, quand nous gagnerons, nous gagnerons en équipe”, a conclu Pérez.

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Räikkönen très optimiste pour les qualifications

Auteur du meilleur temps des essais libres ce vendredi à Sepang, Kimi Räikkönen s’attend à être tout aussi compétitif demain pour la séance qualificative.

Le Finlandais révèle avoir signé son meilleur temps avec un réservoir assez chargé en carburant, ce qui le laisse optimiste pour la suite de son week-end malais.

"Ce fut une très bonne journée", a commenté l’ancien Champion du monde, victorieux le week-end dernier à Melbourne.

"Nous avons essayé différentes solutions de réglages sur la voiture et nous avons réalisé des progrès au cours des deux séances d’essais libres. Nous avons aussi un peu tourné sous la pluie et j’avais un bon ressenti avec la voiture sur le mouillé."

"Nous avons tourné avec beaucoup de carburant aujourd’hui et je ne sais pas où nous nous situerons quand tout le monde tournera à vide en qualifications. Mais je suis heureux de la place que nous occupons et je m’attends à connaître une bonne journée demain."

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Malaisie-Grosjean: "Difficile à comprendre"

Romain Grosjean a réalisé une meilleure deuxième séance d'essais libres que la première en Malaisie mais reste en retrait de son coéquipier Kimi Räikkönen, auteur du meilleur chrono de la deuxième séance. Le Français reconnaît ne pas être encore pleinement à l'aise au volant de sa Lotus E21 lors de cette deuxième manche de la saison. "Nous travaillons toujours sur la configuration de la voiture car elle n'est pas assez bonne pour moi et il est difficile de comprendre exactement pourquoi. Le nouvel aileron avant me convient mieux que le précédent et cela aide. Kimi courait avec un package aérodynamique évolué qui semble être une amélioration, donc nous savons qu'il y a plus de rythme à espérer dans ce domaine, mais il y a encore des choses que nous pouvons faire avec la spécification actuelle une fois que tout fonctionnera pour moi. Il faisait assez chaud - tout un contraste avec Melbourne - mais je me sentais bien et je suis impatient de faire quelques améliorations avant demain et les qualifications".

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Mercedes: Fry cède sa place

Le grand ménage continue chez Mercedes. L'écurie allemande a annoncé ce vendredi en marge du Grand Prix de Malaisie le prochain départ de Pat Fry de ses fonctions de directeur exécutif en chef. Le Britannique sera remplacé par Toto Wolff, co-propriétaire de l'équipe et qui assurera la direction au côté de Ross Brawn. Pat Fry restera toutefois au sein de l'écurie en tant que consultant et gèrera notamment les partenariats.

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Xavier Simeon : « SAG-Zelos, c’est un plus pour moi ! »

Xavier Simeon a clôturé sa présaison comme il l’avait commencée, avec le moral, la méthode, la sagesse et la performance.

Au risque de nous répéter, le Belge n’est plus le même qu’en 2012. Bien entendu, cette transformation, il la doit en partie à son environnement extérieur qui a abattu un travail colossal pour lui donner toutes les clés du succès mais comme dans tous les sports individuels, le centre du projet reste avant tout le sportif.

C’était à lui à se battre et il se bat. C’était à lui de persévérer et il persévère.

Il est maintenant à l’aube d’une nouvelle saison et il a quitté Jerez avec le top 10 (9ème du classement combiné des trois jours) en poche. C’est donc un excellent point de départ qu’avec son équipe, SAG-Zelos, il compte bien encore améliorer.

GPi : Pour commencer, quel est ton sentiment par rapport à la journée d’hier ?

Hier, c’était une demi-journée un peu étrange. J’étais stressé à l’idée de casser la moto car elle était mise en caisse pour partir au Qatar trois heures après la fin du test. Après avoir passé tout un hiver sans tomber, je n’avais pas envie de la détruire. En conséquence, je n’ai pas roulé à 100% de mes capacités car le jeu n’en valait vraiment pas la chandelle. Mon test s’était très bien déroulé jusque-là et ce n’était pas nécessaire de prendre des risques.

