[Football] Equipe de France (1)

Rappel du premier message :

Venez parlez ici des matchs de l'équipe de France.....




Allez la France








Higuain possede la double nationalité,Domenech l'avait appelé en 2006 mais il avait refusé car il veut porter le maillot de l'Argentine mais Maradonna l'a toujour pas retenu donc il rouvre la porte aux bleus!
Qu'en pensez-vous?Faut-il lui accorder une seconde chance ou le laisser tomber?

changement Italie : Diamanati a remplacé El Shaarawy.

Bel arrêt de Lloris

Changement pour la France : Gonalons remplace Capoue.

La frappe cadrée de Menez arrêté par le gardien Italien!

La barre transversale de Menez !

allez les Bleussssssssssssssssssssssss

Trémoulinas va rentrer pour sa 1ère sélection avec la France

la barre transversale de l'Italie

Evra, touché par Chiellini, reste à terre dans sa surface.

Changement pour la France : Trémoulinas remplace Sissoko.

VICTOIREEEEEEEEEEEEEEEE DE L EQUIPE DE FRANCE FACE A L ITALIE 2-1 BUTS VALBUENA ET GOMISSS YESSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSS BIEN JOUER LA FRANCE

C'est terminé à Parme ! La France s'impose 1-2 face à l'Italie et termine son année civile 2012 sur une très bonne note.

Prochain match en Février contre l'Allemagne

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Amical: La France s'impose en Italie !

Un mois après avoir réussi à tenir l'Espagne championne d'Europe à Madrid (1-1) dans le cadre des éliminatoires de la Coupe du monde 2014, l'équipe de France a réussi une nouvelle performance de choix en allant s'imposer 2-1 ce mercredi soir à Parme en match amical face à l'Italie, vice-championne d'Europe. Les Transalpins avaient pourtant ouvert le score par El-Shaawary (35e), mais les Bleus sont vite revenus dans la partie grâce à un exploit personnel de Valbuena, auteur de son troisième but en sélection d'une frappe dans la lucarne de Sirigu (37e). En deuxième mi-temps, Gomis, tout juste entré en jeu, a inscrit le but de la victoire française, en reprenant un centre-tir d'Evra, servi par Ménez (67e). Prochain rendez-vous pour les hommes de Didier Deschamps le 6 février au Stade de France face à un autre "cador" européen, l'Allemagne.

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France-Deschamps: "Un bon résultat"

Vainqueurs de l'Italie mercredi à Parme (2-1), les Bleus de Didier Deschamps ont confirmé le résultat en Espagne un mois plus tôt, un résultat qui a bien évidemment comblé le sélectionneur, interrogé sur TF1: "On a rencontré le vice-champion d’Europe, certes il nous a malmenés, mais on aurait pu leur faire mal avec un troisième but. C’est un bon résultat face à un adversaire de qualité même s’il a des absences. En ayant perdu face au Japon (0-1, en octobre, ndlr), on a perdu cinq places au classement (Fifa), j’espère qu’on va en gagner autant avec cette victoire ! Je vais les féliciter, c’est dans la continuité, il faudra qu’ils se reposent bien et reviennent en février avec les mêmes dispositions."

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France-Valbuena: "Un des plus beaux buts de ma carrière"

Auteur du but de l'égalisation lors de la victoire de l'équipe de France face à l'Italie, mercredi, Mathieu Valbuena a exprimé toute sa satisfaction, après la rencontre. "Tout s'est bien passé. On voulait rester sur la dynamique de notre match en Espagne. Ça ne servait à rien de faire quelque chose là-bas, où on a vraiment vu une équipe naître, et retomber dans nos travers en Italie. Au final, on est dans la lignée de ce qu'on a produit au dernier match. On a montré un super état d'esprit. Tout le monde tire dans le même sens. C'est super important, explique le milieu de terrain marseillais, omniprésent dans le jeu, et surtout buteur. Sur mon but, j'étais dans une situation que j'affectionne beaucoup. Je me retrouve face à Verratti, je le dribble sur le côté, je rentre intérieur parce qu'il y a un autre joueur, il y a de l'espace, j'enveloppe ma frappe côté opposé. Il y a de la réussite, mais c'est ce que je voulais faire. C'est sans doute l'un des plus beaux buts de ma carrière, l'un des plus émouvants aussi. C'est en sélection, contre l'Italie, à un poste auquel j'évoluais pour la première fois en équipe de France, et puis derrière, il y a la victoire. C'est une très bonne soirée."

