[Football] Equipe de France (1)

Rappel du premier message :

Venez parlez ici des matchs de l'équipe de France.....




Allez la France








Higuain possede la double nationalité,Domenech l'avait appelé en 2006 mais il avait refusé car il veut porter le maillot de l'Argentine mais Maradonna l'a toujour pas retenu donc il rouvre la porte aux bleus!
Qu'en pensez-vous?Faut-il lui accorder une seconde chance ou le laisser tomber?

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Benzema "va revenir", juge Garde

Invité du Canal Football Club, dimanche, Rémi Garde, l’entraîneur de l’OL, a commenté la mauvaise passe de Karim Benzema en équipe de France. "C’est un joueur qui souffre un peu comme tous les buteurs qui ne marquent pas. Mais on sent quelqu’un qui commence à vouloir bousculer les choses. Avec le soutien des joueurs, son talent et ce changement d’attitude, ça va revenir", a expliqué l’ancien international français. Ce dernier n'a pas voulu s'exprimer en revanche sur la titularisation ou non de l'attaquant formé chez les Gones face à l'Espagne, mardi

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Thuram encense Deschamps


Après s’être montré très critique sur l'état d'esprit qui règne en équipe de France, Lilian Thuram a en revanche été très élogieux en ce qui concerne Didier Deschamps.

"Nous savons que la force de Barcelone et de l’Espagne est de tenir le ballon. La force de la France est d’avoir un grand entraîneur. Deschamps a été un grand joueur qui a beaucoup gagné et qui sait gagner. En 1998, nous étions une sélection avec beaucoup de joueurs qui jouaient en Italie, très forts tactiquement. C’est plus facile de gagner comme ça. Nous avions un génie comme Zidane mais la clé était d’avoir Deschamps.", a déclaré le recordman du nombre de sélections en équipe de France (142) dans une interview accordée à El Pais.

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Histoire des France - Espagne

Une ligne a longtemps été directrice dans l’histoire des affrontements entre les deux pays. Avant le mois de juin dernier lors de l’Euro 2012, la France avait toujours remporté les matches officiels alors que l’Espagne était championne des rencontres amicales. Voici quatre des plus importantes confrontations.

Le plus important : 27 juin 1984, finale de l’Euro. France 2-1 Espagne

Pour la première fois, les deux équipes disputent un match en compétition officielle. Avant cela, 19 rencontres amicales ont eu lieu pour dix victoires espagnoles, dont quelques fessées (8-1 en 1929, 5-1 en 1949), six nuls et trois succès français. Mais les Bleus sont dans une période faste. La France accueille l’Euro et découvre le carré magique, deuxième version, avec Michel Platini, Alain Giresse, Jean Tigana et Luis Fernandez, fils d’immigrés espagnol. La finale de la compétition au Parc des Princes a confirmé le statut de Michel Platini, l’un des meilleurs joueurs du monde et auteur de son neuvième but de la compétition face à Luis Arconada, gardien malheureux de la Roja. Après une fin de match tendue où Yvon le Roux est expulsé, c’est Bruno Bellone qui délivre le pays du coq en inscrivant le deuxième but. La France remporte le premier titre de son histoire.

L’échec de Raul : 25 juin 2000, quart de finale de l’Euro, Espagne 1-2 France

Depuis la victoire en finale de l’Euro, la France est désormais invaincue avec quatre victoires et un nul face à l’Espagne. Elle est surtout devenue championne du monde en 1998. Arrivés en quart de finale avec le statut de grands favoris de l’Euro, les Bleus affrontent une Espagne très ambitieuse de par sa génération en or, emmenée par Guardiola, Mendieta et Raul. Justement, l’attaquant du Real Madrid a été l’acteur principal d’un match que toute la péninsule regrette encore aujourd’hui. La France mène d’un but grâce à Zidane et Djorkaeff alors que Mendieta avait marqué sur penalty. L’Espagne se voit accorder la chance d’égaliser sur un nouveau penalty – généreux – sifflé par Pierluigi Collina dans le temps additionnel. Le milieu de Valence étant sorti, c’est Raul qui prend la responsabilité de tirer. C’est manqué. La France remportera par la suite le deuxième Euro de son histoire.

La retraite de Zidane : 27 juin 2006, 8e de finale du Mondial, Espagne 1-3 France

L’Espagne s’est renouvelé, elle est désormais commandée par Casillas, Xavi et Puyol, plus la jeunesse symbolisée par Sergio Ramos, Fabregas ou Fernando Torres. La phase de groupe est d’ailleurs facile avec trois victoires et huit buts marqués dont un 4-0 retentissant contre l’Ukraine. La France est elle vieillissante et réalise une première partie compliquée. Seulement deuxièmes de la poule G (derrière la Suisse !), Zidane et consorts sont très humbles avant d’affronter la Roja. Tout le contraire de la presse espagnole : "Nous allons mettre Zidane à la retraite", annonce fièrement Marca la veille de la rencontre. La réponse est cinglante. Accompagné d’un Ribery de feu, la génération 1998-2000 se rebelle après l’ouverture du score de David Villa et inflige une leçon aux insolents espagnols. Zidane repousse sa retraite mais échoue en finale sur un coup de tête.

