[Football] Equipe de France (1)

Rappel du premier message :

Venez parlez ici des matchs de l'équipe de France.....




Allez la France








Higuain possede la double nationalité,Domenech l'avait appelé en 2006 mais il avait refusé car il veut porter le maillot de l'Argentine mais Maradonna l'a toujour pas retenu donc il rouvre la porte aux bleus!
Qu'en pensez-vous?Faut-il lui accorder une seconde chance ou le laisser tomber?

Que pensez vous du match de ribéry et carton rouge?

Citation :

Un nouveau barrage pour les Bleus ?


Relégués à la deuxième place du Groupe I après leur défaite face à l’Espagne (0-1), les Bleus ont vu le Brésil s’éloigner mardi soir. Les hommes de Didier Deschamps pourraient à nouveau être contraints d’en passer par les barrages pour disputer la Coupe du monde, comme il y a quatre ans face à l'Irlande…

Le souvenir est encore vivace. Deuxièmes de leur groupe de qualification, derrière la Serbie, les Bleus avaient dû en passer par un barrage à suspense face à l’Irlande pour accéder péniblement à une Coupe du monde 2010 qui ne le fut pas moins. Un double affrontement resté dans toutes les mémoires grâce à la fameuse main de Thierry Henry, passeur décisif pour William Gallas lors du match retour au Stade de France (1-1). Désormais dauphins de l’Espagne au sein du Groupe I après leur défaite mardi soir à Saint-Denis (0-1), les hommes de Didier Deschamps risquent fort de devoir à nouveau surmonter cette épreuve pour voir le Brésil l’an prochain.

Avec un point de retard sur les champions du monde et encore trois matches à jouer, leur marge de manœuvre semble en effet bien mince. D’autant plus que les Tricolores se déplaceront deux fois, en Géorgie et en Biélorussie avant d’accueillir la Finlande le 15 octobre, alors que les Espagnols accueilleront eux Géorgiens et Biélorusses après s’être déplacés à Helsinki. Et même si leur faux pas de vendredi dernier face à la Finlande (1-1) peut inciter à l’optimisme, rien ne garantit que Xavi et ses partenaires laisseront à nouveau filer des points en route. Et comme rien ne garantit un carton plein des Bleus dans le même temps…

Ça ne dépend plus de nous
Didier Deschamps

"Il reste trois matches, ça ne dépend plus de nous, constate «DD». Il reste encore neuf points à aller chercher, on verra. On ne rencontre plus l’Espagne, donc s’ils gagnent neuf points, ils auront gagné…" Une logique implacable, qui devrait donc mener à nouveau l’Equipe de France sur la route de barrages auxquels prendront part les huit meilleurs deuxièmes des neuf groupes de la zone Europe. Des places actuellement occupées par la Croatie (A), la Bulgarie (B), l’Autriche, à égalité avec la Suède et…l’Irlande (C), la Hongrie (D), l’Islande (E), l’Israël et le Portugal (F), la Grèce et l’Angleterre (H).

Et alors que le moins bon deuxième pourrait être issu du groupe C ou D, seules poules où les dauphins comptent moins de dix points, le potentiel plateau ne semble pas forcément insurmontable, puisque seuls l’Angleterre (4e), le Portugal (7e), la Croatie (9e) et la Grèce (12e) devancent aujourd’hui les Bleus (17es) au classement Fifa. Mais il peut encore se passer beaucoup de choses d’ici la fin des éliminatoires…

Et un arbitre de merde pour Pogba le 1er carton il joue le ballon

Heureusement qu'à l'aller on avait prit un point

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France - Espagne. Benzema et Ribéry, notes opposées
4 à Benzema ; 6,5 à Ribéry.

Saint-Denis (de notre envoyé spécial). La défaite des Bleus ne répond pas à un quelconque problème d’envie ou de vaillance. Mais quelques joueurs doivent en endosser une responsabilité plus large que d’autres. C’est le cas de Karim Benzema, plus mauvaise note du match, toujours muet.