GPi : Tu as terminé dans le top 10, ce qui était ton objectif. Pourtant, lors de certaines séances, ça semblait parfois plus compliqué. Est-ce que ça signifie que vous avez encore des progrès à réaliser en termes de connaissance de la Kalex ?

Ils établissent des classements intermédiaires qui ne sont pas toujours révélateurs car tout dépend de la façon dont les autres pilotes utilisent leurs pneus. Par exemple, lors d’une session, j’ai terminé dix-septième mais durant cette séance, je n’avais pas passé de pneus neufs. C’est la seule fois que je n’ai pas clôturé dans le top10.

A l’heure actuelle, je vois que je suis compétitif et que j’ai ma place parmi les dix premiers.

L’objectif au bout de ces quatre jours était le top10 et c’est là que je me situe réellement. Ma neuvième place n’est pas le fruit du hasard et d’un chrono tombé du ciel mais bien de la régularité.

Bien entendu, il me reste encore beaucoup de choses à apprendre et je suis encore loin du potentiel réel de la moto mais petit à petit, on progresse. A Valence, j’étais treizième, à Jerez 1 j’étais quinzième et cette fois, je suis neuvième.

Chaque fois qu’on monte en piste, on progresse et c’est ce que je veux retenir avant de m’envoler pour le Qatar.

GPi : Tu vas maintenant bénéficier de quelques jours de pause avant de t’envoler pour le Qatar et je suppose que tu vas travailler encore un peu sur ta jambe opérée il y a trois semaines. Quel sera ton programme ?

Aujourd’hui, je prends une journée de repos et puis, dès demain, je recommence à travailler normalement mon physique puisqu’avec mon opération à la jambe, je n’ai pas pu le travailler comme il le fallait.

Normalement, après ce type d’opération, il faut un bon mois de repos et c’est seulement maintenant que je commence à avoir plus de force.

A ce sujet, je dois dire qu’hier, j’ai senti que ma jambe manquait encore d’entraînement et que je commençais à ressentir un peu de fatigue.

GPi : Donc le quatrième jour, tu t’en serais bien passé…

Très clairement parce que c’est long pour tout le monde. Que ce soit les mécanos ou les pilotes c’est beaucoup pour le mental et la concentration. Nous avons abattu un énorme travail lors des trois premiers jours et cette quatrième journée n’a pas servi à grand-chose.

GPi : L’entente et la symbiose avec l’équipe a encore progressé ?

Franchement oui et il est d’ailleurs temps de remettre les choses en place. Le problème de cette équipe n’a jamais été sa compétence mais bien le fait que jusqu’à présent, ils n’ont jamais vraiment disposé d’un matériel et de pilotes compétitifs. Ils n’ont jamais réellement pu montrer leur vrai potentiel. Pour moi, je le dis franchement, arriver dans une équipe comme ça, c’est un plus. Ils sont très contents puisqu’ils n’ont jamais eu de classement pareil. Quand je rentre au box et qu’ils voient que je suis cinquième ou huitième d’une séance, ils ont le sourire aux lèvres et moi, de mon côté, ça me donne envie de continuer à les rendre encore plus heureux.

GPi : On a compris que vous formez un sacré bloc et que vous êtes sur la bonne voie…

Chaque sportif a besoin d’une motivation extérieure et c’est dans des choses telles qu’une bonne moto, un bon encadrement, une bonne équipe ou l’absence de prises de tête qu’on la trouve.

Le pire pour un pilote, c’est quand il commence à se demander qui de lui ou de la moto pose problème. Là, je sais que j’ai une moto performante entre les mains, il suffit de regarder la feuille des temps et de voir les prestations des autres pilotes Kalex. Quand il n’y a pas de doute sur la machine, on n’a qu’une chose à faire, travailler, parce que la moto, le potentiel elle l'a. C’est extrêmement motivant.

GPi : On a pu voir que tu passais moins de temps au stand. Leur temps de réaction s’est donc fortement amélioré depuis Valence ?

Oui c’est clair, je progresse mais eux aussi et le tout est lié. Nous avons également bénéficié de très bonnes indications de la part des ingénieurs de chez Kalex. On essaye beaucoup de choses et donc forcément, certaines marchent et d’autres pas mais que ce soit dans l’un ou l’autre cas, on ne cesse jamais d’apprendre !