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France-Evra: "Une belle soirée"

Acteur de la victoire de l’équipe de France à Parme, mercredi, face à l’Italie (1-2), Patrice Evra estime que les Bleus sont sur la bonne voie. "Nous sommes très contents, c'est une grande fierté. Je pense que les gens ont été fiers de nous en Espagne, et là on récidive en Italie. Quand vous jouez contre cette équipe, vous avez toujours envie de gagner. C’est magnifique, a ainsi lâché le latéral gauche, après la rencontre. Maintenant, l’objectif, c’est la qualification pour la Coupe du monde donc on ne va pas s'enflammer. C'était une belle soirée en Italie, ça fait du bien au moral et c'est encourageant."

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France-Giroud: "La confiance nous gagne"

Les sourires étaient de sortie, mercredi soir, après la victoire de l’équipe de France face à l’Italie, en match amical. "On enchaîne. Après avoir fait une belle prestation en Espagne (1-1) contre le champion d’Europe, mercredi soir c’était le vice-champion, un gros morceau, qui plus est chez lui, sourit ainsi Olivier Giroud. La victoire est au rendez-vous, c’est très bien d’avoir confirmé les belles choses qu’on a faites en Espagne et toujours très bien de gagner ces matches amicaux. La confiance nous gagne et la notion de groupe est bien présente. Après, ce n’est jamais que deux matches, mais il faut s’appuyer là-dessus. On a fait quelque chose de très bien. Il faut se féliciter et en profiter. Maintenant, on va s’attaquer à l’Allemagne, qui est un autre gros morceau."

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FFF-Petit: "Candidat dans 4 ans"

A la tête du comité de soutien d’Eric Thomas, le président de l’AFFA (Association française de football amateur) qui a officialisé ce jeudi matin à Paris sa candidature à la présidence de la FFF, Emmanuel Petit a également déclaré son engagement futur. "Je serai candidat dans 4 ans", a confié le champion du monde 1998. L’ex-milieu de Monaco et d’Arsenal a bien conscience qu’accéder à la présidence de la Fédération française de football sera un combat difficile: "Je sais que je m’expose à beaucoup de critiques mais j’ai prouvé en 20 ans que j'avais une carapace solide, que je pouvais encaisser les chocs."

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Zidane encense les Bleus et Ibrahimovic

A Marseille ce jeudi pour inaugurer une boutique de son équipementier, Zinédine Zidane a évoqué la victoire des Bleus face à l'Italie à Parme la veille (2-1): "Ils ont fait ce qu'il fallait faire, ce n'est pas facile de gagner en Italie, je sais ce que c'est puisque j'ai eu des confrontations avec les Italiens. Après le nul en Espagne, ils ont confirmé qu'ils étaient sur la bonne route, c'est une équipe qui se met en place petit à petit." Invité à commenter le quadruplé de Zlatan Ibrahimovic face à l'Angleterre (victoire 4-2) et notamment le dernier, d'un somptueux retourné, "Zizou" a apprécié: "C'est un joueur extraordinaire, marquer quatre buts, ça ne m'est jamais arrivé, ses buts sont magnifiques, surtout le retourné. Mais celui de Valbuena (contre l'Italie, ndlr) est magnifique aussi." Par M.L., à Marseille.