LLORIS (6,5 sur 10) : pour son 15e match consécutif dans les buts des Bleus (un record pour un gardien), il a réalisé une sortie déterminante dans les pieds de Pedro (31e). Rassurant et présent sur une frappe d’Iniesta (54e) mais impuissant sur le rush victorieux de Pedro malgré deux tentatives pour l’empêcher de marquer (59e).



JALLET (4,5) : avec Iniesta qui rodait sur son côté, il n’avait pas une grande tranquillité d’esprit. Pris à revers par Monreal en début de match, sur l’action où Xavi aurait pu marquer (5e), il a aussi réalisé une bonne contre-attaque suivit d’un bon centre (15e). Pris de vitesse à nouveau par Monreal auteur du centre sur le but de Pedro (59e), il a souffert. Remplacé par Giroud (90'+2)



VARANE (6) : confirmé en défense centrale, le jeune Madrilène (19 ans) s’est comporté en patron, sans faire de faute. Une belle assurance pour sa deuxième sélection.



KOSCIELNY (6) : l’autre ancien lorientais, avec Jallet, a totalement maîtrisé David Villa, l’avant-centre espagnol, sorti à la 60e.



EVRA (4,5) : l’arrière gauche de Manchester avait Pedro sur le dos et il s’est donc montré très prudent. Bien aidé par les replis de Ribéry, il a fait au plus simple mais Pedro s’est joué de lui sur le but. Jesus Navas l’a fait souffrir ensuite à son entrée.



CABAYE (6) : milieu défensif coté droit, souvent face à Iniesta, il a fait barrage, interceptant des passes et jouant vite en relance. Il a harcelé sans cesse les milieux de terrain espagnols, ce qui le privera du prochain match en Géorgie pour cause de carton jaune (53e). Ménez a pris sa place à la 70e dans un registre évidemment plus offensif.



POGBA (5) : pour sa 2e sélection, le jeune Turinois s’est montré solide, pressant l’adversaire, attentif et capable de se projeter vers l’avant avec culot et autorité. Mais un carton jaune récolté dans la bagarre face à Xabi Alonso (76e) et un autre dans la foulée, pour une faute sur Xavi qui lui a valu une expulsion, calamiteuse pour son équipe, qu’il aurait dû éviter (78e). Vraiment dommage.



MATUIDI (6) : devant la défense, il a fait barrage lui aussi au jeu de passes espagnol en ne laissant que très peu d’espace libre. Averti lui aussi en seconde mi-temps, il sera suspendu en Géorgie.



VALBUENA (5,5) : sur le flanc droit, il a repiqué souvent vers le centre, ou carrément à gauche, pour tenter de donner des ballons rapides vers Benzema. Très actif, il a aussi bien participé au pressing des Bleus, mais sans trouver l’étincelle finale.



BENZEMA (4) : l’avant-centre des Bleus n’a toujours pas marqué depuis juin 2012. Il a joué plus simplement que contre la Géorgie, avec une certaine aisance dans les gestes, mais Piqué et Sergio Ramos ne lui ont pas laissé beaucoup de champ pour s’exprimer. Remplacé sous les hués du Stade de France par Sissoko (81e).



RIBERY (6,5) : attaquant côté gauche, il a énormément défendu sur toute la longueur du terrain. Du coup, il lui a manqué un peu d’énergie pour se projeter à l’avant. Un superbe contrôle de la tête à la 38e minute lui a ouvert le chemin des buts, mais il a été mis en échec par Valdes (39e). Très en jambes hier soir, il a été le plus dangereux des Bleus comme sur son joli tir de 20 m à la 83e.