GPi : Finalement, à Jerez, tu as roulé avec la version 2012 ou 2013 de la Kalex ?

Nous avons essayé des choses. Je ne peux pas non plus tout te dire (rires) !

GPi : Tu vas bientôt t’envoler vers le Qatar. Le top10 lors des qualifications est primordial ?

Je ne pars pas avec une optique du « il faut ». Mon but à l’heure actuelle, comme depuis le début des essais, est de me faire plaisir et je vois que quand je roule de cette manière, les chronos finissent par tomber. Mes objectifs sont bien ancrés dans mon esprit et je n’ai pas envie de commencer à annoncer ceci ou cela. Je vais aller au Qatar pour me faire plaisir, faire mon boulot tout en évitant les pressions inutiles.

Rappelons que la présentation officielle de l’écurie SAG-Zelos aura lieu vendredi 29 mars et que, bien entendu, nous retrouverons Xavier Simeon et tous les autres à l’occasion du premier Grand Prix de la saison qui aura lieu le 7 avril prochain, au Qatar.

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Button positive dans la difficulté

Comme son équipier Sergio Pérez, Jenson Button n’a pas pu se hisser dans le top 10 lors des deux premières séances d’essais libres du Grand Prix de Malaisie.

D’abord onzième en matinée, il s'est ensuite contenté d'une lointaine douzième place dans l'après-midi. Le Britannique n’a rien pu faire au volant d’une MP4-28 dont le rythme n’est toujours guère suffisant.

Malgré ces résultats similaires à Melbourne, le Champion du monde 2009 estime que cette journée d'essais a permis à McLaren d’accumuler des données utiles qui pourraient leur permettre d’améliorer leur monoplace avant les qualifications.

"Nous avons bien travaillé aujourd'hui et nous avons récolté pas mal d'informations utiles sur la MP4-28, a indiqué Button. Sur une piste sèche, elle se comporte mieux qu’à Melbourne, mais son rythme n’est quand même pas au niveau de celui de nos adversaires. Nous avons identifié quelques améliorations supplémentaires que nous pouvons mettre en place avant demain, c’est encourageant. Ce fut une bonne journée en termes d’apprentissage."

Button a par ailleurs tenu une nouvelle fois à saluer le travail abattu par les membres de son équipe.

"Les gars travaillent aussi dur qu’ils le peuvent à l’usine de Woking pour trouver davantage de performance et, ici aussi à Sepang, chaque membre de l’équipe fait un travail vraiment impressionnant. C’est beaucoup plus facile de travailler sur une voiture qui gagne des courses que sur une voiture qui n’est pas pleinement compétitive. Je leur tire donc à tous un grand coup de chapeau", a-t-il conclu.

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Alonso aurait pu titiller Räikkönen aujourd'hui

Fernando Alonso s'est dit content de son vendredi d’essais libres en marge du Grand Prix de Malaisie.

Auteur du quatrième meilleur temps du jour, l’Espagnol estime qu’il aurait pu faire mieux si sa F138 avait été plus équilibrée.

"Aujourd’hui, la voiture a bien fonctionné dans toutes les conditions et c’est une très bonne nouvelle pour nous, a déclaré le double Champion du monde.

"Le circuit est plus représentatif que l’Australie pour évaluer la performance de la voiture et c’était donc important de voir aujourd’hui si le ressenti positif des essais hivernaux n’était pas juste une illusion. Sur mon tour en pneus médiums, je n’avais pas le bon équilibre sur la voiture, sinon j’aurais pu améliorer mon temps puisque j'ai signé mon meilleur chrono en pneus durs. J'aurais donc probablement fini dans les premiers."

Comme à Melbourne, Alonso estime que la stratégie aura une importance capitale dans la course à la victoire. L'équipe qui dégradera le moins ses gommes partira également avec un avantage certain.

"Nous devons voir comment se déroulera la journée de demain. Il peut pleuvoir à tout moment et les pneus ont une usure bien plus importante sur cette piste qu’à Melbourne."