La bête noire vaincue : 23 juin 2012, quart de finale de l’Euro, Espagne 2-0 France

Bizarrement ou pas, la défaite de 2006 a fait du bien à toute l’Espagne. Le pays a pris une leçon d’humilité alors qu’il se voyait déjà vainqueur. Raul, dernier symbole de la guerre des clans Madrid-Barça, a été écarté et la Roja s’est révolutionné. Avec un jeu flamboyant, elle a remporté l’Euro 2008 et la Coupe du monde 2010. Comme pour la France en 2002, beaucoup s’attendent alors à ce que l’Espagne échoue dans la quête d’un troisième titre international de suite. Mais même la plus grande bête noire des Espagnols n’y peut rien. Cette sélection là est trop sûre d’elle, trop forte. Xabi Alonso, auteur d’un doublé, écarte de bien jeunes Bleus, encore traumatisés par la pitoyable image montrée deux ans plus tôt à Knysna. L’Espagne a enfin surmonté tous ses démons et peut tranquillement filer vers un triplé historique.

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Giroud doit-il débuter ?

Olivier Giroud postule à une place de titulaire face à l'Espagne. (Reuters)


La victoire de l'équipe de France face à la Géorgie (3-1) a livré son lot de satisfactions, mais a également mis en lumière les difficultés actuelles de Karim Benzema, encore une fois muet malgré plusieurs occasions. Didier Deschamps, qui lui accorde une immense confiance depuis sa prise de fonctions, doit-il encore lui faire confiance contre l'Espagne, alors qu'Olivier Giroud, buteur vendredi, a prouvé qu'il pouvait être performant ?
Par Fabrice Voisin
OUI

Le simple fait que l’on se pose la question de la titularisation d’Olivier Giroud à la pointe de l’attaque tricolore est le signe évident que l’heure du changement a sonné. Fini le statut d’intouchable de Karim Benzema, son inefficacité a fini par avoir raison de ses plus fervents défenseurs. Car comment, quand un attaquant, aussi talentueux soit-il, ne marque pas pendant onze matches, peut-il encore prétendre à une place de titulaire ?

Si Olivier Giroud frappe autant à la porte, il ne le doit pas seulement aux difficultés de son concurrent. Le Gunner, en marquant vendredi soir le premier but face à la Géorgie, a débloqué une situation qui était bien mal embarquée pour les Bleus et a prouvé qu’il était en confiance. Et on ne peut oublier que l’ancien Montpelliérain est celui qui avait marqué à Vicente Calderon, au bout du temps additionnel, lors du match aller face à l’Espagne (1-1). A Arsenal également, Giroud a prouvé qu’il avait passé un palier, comme en témoigne son but en huitièmes de finale de la Ligue des champions face au Bayern.

Sur le plan technique, la présence de Giroud permettrait aux Bleus de bénéficier d’un point de fixation, nécessaire à faire remonter le bloc-équipe que l’on imagine bas face à une Espagne qui aime avoir le ballon. Il faudra d’ailleurs exercer un pressing dès la première relance, une tâche ingrate à laquelle ne rechigne pas Giroud, au contraire d’un Benzema avare d’efforts défensifs.
Par Matthieu Abadie
NON

Toute une équipe qui prend fait et cause pour un même joueur, ce n’est jamais anodin. Depuis vendredi, les Bleus ont multiplié les déclarations en faveur de Karim Benzema, soulignant son importance et son apport technique. Le meilleur joueur des Bleus, selon Valbuena lui-même, traverse une mauvaise passe, c’est arrivé à tous les grands attaquants. Par ailleurs, Deschamps ne peut se permettre de reléguer Benzema sur le banc pour un tel match, au risque d'aller à l'encontre de problèmes de vestiaires dûs aux amis du Madrilène dans le groupe, tels Ribéry ou Ménez.

Au même titre que Varane, que toute l’Espagne souhaite voir sur le banc mardi soir, Benzema représente en outre une menace permanente sur la défense que la Roja connaît. Cette dimension psychologique face à des partenaires de club que sont Arbeloa ou Sergio Ramos joue également en sa faveur, la motivation en étant décuplée. Son match plein lors du match aller à Vicente Calderon en atteste. Certes, Giroud y avait marqué, mais c’est en tant que remplaçant qu’il avait fait la différence, profitant du travail préalable de Benzema pour avoir suffisamment d’énergie pour aller marquer sur l'ultime contre.