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France: Une tournée au Brésil en juin

Selon les informations du quotidien L’Equipe, l’équipe de France effectuera une tournée au Brésil, du 1er au 10 juin 2013. Un an avant la Coupe du monde, les Bleus affronteront l’Angleterre, le 5 juin à Rio de Janeiro, et le Brésil, le 9 juin, à Belo-Horizonte.

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Domenech donne sa version

L'ancien sélectionneur des Bleus revient sur les évènements de Knysna. L'ancien sélectionneur des Bleus revient sur les évènements de Knysna. (Reuters)


Un peu plus de deux ans après Knysna, Raymond Domenech livre enfin sa version des faits. Dans le cadre de la promotion pour la sortie de son livre "Tout Seul" à paraître le 21 novembre prochain aux éditions Flammarion, l'ancien sélectionneur des Bleus, interrogé par nos confrères de Ouest-France, évoque sans détour les cas Ribéry, Gourcuff et bien sûr Anelka.

Paradoxalement, il se faisait plus discret depuis quelques mois dans les médias malgré un poste de consultant sur Ma Chaîne Sport. Mais, ce lundi, Raymond Domenech, l'ancien sélectionneur de l'équipe de France de 2004 à 2010, est revenu sur le devant de la scène avec son livre "Tout Seul" à paraitre le 21 novembre prochain aux éditions Flammarion. Et, celui qui avait préféré le silence après l'épisode douloureux de Knysna à la Coupe du monde 2010 en Afrique du Sud décrypte à sa façon les différents événements qui se sont déroulés pendant son mandat.

Finaliste de la Coupe du monde 2006 avant de perdre pied à l'Euro 2008 et de s'enterrer avec ses ouailles sur le continent africain, l'ancien défenseur rugueux de l'Olympique Lyonnais fait d'abord son auto-critique avant de s'en prendre à certains joueurs ou membres de l'encadrement de la FFF. Devant notre confrère de Ouest-France qui l'a interrogé avant la sortie de son livre, lequel s'appuie sur des notes qu'il écrivait à l'époque pendant laquelle il était encore en poste, il avoue d'abord "ne pas savoir renoncer". "Je ne sais pas faire" poursuit-il pour expliquer la raison de sa prolongation au lendemain d'une finale de Coupe du monde perdue contre l'Italie. "J’ai toujours su que j’avais tout à gagner en quittant mon poste et tout à perdre en continuant. [...] Je me suis régulièrement posé la question du départ en 2006 et 2010, mais à chaque fois que je me sentais vaciller, un signe d’espoir me tirait de mes doutes et me ramenait au combat".
"Ribéry, des attitudes de diva susceptible"

Malheureusement pour lui, la suite n'aura pas été de tout repos avec, d'abord, un Euro 2008 raté dans un groupe de la mort qui comprenait les Pays-Bas, l'Italie et la Roumanie. Puis viendra le point final de son aventure de sélectionneur, deux ans plus tard, sur le terrain d'entraînement du Field of dreams de Knysna. Et l'amateur de poker n'est pas tendre avec ses anciens protégés qu'il qualifie de "gosses inconscients". "Le suicide collectif de l'équipe de France", toujours selon ses propres termes, débuta à la mi-temps d'un France-Mexique de sinistre mémoire avec la fameuse altercation entre Nicolas Anelka et lui. Une information relayée en Une par L'Equipe le surlendemain et qui avait beaucoup fait jaser 9 000 km plus au Nord, en France. "J’ai ressenti le choc de cette une et de cette histoire avec une violence inouïe. Mais j’ai vite compris que les joueurs étaient moins affectés par le scandale que par sa révélation. Au sein du groupe, une interrogation tournait en boucle : qui était la taupe ?", indique-t-il, avant de revenir précisément sur l'altercation avec l'actuel joueur du Shanghai Shenhua dans le vestiaire. "Enc…, t’as qu’à la faire tout seul, ton équipe de merde ! J’arrête, moi", a ainsi lancé l'international tricolore à son technicien. "La fin de la phrase m’a échappé dans le brouhaha. Bizarrement, j’ai été moins choqué par l’insulte que par le tutoiement, qui cassait une barrière, celle des fonctions, des âges, de la hiérarchie", continue-t-il, avant de conclure : "Au terme de ce naufrage, une image m’a réveillé un peu : Gallas et Anelka en train de rigoler, juste après le match. Quelle inconscience ; ils semblaient heureux de la défaite".