"Avec, sans doute, un nombre plus important d’arrêts au stand, une voiture qui se comporte mieux en course qu’en qualifications pourrait être un avantage. J’essayerai de faire de mon mieux demain pour obtenir une place en tête de grille. Comme toujours, le départ, la stratégie et les arrêts au stand seront la clé", a-t-il conclu.

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Une bonne journée pour Massa en Malaisie

Felipe Massa estime que la Ferrari F138 s’est montrée performante durant les deux premières séances d’essais libres du Grand Prix de Malaisie ce vendredi.

"Dans l’ensemble, c’est une bonne journée, même si la pluie est arrivée à la fin de la seconde session d’essais et nous a coûté un temps précieux au moment de comparer les deux spécifications de pneus sur un long relais", a-t-il déclaré.

"La voiture a bien réagi durant les deux séances et, en ce qui concerne les pneus Pirelli apportés ici, je me sens bien plus à l’aise avec les médiums, un composé que nous avons déjà utilisé en Australie."

Le travail est encore loin d'être terminé pour le vice-Champion du monde 2008 : "Nous savons que nous avons une longue soirée de travail devant nous pour comprendre quel est le véritable comportement des pneus. C’est ce qui peut définitivement faire la différence et nous rendre plus compétitifs pour les qualifications et surtout la course", a-t-il conclu.

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Pirelli répond aux pilotes Red Bull

Après les violentes critiques exprimées ce matin par Mark Webber et Sebastian Vettel concernant l'usure excessive des pneumatiques (cliquez ici pour lire notre article), Pirelli a réagi en relativisant fortement leurs propos.

Pour le manufacturier italien, ces remarques sont récurrentes depuis le début de son entrée en Formule 1 en 2011.

Quand il lui a été demandé de commenter la déclaration de Webber, le directeur de Pirelli Motorsport, Paul Hembery a répondu : "Pour être honnête, vous pouvez prendre les déclarations des deux dernières saisons et vous verrez que, pour les trois premières courses, elles sont toujours les mêmes."

"Si nous regardons à ce qu’il s’est dit par le passé en début de saison, quand tout le monde essaye de voir où il en est et de savoir comment maximiser les performances du châssis avec les nouveaux pneus, ça a tendance à commencer comme cela. Mais après, ces déclarations finissent par disparaître."

Hembery a par ailleurs démenti la rumeur selon laquelle Pirelli pourrait être contraint de changer de gommes si les choses restaient trop imprévisibles en Formule 1 : "Nous n’en voyons pas la nécessité. Nous avons eu le Grand Prix de Melbourne le plus excitant depuis des années. Voulez-vous vraiment qu’on fasse des courses ennuyeuses ?"

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Synthèse du vendredi : abrasivité et humidité

Contrairement aux premières escarmouches australiennes, le verdict de Sepang est très attendu car le circuit est autrement plus sélectif et exigeant que le tracé urbain d'Albert Park. Les essais libres du vendredi n'ont pas permis de nous éclairer totalement, mais les écarts sont faibles entre les meilleurs (Lotus, Red Bull, Ferrari) et les inconnues nombreuses en vue des qualifications et de la course. Les pilotes Red Bull ont eu tendance à se plaindre de la trop grande importance du paramètre pneumatique dans l'équation 2013, car ils ne peuvent exploiter leur monoplace que dans la limite des performances des gommes proposées par Pirelli. La dégradation est importante sur l'asphalte plus abrasif de Sepang, aussi bien pour le pneu avant gauche qui souffre dans les grandes courbes que pour les pneus arrière sujets au patinage à l'accélération, notamment en sortie des deux épingles.

La chaleur joue aussi un rôle conséquent et on sait la Lotus E21 très à l'aise dans ces conditions, comme Kimi Räikkönen l'a encore démontré aujourd'hui (au contraire de Romain Grosjean qui se plaint toujours d'un 'loup' dans son châssis). Le Finlandais n'a toutefois pas été en mesure d'effectuer un long relais ce matin, aux prises avec un souci de KERS, tandis que l'apparition de la pluie l'en a empêché cet après-midi. Chez Pirelli, on estime que les gommes dures pourront tenir 20 tours et les tendres environ 15 tours, ce qui oriente vers un Grand Prix à trois arrêts, comme en Australie. Räikkönen parviendra-t-il à n'en effectuer que deux ? Sur ce revêtement abrasif, le pari est autrement plus risqué qu'à Melbourne.