Or, face à une Espagne qui domine, le jeu de contre sera prépondérant. De ce point de vue, Benzema est inévitable, car il offre une mobilité que n’a pas Giroud. Les décrochages du Merengue seront également précieux, de même que sa conservation de balle qui n’a rien à envier à celle du Gunner. "Je sais qu’il va être performant et décisif dans les grands matches". Et c’est Valbuena qui le dit.

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Ribéry au soutien de Benzema

Benzema et Ribéry rigolent ensemble. Un bon bol d'air pour l'attaquant des Bleus muet depuis 11 matches.
Franck Ribéry a retrouvé le sourire en équipe de France. De nouveau important, décisif et libéré, le Munichois connaît cependant parfaitement la situation de Karim Benzema. Muet depuis 11 matches ou 928 minutes, le Madrilène est en passe de confiance. Mais Ribéry, comme Garde, sont convaincus qu’il va rebondir.

L’équipe de France a profité de son succès obtenu vendredi face à la Géorgie (3-1), ainsi que du match nul surprise de l’Espagne contre la Finlande (1-1), pour s’emparer de la tête de son groupe de qualification pour la Coupe du monde 2014. Tout devrait être parfait pour les Bleus. Pourtant, si le positif l’emporte évidemment largement, il existe quelques points de résistance qui tournent carrément à la mauvaise récurrence. Ainsi, il devient difficile de ne pas remarquer le manque de confiance de Karim Benzema. Il ne marque plus avec le maillot tricolore depuis 11 matches et 928 minutes !

Tous les attaquants passent par des phases compliquées mais celle-ci s’éternise et la confiance aveugle de Didier Deschamps finir par s’étioler. "C’est un joueur qui souffre un peu comme tous les buteurs qui ne marquent pas. Mais on sent quelqu’un qui commence à vouloir bousculer les choses. Avec le soutien des joueurs, son talent et ce changement d’attitude, ça va revenir", a expliqué Rémy Garde au Canal Football Club. Effectivement, ses coéquipiers le soutiennent ouvertement.

"Les sifflets sont très durs. Karim est notre meilleur joueur", a lâché Valbuena après la victoire contre la Géorgie. Ribéry en a rajouté une couche dimanche dans Téléfoot: "Karim est un peu dans le doute mais il travaille énormément pour l'équipe. Il doit avoir le soutien de tout le public français. On a réalisé une bonne performance au match aller à Madrid, on espère à présent faire une belle prestation mardi face à l’Espagne à domicile." Une rencontre face aux champions d'Europe qui représente évidemment le meilleur moment pour rebondir. A condition que l'ex-Lyonnais joue.

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L'arbitre est Hongrois


La rencontre face à l'Espagne de mardi soir (21h00) au Stade de France sera arbitre par Viktor Kassai, âgé de 37 ans. Le Hongrois a notammement arbitré le match entre Barcelone et Milan (4-0), comptant pour les 8e de finale retour de la Ligue des champions, à la mi-mars. Il sera entouré de ses compatriotes Gabor Eros et Gyorgy Ring. Le quatrième arbitre sera Tamas Bognar.

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France: Lloris au soutien de Benzema

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Interrogé sur la méforme actuelle de Karim Benzema, Hugo Lloris, sans surprise, est venu au secours de l'attaquant du Real Madrid à la veille d'un France-Espagne décisif dans la course à la Coupe du monde 2014. "Il n’y a pas de problème avec Benzema parce qu’on sait ce qu’il nous apporte, on sait ce qu’il nous a apporté et ce qu’il nous apportera dans le futur, a déclaré le capitaine des Bleus. Il traverse une période difficile mais on est là pour l’aider. Tôt ou tard, il finira pas marquer. Pourquoi pas demain."

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France-Deschamps: "On ne va pas jouer le nul"

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A l’heure où l’équipe de France s’apprête à en découdre avec l’Espagne, mardi, au Stade de France, dans le cadre des éliminatoires de la Coupe du monde 2014, Didier Deschamps n’entend pas voir ses joueurs endosser un simple rôle de figurants. "On ne va pas jouer le nul. Si on obtient un nul, on le prendra, mais je prépare mon équipe à la victoire pour tous les matches.(…) On va livrer bataille. On a été capables de malmener l'Espagne au match aller. On va les respecter mais on ne sera pas intimidé, on n’aura pas peur. On sait les forces qu’il y a en face. Il faudra être capable de faire voir nos forces", souffle le sélectionneur tricolore lors de la traditionnelle conférence de presse d'avant-match.

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France-Deschamps: "Del Bosque ne peut pas être inquiet"

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Alors que Vicente Del Bosque a précisé qu’il se craignait l’équipe de France, ce lundi, en conférence de presse, Didier Deschamps n’a pas tardé à rebondir sur les propos du sélectionneur espagnol. "Il ne peut pas être inquiet. Quand on est sélectionneur de l’Espagne, on ne peut pas être inquiet. Il ne s’attend probablement pas à une partie de plaisir, il sait qu’il y aura de la qualité en face mais ce n’est pas pour cela qu’ils auront des doutes. Ils ont conscience de leur force et ils viendront pour gagner ce match".