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France - Espagne : les réactions


Didier Deschamps (sélectionneur de l’Equipe de France) : « La possession a été du côté espagnol mais ce n’est pas une surprise. Là où c’est le plus embêtant, c’est qu’on a eu plus d’opportunités qu’eux et c’est là qu’on a pêché même si en première période on a su bien défendre. Mais il ne faut pas oublier l’équipe qu’on avait en face de nous. On a livré bataille mais le résultat est une déception. Même à dix, on a réussi à être dangereux mais face à un tel adversaire, avec une telle maîtrise et expérience, il faut de l’efficacité et des circonstances favorables, ça n’a pas été le cas. On a été en difficulté sur les côtés par moments parce que cette équipe d’Espagne utilise bien la largeur. Dans une performance collective, je ne vais pas ressortir ceux qui n’ont pas été performants mais il y avait une telle qualité en face que c’était compliqué de bien défendre face à de tels joueurs. »



Vicente Del Bosque (sélectionneur de l’Espagne) : « Ce sont trois points bienvenus qui changent en bien notre situation au classement et on a été fidèles à notre style de jeu. On est donc heureux. On a un vivier de joueurs assez stable, ce qui fait notre force. Tout le monde sait accomplir son rôle et sa tâche, d’où la difficulté pour moi, qui suis obligé de faire des choix. Le match n’avait rien à voir avec celui contre la Finlande (1-1, vendredi, ndlr). Les Bleus nous ont mis en danger dès le début. Benzema a souvent décroché et s’est montré menaçant. La France a rendu une copie ordonnée et ça n’a pas été le même match qu’à l’aller (1-1, ndlr). Mais on a bien fait circuler la balle et recherché la profondeur et on a su aussi jouer latéralement. Il y a eu aussi une grosse bataille au milieu de terrain et le match s’est également joué dans ce secteur. Mais il y a encore suffisamment de matches pour laisser des plumes, donc rien n’est acquis dans ce groupe. »



Blaise Matuidi (milieu de terrain de l’équipe de France) : « On est déçu après cette défaite. C’était une grosse équipe en face mais on a eu des opportunités pour marquer. Et après à dix, c’était encore plus compliqué. Il reste trois matches, il n’y a rien de joué. Ils ont eu la possession de balle, mais nous on était bien en place et on a su les mettre en difficulté en contre. Ça ne s’arrête pas là. On a manqué de réalisme dans les zones de vérité. Ce qui avait été mis en place était plutôt bien mais en face, il y a quand même une grande équipe qui arrive à trouver des solutions. (NDLR : sur Benzema) Les sifflets, c’est dommage, on n’a pas besoin de ça. Je comprends l’amertume du public, mais sur le terrain, on donne tout. »



Karim Benzema (attaquant de l’équipe de France) : « On est déçus, bien sûr. On voulait gagner ce match et dans l’ensemble on a fait une bonne partie. Et puis sur une erreur, ils marquent. Ce sont les petits détails. L’idée, c’était de jouer et je pense qu’on les a mis en danger. C’est sûr que ça va être difficile pour la première place, mais on y croit, ils peuvent faire un mauvais match. »



Hugo Lloris (gardien et capitaine de l’équipe de France) : « Ça s’est joué sur des détails ce soir, et sur le réalisme. On sait que tout est possible, mais les Espagnols ont pris une belle option. C’est dommage, on avait une belle opportunité pour garder cette première place, mais on n’a pas eu la réussite souhaitée. On s’est approché de ces Espagnols, dans tout : on se procure énormément d’occasions, on l’a vu ce soir. Autant à l’Euro, il n’y avait pas photo, autant sur les deux dernières confrontations, c’est encourageant, parce qu’en face c’est la meilleure équipe du monde, ça se sent dans la maîtrise et la possession de balle. On a su les inquiéter, et ce soir on a eu l’opportunité d’ouvrir le score ou de revenir à 1-1, malheureusement on n’a pas pu le faire. Sur le but, ça va très vite, et on n’a pas eu de réussite non plus. On a des situations derrière pour revenir au score, mais on n’a pas eu le dernier geste ».
Ouest-France

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Christine Bravo mélange Pogba et Drogba...