Ferrari semble constant, avec Massa au niveau d'Alonso, et Mercedes a beaucoup travaillé en conditions de course. McLaren souhaite évidemment la pluie étant donné la piètre compétitivité de la MP4-28 sur le sec. Comme chaque jour en cette saison, des averses se produisent en fin de journée, généralement entre 16 et 18 heures, soit en plein pendant l'horaire de la course. Gageons que les qualifications pourraient déjà être influencées par la pluie demain, comme elles les avaient déjà été en Australie il y a une semaine, en espérant toutefois qu'il ne faudra pas patienter jusqu'au dimanche matin pour connaître la composition de la grille de départ...

Lotus avantagée par Pirelli ?

En essayant de comprendre pourquoi la Lotus E21 était particulièrement économe en pneumatique, suite à la victoire de Kimi Räikkönen en Australie, notre confrère allemand Auto Motor und Sport a soulevé un lièvre.

Et si l'équipe Lotus tirait avantage du fait que la voiture d'essais utilisée par Pirelli en tests l'an dernier – pour développer les gommes 2013 – était une Renault R30, made in Enstone comme la Lotus ?

"Nous avons peut-être sous-estimé ce paramètre, a indiqué un team principal concurrent, et il faudra y être plus attentif à l'avenir."

Pirelli se défend en précisant qu'aucune donnée n'a été transmise à Renault ou Lotus et que les techniciens en charge des tests n'ont pas le moindre lien avec les écuries engagées en F1. F1ipeut en témoigner en tant que seul média à avoir assisté à une des séances d'essais privés menées par Pirelli l'an passé à Spa. Cela étant, même si la R30 est assez éloignée en performance des monoplaces actuelles, une philosophie commune de conception peut en partie expliquer ce phénomène s'il se confirmait que la Lotus semble mieux adaptée aux pneumatiques que ses rivales.

Quant à Paul Hembery, le motorsport manager du manufacturier italien, il rappelle que la prolongation du contrat pour 2014 et au-delà n'est toujours pas acquise et que, étant donné l'évolution radicale de la réglementation technique l'an prochain, les pneus seront développés sur simulateur plutôt qu'en essais grandeur nature.

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Voici la M1 de Valentino Rossi et Jorge Lorenzo



C’est aujourd’hui, à Jerez, qu’a eu lieu la présentation officielle de l’écurie Yamaha.

La livrée tant attendue de la M1 a donc été dévoilée et, au final, il n’y a que peu de changement par rapport à celle de la saison précédente si ce n’est l’apparition de Monster sur ses flancs.

C’est maintenant en piste qu’il va falloir prouver que cette machine pourra rivaliser avec les redoutables RC213V de Dani Pedrosa et Marc Marquez.

En attendant la confrontation…voici déjà le premier cliché de la bête.

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Le MotoGP lance son Multiscreen

En 2013, motogp.com a le plaisir d’introduire un tout nouveau Lecteur MultiScreen pour une retransmission des courses sur mesure !

Choisissez vous-même les angles de caméra et les canaux audio que vous souhaitez suivre en direct, sans interrompre la retransmission, ou OnDemand.

Le Lecteur MutliScreen du MotoGP™ vous placera au centre de l’action, que ce soit pour les séances d’essais, les Grands Prix ou encore les nouvelles séances de qualifications.

Le Lecteur MultiScreen propose les fonctionnalités suivantes :

6 canaux vidéo en direct, dont les perspectives OnBoard et hélicoptère

Live Timing et tracking GPS de toutes les motos

Disposition des écrans personnalisable, pour une expérience sur mesure

Mix audio - choisissez d’écouter les commentaires, l’ambiance ou les sons OnBoard

Angles de vue alternatifs, exclusifs au Lecteur MultiScreen

Nouveaux outils graphiques pour analyser les moments clés

Davantage de détails concernant la disponibilité et les tarifs seront bientôt communiqués mais les détenteurs du VidéoPass Saison 2013 pourront déjà profiter d’un essai gratuit pour la première manche du Championnat du Monde, le Grand Prix Commercial Bank du Qatar.