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France: Pour Lloris, l'absence de Casillas ne change rien

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Décisif au match aller, Hugo Lloris, qui avait arrêté un penalty de Fabregas en fin de première période, n'est pas du genre à tirer la couverture à lui. "Il va falloir être fort collectivement, à l’image de notre mi-temps en Espagne. Tout le monde se doit de faire un grand match. Individuellement, ça ne change rien, on se prépare du mieux possible, on est tous concernés, on a tous envie de réaliser une grande performance", s'est borné à répondre le gardien de Tottenham à la veille de retrouver les Espagnols mardi au Stade de France dans une rencontre décisive dans la course à la Coupe du monde 2014. Nouvelle preuve que l'ancien Lyonnais pense collectif, son avis plus que détaché sur l'absence d'Iker Casillas, son homologue du Real Madrid. "Il sera remplacé par un autre grand gardien, a-t-il réagi. Casillas reste une référence à ce poste, une légende pour l’équipe d’Espagne.Après, son absence change-t-il quelque chose ? Je ne pense pas, tellement l’équipe d’Espagne impressionne collectivement. Quelle que soit l’équipe en face, on a les armes pour les inquiéter et marquer."

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Lloris: "On y croit fort"

Hugo Lloris est apparu serein à la veille de France-Espagne. Hugo Lloris est apparu serein à la veille de France-Espagne.

Auteur d’une grosse performance au match aller à Madrid (1-1), avec notamment un penalty arrêté, Hugo Lloris retrouve mardi l’Espagne au Stade de France, avec la possibilité pour les Bleus de faire un grand pas vers la Coupe du monde brésilienne en cas de succès. Le capitaine des Bleus veut y croire, persuadé que la France peut encore contrarier les champions du monde.

Vous aviez été décisif aller, vous aurez sans doute encore beaucoup de responsabilités mardi, cela change-t-il votre façon de vous préparer individuellement ?
La première chose, c’est de donner une réponse collective, il va falloir être très fort à l’image de notre deuxième mi-temps en Espagne. Individuellement, ça ne change rien, on se prépare du mieux possible.

Sur quelles qualités comptez-vous vous reposer pour contrarier les Espagnols ?
On va essayer de produire une belle copie techniquement. Face à la meilleure équipe au monde, on se doit d’être prêts techniquement et tactiquement, et surtout se reposer sur nos valeurs morales. On fait de très bonnes choses depuis un moment, il faudra s’inscrire dans la continuité, on se devra d’être au top, tout le monde en a conscience. On a fait un match plus que correct contre la Géorgie, il faudra des ingrédients supplémentaires pour faire un grand match contre l’Espagne.

Quel regard portez-vous sur la charnière centrale alignée vendredi dernier et notamment sur Rapahaël Varane ?
Face à Géorgie, tous les joueurs ont rendu une bonne copie, on a beaucoup parlé de Raphaël, mais à la veille d’un grand choc, il faut le protéger. C’est un jeune joueur plein de talent, il l’a montré, après quels que soient les joueurs alignés mardi, tout le monde est concerné et a envie d’être sur le terrain, ça sera un match passionnant à vivre.
"On s'attend à souffrir"

Où situez-vous le match aller dans le palmarès de vos grandes émotions ?
Le match aller reste un match référence de ces dernières années, on a su rivaliser, voire mieux en deuxième mi-temps, face à la meilleure équipe du monde qui a tout gagné ces derniers temps. Maintenant, il appartient au passé, dans ce sport, il faut se remettre en question, on l’a très bien fait depuis, on s’attend à souffrir demain (mardi), mais on sait aussi qu’on peut poser des problèmes à cette équipe, on y croit fort.

Votre confiance est-elle différente par rapport au match aller, l’état d’esprit a-t-il change ?
L’état d’esprit, ça se cultive, ça fait plus de six mois que nous vivons cette aventure ensemble, pour le moment ça se passe bien au niveau des points acquis et des performances, mais on sait que ça peut basculer très vite, il ne faut pas s’enflammer. Derrière, il y a encore trois matches importants avec deux déplacements compliqués à gérer, tous les voyants sont au vert, mais il n’y a pas d’excès de confiance.

Au-delà de l’enjeu sportif, que ressent-on lorsqu’on s’apprête à disputer un tel match à enjeu, de la fierté ?
Ce sont des grands moments à vivre dans le sport, à partager avec ses coéquipiers, le stade sera plein, on espère montrer de très belles choses pour les partager avec nos supporters et la France en général. Mais on devra mettre ça de côté et on sera concentrés pleinement sur nos performances individuelles et la performance collective, on espère sortir du match avec le moins de regrets possible.
"Aucun problème Benzema"

Karim Benzema traverse une période difficile, est-ce l’union sacrée autour de lui ?
Il n’y a aucun problème Benzema, c’est joueur respecté qui a apporté par le passé et apportera encore, rien n’est remis en cause. Il traverse une période délicate, on est là pour l’aider à la traverser, on espère qu’il retrouvera rapidement le chemin des filets, pourquoi pas demain ?