Si d'ordinaire ce sont les bourdes des politiciens qui sont le plus raillées sur Twitter, l'animatrice Christine Bravo a eu le déplaisir d'être la cible des moqueries mardi soir. Durant le match entre la France et l'Espagne, l'ancienne présentatrice de Frou Frou et d'Union Libre a ainsi confondu Paul Pogba, le milieu de terrain français, et Didier Drogba, l'attaquant vedette de la Côte d'Ivoire. "Bon,je trouve le carton rouge de Didier Drogba injustifié et dégueulasse! Ça gâche la fête!", a ainsi commenté Bravo après l'exclusion du joueur de la Juventus Turin, avant de faire amende honorable quelques instants plus tard lorsqu'elle s'est rendue compte de son erreur.

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Gros audimat pour les Bleus

10,3 millions de Français étaient rassemblés devant leurs téléviseurs pour assister à la défaite de l'équipe de France, mardi contre l'Espagne au Stade de France (0-1). Il s'agit de la plus forte audience pour un match de qualifications depuis le barrage de novembre 2009 contre l'Irlande (1-1), avec la fameuse passe décisive de la main de Thierry Henry.

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Mavuba rend hommage à Valbuena


Il n'y a pas que la presse qui est admiratif de la nouvelle dimension prise par Mathieu Valbuena en Équipe de France. Son ancien pote du centre de formation de Bordeaux Rio Mavuba l'est aussi :

"Il a cette faculté à se rendre décisif, a déclaré le Lillois à RMC. Au départ, il n’est pas forcément dans le onze type mais il arrive à retourner la situation. Il montre qu’il est là et marque des buts importants. Il connait bien Deschamps. Il a pris confiance dans ce groupe et on sent qu’il a une place plus importante".

Sur le plateau du Talk Show, c'est Christophe Champy qui a loué l'état d'esprit de Valbuena : "C'est un régal de le voir jouer, on sent que dès qu'il rentre sur le terrain, il est à bloc, ça vient de sa motivation car il n'a pas eu le même parcours que les autres en Équipe de France".

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Girard : "La France va se qualifier"


Après la défaite des Bleus face à l'Espagne au Stade de France (0-1), René Girard estime que l'équipe de France a encore des chances de se qualifier pour la Coupe du monde 2014.

"Sur le match, il n’y a pas grand-chose à dire, même si on pouvait espérer faire quelque chose de bien. J’ai été agréablement surpris par le comportement de l’équipe de France, solide. Peut-être qu’à un moment, on a un peu payé la jeunesse avec le carton rouge. Mais il y a du mieux, je crois que c’est une équipe en reconstruction qui est bien. Je pense que les deux matches contre l’Espagne peuvent nous donner de l’espoir pour la suite. Je suis persuadé que l’on va se qualifier, bien sûr. Même s’il faut passer par le match de barrage, on y passera. Ce qui veut dire que cette équipe aura plus de maturité, plus d’expérience et elle sera un peu plus homogène.", a déclaré l'entraîneur de Montpellier.

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Coupe du monde 2014 : S'ils passent par les barrages, les Bleus pourraient avoir chaud

Pour la France, le risque d'un passage par la case barrage est grandissant. Et sa place parmi les éventuelles têtes de série n'est pas acquise.

En novembre, les Bleus pourraient avoir chaud - Football - Qualif. Coupe du monde 2014DPPI


Si la Fédération Française de Football avait commencé à se pencher sur le sujet des cases internationales du mois de novembre, elle va sans doute mettre le sujet en sommeil ces prochaines semaines. Compte tenu des événements de mardi et la défaite concédée face à l’Espagne (0-1), il parait plus qu’imaginable que les Bleus auront le droit au barrage du 15 et 19 novembre prochain. Parce que la Géorgie semble désormais trop loin pour revenir sur la bande à Didier Deschamps. Et parce que l’Espagne, même avec un petit point d’avance, a les cartes en main. Et, compte tenu de son programme et de son savoir-faire, on la voit mal lâcher les rênes.