Si William Gallas et, bien sûr, Nicolas Anelka sont dans son viseur, ces deux anciens éléments du groupe France ne sont pas les seuls à être égratignés dans ce recueil de notes. Outre la confirmation d'une jalousie de la part de Franck Ribéry, "aux attitudes de diva susceptible", à l'encontre d'un Yoann Gourcuff à qui il avait "envie de mettre des gifles avec son air de garçon candide, de pauvre petit malheureux à qui on veut du mal", le Lyonnais de 60 ans se paie aussi Karim Benzema, "qui a la morgue d'un grand joueur sans en être un", et Samir Nasri, qui "symbolise cette dérive des joueurs ne pensant qu'à leur gueule. [...] Dans sa position de meneur de jeu, il fait seulement illusion." Quant à Jean-Pierre Escalettes, le président de la Fédération française de football en 2010, "j'ai compris qu'il me soutenait comme une corde le pendu" se justifie-t-il après avoir appris que Laurent Blanc était dans le viseur pour lui succéder. Un successeur qui aura fait à peine mieux en 2012 avec un Euro terminé au stade des quarts de finale contre l'Espagne. Une sortie de route qui fait dire à Raymond Domenech: "Cet Euro m’a en effet permis de réaliser que le football français était capable de rencontrer des problèmes… sans moi !" La boucle est assurément bouclée...

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France: Les précisions du staff sur Cabaye

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Retenu en équipe de France pour le dernier déplacement des Bleus en Italie le 14 novembre, Yohan Cabaye est rentré blessé à Newcastle United, ce qui n'a pas été du goût des Magpies. Mais Didier Deschamps, par la voix de la FFF, a tenu à apporter quelques précisions au sujet de cette affaire. "Suite à une communication laissant entendre que Yohan Cabaye s'est blessé à l'entraînement avec l'équipe de France lors du stage précédant Italie-France (1-2), ce qui pourrait entraîner une indisponibilité de plusieurs semaines, le staff de la sélection nationale tient à préciser: que le joueur de Newcastle est arrivé blessé au rassemblement de Clairefontaine, qu'il ne s'est pas entraîné une seule fois avec les Bleus, qu'il n'a évidemment pas disputé la moindre minute d'Italie-France qu'il a suivi du banc de touche, sans être en tenue de match", explique un communiqué de la Fédération.

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EdF-Deschamps: "M’Vila ? J’en prends acte"

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Interrogé ce mercredi sur la sévérité ou pas de la sanction de Yann M’Vila, interdit de sélection nationale jusqu’en juin 2014, Didier Deschamps est resté neutre. "Je suis dans mon rôle de sélectionneur, je n’ai pas à entrer dans ce débat. Le joueur a été sanctionné, il a fait appel, j’en prends acte", a réagi le sélectionneur de l’équipe de France sur France 24.

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FFF-Deschamps: "Content pour Le Graët"

Sélectionneur des Bleus, Didier Deschamps s'est montré ravi de la réélection ce samedi de Noël Le Graët à la tête de la Fédération française de football (FFF). "Je suis content pour lui, a fait savoir le technicien français sur le site Internet de la "3F". C'est mon président depuis ma prise de fonction. J'apprécie la relation de confiance qu'on a, c'est important dans mon métier de sélectionneur. On va faire en sorte de répondre aux attentes. J'ai beaucoup de respect pour la hiérarchie. J'étais son choix cet été, et nos résultats sont importants pour lui comme pour tout le monde. Le binôme sélectionneur-président, c'est quelque chose d'important."