Casillas ne sera pas là, est-ce un avantage pour vous ?
Il sera remplacé par un autre grand gardien, mais c’est vrai que Casillas reste une référence à ce poste et une légende pour l’équipe d’Espagne. Est-ce que ça change quelque chose ? Je ne pense pas, tellement l’Espagne impressionne collectivement.

Après le nul de l’aller, ressentez-vous un certain ascendant sur cette équipe d’Espagne ?
Non, pas du tout. Demain, il y aura une vérité sur le terrain, aujourd’hui, on ne pense pas du tout au classement, on jouera pour le gagner.

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Koscielny, Varane et Pogba d'entrée ?


D'après l'Equipe, Laurent Koscielny, Raphaël Varane et Paul Pogba pourraient être titularisés par Didier Deschamps pour affronter l'Espagne mardi soir.

C'est ce qui ressort de la dernière mise en place effectuée par le sélectionneur ce lundi au Stade de France. Disposés dans un 4-3-3, Koscielny, Varane et Pogba faisaient partie de l'équipe "des titulaires" présumés, contrairement à Sakho qui pourrait prendre place sur le banc.

L'équipe probable :

Lloris - Jallet, Varane, Koscielny, Evra - Pogba, Matuidi, Cabaye - Valbuena, Ribéry - Benzema.

21:00 France Espagne

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Valbuena, clés en main

Mathieu Valbuena prend de l'ampleur sous le maillot bleu.

Match après match, Mathieu Valbuena s’impose de plus en plus sous le maillot de l’équipe de France. Plus mûr, le milieu de terrain joue désormais en pleine confiance. Un statut qu’il a mis du temps à obtenir, et qu’il compte désormais faire fructifier.

Qu’elle semble désormais loin l’époque où Mathieu Valbuena avait besoin d’un protecteur nommé Ronald Zubar. Nous sommes en 2006, et les deux joueurs arrivent à l’OM. Le premier débarque de Libourne, en National, et son intégration se passe difficilement. Le joueur est la victime préférée de certains membres de l’effectif olympien. L'ancien Caennais vole alors à sa défense, et le prend sous son aile. "Dans les moments difficiles, il a toujours été là pour me parler. Il me disait que j'étais un peu trop naïf. À cette époque-là, je découvrais le milieu et on a un peu abusé de ma gentillesse sur certaines choses", se souvient Valbuena, dans les colonnes de La Provence.

Un peu plus de six ans plus tard, le milieu de terrain de l’Olympique de Marseille n’en finit plus d’attirer les louanges. La raison ? Un rendement nettement au-dessus de la moyenne sous le maillot de l’équipe de France. Sur ses cinq derniers matches sous le maillot frappé du coq, "Petit Vélo" a inscrit trois buts et offert une passe décisive, tandis que son influence sur le jeu ne fait que croître. "C’est lui qui impulse le jeu, qui met de la vitesse. Il trouve les intervalles, il accélère. C’est l’élément déterminant de cette équipe. Et j’aime cette envie qu’il dégage, cette volonté qu’il a de vouloir se surpasser", remarque René Girard, le coach de Montpellier, dans les colonnes de L’Equipe.
"A moi de continuer mon petit bonhomme de chemin"

Désormais le Marseillais est un taulier. "Le taulier, c’est vous qui le décidez, mais je l’utilise, il est dans un registre offensif où il est décisif à travers ses passes ou ses buts, tant mieux, il maintient le niveau qu’il a eu sur les matches d’octobre et novembre", explique Didier Deschamps, un coach qui ne comptait pas forcément sur lui à son arrivée à l’OM, en 2009. "Mais l’homme a mûri après avoir traversé des moments très difficiles et cela a fini par rejaillir sur le joueur", souffle le sélectionneur. "C’est indéniablement un garçon qui a acquis de la consistance, de la régularité. C’est quelqu’un qui a pris énormément d’assurance, et on sent un garçon qui a beaucoup de confiance en lui en ce moment", abonde pour sa part l'ancien international David Ginola.

Gonflé à bloc, Mathieu Valbuena profite, lui qui a parfois encore du mal à croire qu’il est bien le numéro 10 des Bleus. "Je n’aurais jamais pu imaginer ça un jour, sourit-il. A moi de continuer mon petit bonhomme de chemin." Place désormais à ce match face à l’Espagne, le pays d’origine de ses parents. Un match forcément spécial. "C'est quelque chose de fort de les jouer. Mon père est né en Espagne, son coeur est là-bas même si son fils est en équipe de France", lâche-t-il d’ailleurs, à La Provence. A l’aller, son entrée en jeu en deuxième période avait coïncidé avec le temps fort des Tricolores. "Il avait fait beaucoup de mal", confirme d’ailleurs Vicente Del Bosque. Si Mathieu Valbuena renouvèle sa performance au Stade de France, il sera alors définitivement temps de ne plus être surpris par son niveau de jeu…

Ce soir allez les Bleussssssssssssssss

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L'heure de Benzema ?