Coupe du monde 2014 : S\'ils passent par les barrages, les Bleus pourraient avoir chaud - Football - Qualif. Coupe du monde 2014 Si tout se passe comme prévu, ce qui arrive parfois en sport, la France devrait donc arracher son billet pour le Mondial sur deux matches au couteau, comme en 2009 face à l’Eire. Pour les points communs, on essaiera de ne pas aller plus loin… Face à qui ? On sait que les huit meilleurs deuxièmes (des neuf groupes) seront concernés par le barrage. La photo actuelle des "deuxièmes" est celle-ci : Croatie, Bulgarie, Autriche, Hongrie, Islande, Israël, Grèce et Angleterre. On serait tenté de prendre en considération les candidatures de la Belgique, de la Suède, de l’Eire, de la Roumanie, de l’Albanie, du Monténégro ou du Portugal qui ont également le profil. Soit parce qu’ils n’ont pas une avance très conséquente en tête de leur groupe, ou parce qu’ils talonnent l’actuel deuxième.

La France tête de série, ou pas ?

Pour connaitre le programme, il faudra attendre fin octobre quand la première phase des éliminatoires sera terminée et que la FIFA aura décidé du modus operandi. Aujourd’hui, rien n’est calé : tirage au sort intégral, têtes de série ? On sait juste qu’il y a aura quatre confrontations et que les vainqueurs seront qualifiés pour le Mondial. L’institution internationale choisira à quelques encablures de l’événement. On peut néanmoins imaginer qu’elle instaurera un système de têtes de série, comme en 2009. La FIFA avait pris en compte son classement mensuel et protégé les quatre équipes les mieux classées. La France, 10e à l’époque, était parmi les têtes de série.

Coupe du monde 2014 : S\'ils passent par les barrages, les Bleus pourraient avoir chaud - Football - Qualif. Coupe du monde 2014 A ce jour, les Bleus sont bien plus bas dans la hiérarchie. Au 14 mars, ils pointent au 17e rang avec 921 points. Il est d’ores et déjà acquis que Didier Deschamps et ses joueurs compteront 914 unités à leur bilan d’avril et descendront d’un cran (18e). Ils verront notamment la Belgique leur passer devant. D’ici la fin de l’année, les Bleus joueront deux matches amicaux en juin (Uruguay, Brésil), un autre le 14 août (adversaire à définir) puis termineront les éliminatoires en Géorgie, en Biélorussie et face à la Finlande. Sa place dans la hiérarchie peut évoluer, à la hausse ou à la baisse. Evidemment, la première possibilité est de loin la plus séduisante.

Dans un scénario "catastrophe" imaginable, et si la FIFA reconduit le système de 2009, la France pourrait ne pas être tête de série lors du tirage au sort des barrages. Il faudrait pour cela, et en se basant sur le classement FIFA actuel, que l’Angleterre, le Portugal, la Croatie et la Grèce soient barragistes. Ces quatre pays devancent aujourd’hui les Bleus. En revanche, si l’un de ces pays venait à manquer à l’appel de novembre, quelle qu’en soit la raison, les Bleus basculeraient du côté lumineux de la force. En espérant que la Suède ou la Belgique n’aient pas la mauvaise idée de passer par les barrages et d’être devant la France. Arriver au tirage avec la certitude d’éviter les Anglais et/ou les Portugais ne serait sans doute pas pour déplaire à Didier Deschamps. Histoire de se donner un petit coup de main avant les deux matches. Parce que pendant, ce n’est jamais bien vu

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Matuidi ne veut pas penser à sa suspension

Averti face à l'Espagne (0-1), Blaise Matuidi sera suspendu pour le prochain match des Bleus. Une absence à laquelle le milieu parisien n'a pas envie d'évoquer.

"On était sur le coup de la déception hier. On aura le temps d’en parler au rassemblement du mois de juin. Le prochain match de compétition est en septembre, on aura le temps d’y penser plus tard.", a déclaré Blaise Matuidi sur RMC.

allez les Bleus

vivement le prochain match pour oublier celui d'hier

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Baup : "Le nul aurait pu être acquis"


Sur RMC, l'entraîneur de l'Olympique de Marseille est revenu sur le match nul (1-1) entre la France et l'Espagne et estime que les Bleus auraient mérité mieux.