Karim Benzema pourrait enlever le doute de son visage.
Critiqué pour son manque d’efficacité en Bleu qui dure depuis juin 2012, Karim Benzema garde la confiance de Didier Deschamps. Le sélectionneur tricolore devrait passer au 4-2-3-1 ce mardi soir contre l’Espagne avec le Madrilène en pointe. Il est temps pour lui de se réveiller.

On demande aux grands joueurs d’être là dans les grands moments. Karim Benzema a déjà prouvé qu’il appartenait à cette classe de footballeur, en témoigne la saison passée au Real Madrid (28 buts en 45 matches, Liga et Ligue des champions comprises). Ce soir, l’attaquant des Bleus serait bien inspiré de confirmer cet adage pour le décisif France-Espagne alors que sa sortie de tunnel tarde un peu trop au goût de certains.

A vrai dire, ils sont très nombreux les observateurs à s’inquiéter de cette panne d’efficacité pour un joueur qui n’a plus marqué sous les couleurs tricolores depuis le 5 juin 2012 lors de la victoire contre l’Estonie (4-0). Les dents grincent et les sifflets du public se font entendre à l’encontre de l’ex-Lyonnais comme ceux descendus du Stade de France vendredi dernier contre la Géorgie (3-1).

Didier Deschamps n’a pas besoin qu’on le lui rappelle. "Il a eu des occasions. Je m’inquiéterais s’il n’en avait pas", rétorque le sélectionneur des Bleus et on peut lui donner raison sur le coup. Mais les faits ne plaident pas en faveur de Benzema. Pas toujours inspiré non plus cette saison avec le Real, il traverse incontestablement une mauvaise passe, tant redoutée par les attaquants.
Maintenant ou jamais ?

Cette maladresse ou ce manque de réussite, c’est selon, se termine forcément un jour. Il faut faire le dos rond paraît-il, continuer à garder le moral et le tout reviendra. Son entourage (entraîneur, joueurs et même adversaires) lui a témoigné en tous les cas sa confiance ces dernières heures. C’est déjà ça. A lui de jouer maintenant et de marquer. Face à ses coéquipiers de la Liga, Karim Benzema trouvera peut-être la lumière.

Ce serait une belle histoire que de se réveiller au moment où les Bleus peuvent asseoir leur leadership sur ce groupe I et prendre cinq points d’avance sur la Roja, en cas de succès, à trois matches de la fin des qualifications. L’occasion est trop belle pour Karim Benzema qui mettrait au passage une fin au débat à son sujet. Dans le cas contraire, Deschamps aura du mal à justifier son statut de titulaire indiscutable.

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France-Espagne, l'avant-match

L'équipe de France devance l'Espagne au classement du groupe I des qualifications pour la Coupe du monde 2014 avant de l’affronter, ce mardi soir, à Saint-Denis. Suivez l'avant-match en direct.

13h02 Deschamps invaincu... quand ça compte
Depuis son arrivée sur le banc de l'équipe de France, où il a remplacé Laurent Blanc, Didier Deschamps a dirigé les Bleus à huit reprises. Pour un bilan positif de quatre victoires, deux nuls et deux défaites. Les deux revers tricolores ont été concédés face au Japon (0-1) et l'Allemagne (1-2) à l'occasion de matches amicaux. Le sélectionneur des Bleus est donc à la tête d'un bilan presque parfait dans les matches officiels, ceux comptant pour les éliminatoires à la Coupe du monde 2014, avec trois victoires (contre la Finlande, la Biélorussie et la Géorgie) et un nul ramené d'Espagne.

12h32 Sec mais frais
Si le soleil devrait percer légèrement dans l'après-midi sur la région parisienne, il n'aura pas d'incidence sur les températures, très fraîches en ce début de semaine. Au coup d'envoi de la rencontre, la température devrait ainsi avoisiner les 3° C. Les joueurs resteront en revanche au sec, aucune précipitation n'étant attendue sur Saint-Denis. Charge aux Français, aidés par le public du Stade de France, de réchauffer l'atmosphère.

12h02 Benzema-Villa, un duel à l’avantage de l’Espagnol
Karim Benzema et David Villa vont se livrer un duel à distance ce mardi soir sur la pelouse du Stade de France. Les statistiques sont en tout cas largement à l’avantage de l’attaquant espagnol, meilleur buteur de l’histoire de la Roja avec 54 buts en 86 sélections. Le Français, lui, n’a marqué que 15 fois au cours de ses 56 matches avec l’équipe de France. Plus grave, le joueur du Real Madrid reste sur une série de douze rencontres sans but en bleu…

11h35 Piqué: "Ce n’est pas le match de la mort"
Accrochée par la Finlande (1-1) vendredi, l’Espagne doit rectifier le tir face aux Bleus mardi soir. Mais Pour Gerard Piqué, le défenseur de la Roja, ce match face à la France "n'est pas le match de la mort": "Si on perd, ce sera bien sûr un coup dur mais il nous restera la possibilité d'aller en barrages, ce qui nous donnera une autre chance". Piqué estime aussi que la rencontre sera plus ouverte que celle face aux Finlandais: "Quand on joue à domicile, devant son public, cela pousse à jouer plus haut, je ne pense pas que ce sera aussi fermé et défensif que la Finlande."

11h01 Deschamps: "On ne va pas jouer le nul"
Avec deux points d’avance en tête du groupe I des éliminatoires du Mondial 2014, l’équipe de France affronte l’Espagne en position idéale. Mais Didier Deschamps, le sélectionneur des Bleus, ne veut pas voir son équipe attendre l’adversaire. "On ne va pas jouer le nul. Si on obtient un nul, on le prendra, mais je prépare mon équipe à la victoire pour tous les matches, a-t-il lancé en conférence de presse lundi soir. On va livrer bataille. On a été capables de malmener l'Espagne au match aller. On va les respecter mais on ne sera pas intimidé, on n’aura pas peur. On sait les forces qu’il y a en face. Il faudra être capable de faire voir nos forces."

10h31 France: Sakho ou Koscielny ?
Titulaires convaincants contre la Géorgie vendredi dernier au Stade de France (3-1), Raphaël Varane et Paul Pogba ont marqué des points, au point d’être fortement pressentis pour démarrer la rencontre décisive contre l’Espagne ce mardi soir à Saint-Denis. La titularisation du Turinois s’accompagnerait du retour de Yoann Cabaye dans un milieu à trois renforcé. Mathieu Valbuena serait dès lors aligné à droite de ce 4-3-3 avec pour pendant à gauche Franck Ribéry, charge aux deux hommes d’alimenter Karim Benzema qui garde la confiance du sélectionneur. En défense, si la question de la titularisation de Varane ne semble plus se poser, Mamadou Sakho, qui n’est jamais apparu lundi avec l’équipe des supposés titulaires lors de la dernière mise en place au Stade de France, pourrait perdre sa place de titulaire, lui qui a joué l’intégralité des huit matches de l’équipe de France depuis l’arrivée de Didier Deschamps, au profit de Laurent Koscielny. A moins que "DD" ait cherché à brouiller les pistes. L’équipe possible: Lloris – Jallet, Varane, Koscielny (ou Sakho), Evra – Cabaye, Pogba, Matuidi – Valbuena, Benzema, Ribéry.

9h57 France-Espagne: 11-14
L’histoire entre la France et l’Espagne est riche de 32 rencontres. Le bilan reste à l’avantage des Espagnols qui ont gagné à 14 reprises, contre 11 pour les Bleus, pour sept résultats nuls. Si le dernier match entre les deux équipes s’est soldées par un nul à Vicente-Calderon lors de la première manche de ces éliminatoires à la Coupe du monde 2014, la France restait sur trois défaites de rang contre la Roja : 1-0 en amical en février 2008 à Malaga, 2-0 toujours en amical en mars 2010 mais cette fois-ci au Stade de France et enfin 2-0 en quarts de finale du dernier Euro en Ukraine.

9h25 Retour sur le match aller
C’est dans ses petits souliers que l’équipe de France s’est déplacée le 16 octobre dernier à Vincente-Calderon pour défier l’Espagne, championne du monde et double championne d’Europe en titre, lors de ces éliminatoires à la Coupe du monde 2014. Sans surprise, les Bleus ont été dominés en première période par les Espagnols qui ont ouvert le score par Ramos de la tête sur corner. Mais le penalty de Fabregas arrêté juste avant la pause par Lloris a changé le cours du match. Les Français ont fait jeu égal avec les Espagnols en seconde période avant d’être récompensés dans le temps additionnel par Giroud. Un résultat qui a ouvert de nouvelles perspectives à cette équipe de France...

Votre prono pour le match de ce soir?

Porte pas la poisse pt1 si non on est éliminés !

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rance-Espagne. Une belle occasion de porter l'estocade

Les Bleus ont l'opportunité de prendre une optionsur la qualification directe. Gare quand même à la réaction de la Roja (21 heures).



Voilà enfin le match que tout le monde attendait. Sous des contours tels que personne ne les attendait. La France aborde le duel retour, au sommet du groupe I, avec deux points d'avance, la Roja ayant trébuché contre la Finlande à Gijon (1-1), pendant qu'elle poursuivait son sans-faute face aux modestes sélections.