"Ils ont montré des choses intéressantes. Le nul aurait pu être acquis. Le premier pressing des joueurs espagnols est difficile à contourner. Quand les Bleus ont réussi à le contourner, ils ont eu des contre-attaques. Il y a eu des choses intéressantes à mon avis.", a déclaré Elie Baup au micro de RMC.

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France-Pires: "Benzema va rebondir"

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Dans une interview accordée à Football.fr, l'ancien international Robert Pires évoque le cas de Karim Benzema, encore muet mardi face à l'Espagne, ce qui porte désormais à douze le nombre de ses matches sans marquer avec l'équipe de France: "Je l’ai trouvé meilleur face à l’Espagne que contre la Géorgie. Je l’ai senti impliqué. Il sait qu’il est dans une situation délicate. Il doit faire la différence et ce n’est pas le cas. A la moindre occasion ratée, le public peut le siffler. Ce n’est pas la chose à faire car cela touche toute l’équipe. A notre époque, c’était plutôt Duga (Christophe Dugarry, ndlr) et cela faisait mal à tout le monde. Maintenant, on connaît le joueur, il joue au Real Madrid, il n’y a pas de souci à se faire, il va rebondir (...) Aujourd’hui, il n’y arrive pas, il est dans une mauvaise spirale et le public ne l’aide pas. Ce qui est fou, c’est qu’il a des occasions (...) Peut-être qu’il ne supporte pas la pression lorsqu’il a le maillot de l’équipe de France sur les épaules. Entre le club et la sélection, c’est très différent."

Ce mec c'est un boulet c'est pourquoi il a choisit le Real de Minables

Il était bon aussi à Bordeaux avec ce 5-0 prit àCaen

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Nasri brise le silence

Samir Nasri est revenus sur les incidents de l'Euro 2012. (Reuters) Samir Nasri est revenus sur les incidents de l'Euro 2012. (Reuters)


"Il est temps de parler, de s’expliquer." C’est par ces mots que Samir Nasri a débuté son interview, lundi soir, sur le plateau de BeIn Sport. Le milieu de terrain de Manchester City a pris la parole pour la première fois depuis l’Euro 2012, où ses rapports avec la presse ont été tendus. Il en profite pour faire son mea culpa.
Sur Arsène Wenger…

Si les supporters d’Arsenal ne lui ont pas pardonné son départ pour Manchester City, à l’été 2011, Samir Nasri affirme que ses relations avec Arsène Wenger sont toujours bonnes. "C’est le plus grand entraîneur avec qui j’ai travaillé, a confié l’ancien Gunner lundi soir sur le plateau de BeIn Sport. C’est celui qui m’a le plus compris, celui avec qui j’ai le plus d’affinités. Avec lui, je communiquais beaucoup. Il m’a fait prendre conscience de mon potentiel. Je lui en suis reconnaissant. Il a joué un rôle prépondérant dans ma carrière." Nasri est également revenu sur les conditions de son départ. A l’époque, Fabregas souhaitait également changer d’air, mais Wenger n’avait accordé qu’un bon de sortie. L’Espagnol a filé le premier au Barça, et ce sont les dirigeants d’Arsenal qui ont ensuite choisi d’accepter l’offre de Manchester City pour Nasri. "Stan Kroenke ne pouvait pas s’asseoir sur une indemnité de transfert, explique le Français, qui jure ne pas avoir exercé de pression sur son manager. Même le jour où je suis parti, j’étais à l’entrainement. Tout s’est bien passé avec lui (Wenger). Il sait que j’ai fait preuve de professionnalisme."
Sur Manchester City…