Balle de break



C'est rare. Dimanche, dans Téléfoot, Didier Deschamps s'est laissé aller à la conjecture. « Si on avait le bonheur de s'imposer, on aurait de grandes chances de pouvoir finir premier. » Une victoire contre l'Espagne assurerait 5 points d'avance aux Bleus, à trois journées de la fin. Ils auraient alors droit à un joker face à la Biélorussie, la Géorgie ou la Finlande. La première place, la seule directement qualificative pour le Mondial 2014, leur tendrait clairement les bras. Mais les Bleus peuvent aussi se satisfaire d'un match nul, comme à l'aller.



Yohan Cabaye l'a dit, ce serait également « un très bon résultat ». Maintenir les Espagnols à deux points, avant un automne accessible, ça ressemblerait déjà à une option. En revanche, en cas de défaite, la France perdrait la main. Del Bosque, lui, a une lecture binaire : « On peut se retrouver avec 5 points de retard, ou avec un point d'avance. »



Déclin ou réveil de la Roja



La théorie du déclin, de la fin de cycle, est tentante. Mais les Français se méfient de la réaction de l'Espagne. Les double champions d'Europe et champions du monde ont une double revanche à prendre. D'abord, sur le match aller (1-1), où ils avaient encaissé le but de l'égalisation (Giroud) à la toute dernière seconde. Ensuite sur, dixit Deschamps, « l'impensable » match nul concédé vendredi face aux Finlandais.



« L'animal blessé, orgueilleux », évoqué par Bixente Lizarazu est toujours dangereux. Le Barça l'a démontré en Ligue des Champions en étrillant le Milan AC au retour en 8e de finale (4-0 après une défaite 2-0 à l'aller). Au dernier Euro aussi, des doutes avaient été émis sur l'équipe de Del Bosque. Après l'avoir tenue en échec en match de poule (1-1), l'Italie avait des raisons d'y croire en finale. La réponse (4-0) avait été cinglante.



Une donne tactique inchangée



Si la donne a changé au plan comptable, dans ce groupe I, le paysage tactique reste le même. Où qu'elle aille, l'Espagne affiche le même plan et la même ambition. Didier Deschamps le résume ainsi : « Avoir le monopole du ballon, et gagner le match. » Cela ne devrait pas changer, en dépit des absences et, peut-être, d'une confiance égratignée. Sans jouer le « tous derrière », la boutade lancée par DD vendredi, la France va devoir attendre les bons moments pour sortir. En jouant de sa supériorité physique, la seule qu'elle s'autorise à revendiquer, et qui avait pesé lourd en fin de match à Vicente Calderon en octobre (« on leur avait fait mal », reconnaît DD). En se méfiant d'elle-même autant que de la Roja.



« Si la Finlande peut faire match nul en Espagne, nous, on peut certainement la battre en France », a osé Arsène Wenger, par un raccourci qui lui ressemble peu. La Finlande n'avait d'autre choix que de bétonner. Les Bleus ont plus d'arguments. C'est à la fois une chance, et un danger.

Les équipes :



France : Lloris, Jallet, Varane, Koscielny, Evra, Cabaye, Pogba, Matuidi, Valbuena, Ribéry, Benzema.



Espagne : Valdes, Arbeloa, Piqué, Sergio Ramos, Monreal, Xavi, Busquets, Xabi Alonso, Pedro, Iniesta, David Villa (ou Fabregas).
Ouest-France

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Mavuba : "J’ai des fourmis dans les jambes"

Invité sur RMC, Rio Mavuba, actuellement blessé aurait beaucoup aimé jouer face à l'Espagne mardi soir au stade de France. "C’est rageant car ce sont des gros matchs. L’adrénaline va monter jusqu’à ce soir. J’ai des fourmis dans les jambes. Il faudra être discipliné, les Espagnols ont une grosse possession de balle. Si les mecs dans les couloirs ne défendent pas, on peut souffrir. L’état d’esprit est bon et tout le monde le fera. La motivation vient naturellement, tu es transcendé. On ne verra aucun joueur pas motivé", a déclaré le milieu lillois sur RMC.

On joue dans 1h30 allez les Bleussssssssssssssssssssssss

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France: Une charnière Varane-Koscielny contre l'Espagne

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C'est officiel ! Didier Deschamps a communiqué son onze de départ pour le choc face à l'Espagne ce mardi soir au Stade de France dans le cadre des éliminatoires de la Coupe du monde 2014. Pressenti en défense, Mamadou Sakho prend place sur le banc au profit de Laurent Koscielny. Le stoppeur d'Arsenal sera associé en charnière au jeune Raphaël Varane, conforté après son premier match face à la Géorgie vendredi. Paul Pogba est aussi titulaire alors que Karim Benzema sera bien en pointe du 4-3-3 des Bleus. Le onze français: Lloris - Jallet, Varane, Koscielny, Evra - Pogba, Matuidi, Cabaye - Valbuena, Ribéry, Benzema

Dans 30 minutes sur tf1 coup d'envoi de France-Espagne allez les Bleussssssssssssssssssss