Sans surprise, Nasri ne regrette absolument pas son choix de carrière. "J’ai gagné le titre, alors qu’Arsenal piétine pour se qualifier pour la Ligue des champions, avance l’ancien Marseillais. Wenger n’a pas les moyens pour rivaliser avec les autres clubs. Quand en juin on te dit qu’on ne recrutera que Gervinho, tu sais que tu ne peux pas lutter." Manchester City est un club riche, mais Nasri jure que l’argent n’a pas motivé son transfert. "Ceux qui ont dit ça ne sont pas honnêtes. Quand on regarde les deux effectifs, il n’y pas photo." Le désormais Citizen a quitté Arsenal pour garnir son palmarès, et n’a pas dû attendre plus d’une saison pour remporter la Premier League. "On fait ce métier là pour connaitre ces joies, le fait d’y penser j’en ai encore des frissons." Nasri, pourtant, n’est pas à la fête cette saison avec son club. La preuve ? La réaction de son entraîneur après le très bon match du Français contre Newcastle ("Je voudrais lui mettre mon poing. Parce qu'un joueur comme lui devrait toujours jouer comme aujourd'hui", a déclaré Roberto Mancini). "Quand mon coach dit que je joue et que je m’entraîne à 50%, ce n’est pas vrai", se défend le Français qui avoue tout de même : "Je ne fais pas une bonne saison, j’en suis conscient." Et avance une explication : l’Euro 2012.
Sur l’Euro 2012…

Dans une compétition où les Bleus n’ont guère brillé, Samir Nasri a fait parler de lui, dans le mauvais sens du terme. D’abord en invitant un journaliste à se taire après son but face à l’Angleterre. Puis en insultant un autre journaliste après l’élimination contre l’Espagne. "Le journaliste en question a eu tort, même son patron l’a reconnu, répond le joueur. Mais je n’aurais jamais dû réagir comme ça. Le doigt sur la bouche ? C’était trop. Mais pendant toute une année on m’a traité de mercenaire. L’Equipe (le journal, ndlr) voulait me voir sortir de l’équipe de France. Et lors du premier match, je marque. A ce moment-là, tu es ailleurs, tu te sens invincible. Tu es à l’hôtel, en Ukraine, tu lis la presse, tu n’as rien à faire d’autre, et tu te montes la tête toute seul. J’ai manqué de sang-froid. Ça n'avait rien à voir avec mon entourage, mon père m’a d’ailleurs gueulé dessus." Nasri confie qu’il a été très affecté par ces évènements, et regrette de ne pas avoir pris la parole plus tôt. "L’impact médiatique a été très difficile à digérer. Je dirais que ça a un peu plombé ma saison. Quand dans la tête ça ne va pas, sur le terrain ça ne va pas. J’ai mal géré la situation, je le reconnais. J’aurais dû faire mon mea culpa, je me suis renfermé et avec le recul, je me rends compte que j’ai eu tort."
Sur l’équipe de France…

S’il n’a plus été appelé depuis l’Euro, et la prise de fonctions de Didier Deschamps, Samir Nasri ne fait pas une croix sur les Bleus. "L’équipe de France, ça reste quelque chose de très important. C’est le summum, des compétitions que j’ai toujours rêvé de jouer. Mais il faut être réaliste. Il faut être performant dans son club. J’ai un passé qui n’est pas le même que certains joueurs. Il faut que je sois exemplaire dans mon club." Nasri reconnaît que la génération 87 (Benzema, Ben Arfa, Ménez et lui) traverse une période délicate depuis l’Euro. "On a tous des trajectoires différentes et à la fois similaires. On a une génération talentueuse, mais fragile mentalement et psychologiquement. Je ne désespère pas qu’on fasse un jour partie du noyau dur de l’équipe de France." A l’heure actuelle, seul Karim Benzema est régulièrement titulaire en sélection. Mais sa place, à cause de son mutisme devant le but, est souvent remise en cause. "Pour moi, c’est un débat inutile. C’est l’attaquant le plus talentueux du football français, il n’a pas d’équivalent. Il faut lui donner confiance, le mettre dans les meilleures dispositions possibles."

Carrément je l'aime pas ce joueur

Vous voyez la France aller jusqu'en finalle ?

Faut prendre des vrais attaquants