[Football] Le Foot Féminin

Rappel du premier message :

La france s'est imposée face au Nigéria 1 but à 0 en match d'ouverture, un but de Delie, une victoire importante en vue de la deuxième place car la première est destinée à l'Allemagne. Perso je les vois en demi, ce serait super. Allez les Bleues!!!

et 5-0 pour l'Olympique Lyonnaise face à Juvisy

allez l'OLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLL

et 6-0

les buteuses du match

6'Megan Rapinoe19'Charlotta Schelin51'Charlotta Schelin63'Camille Abily71'Laëtitia Tonazzi78'Laëtitia Tonazzi

pénalty raté pour Juvisy

barre transversale de l'ol

allez le 7-0

allez les filles

carton rouge pour Juvisy

but refusé à Juvisy et l'ol pour 2 hors jeu

1-6

Juvisy 1-6 Olympique Lyonnaise match terminé

Citation :

igue des champions: L'OL écrase Juvisy (1-6) et se qualifie pour la finale

Les Lyonnaises, doubles tenantes du titre, se sont qualifiées pour leur quatrième finale de Ligue des champions consécutive. Après avoir corrigé Juvisy à l'aller (3-0), l'OL a dévoré les Franciliennes au retour (1-6).

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LdC (D): Lyon coule Juvisy

Déjà victorieuse 3-0 de Juvisy en demi-finale aller de la Ligue des champions, les filles de l'Olympique Lyonnais n'ont laissé aucune chance aux joueuses de l'Essonne dimanche lors du match retour disputé au stade Robert-Bobin devant 10 000 spectateurs environ. Les Rhodaniennes l'ont emporté sur le score de 6-1, grâce à des réalisations de Rapinoe (5e), Schelin (18e et 50e), Abily (63e) et Tonazzi (71e et 78e). Diaby (83e) a sauvé l'honneur pour Juvisy. Sonia Bompastor et ses coéquipières vont tenter de décrocher un troisième succès consécutif dans cette compétition face à Wolfsburg, tombeur d'Arsenal (4-1 sur l'ensemble des deux matches), le 23 mai prochain à Stamford Bridge.

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Journée de détection à Cormelles

L'ES Cormelles organise une journée de détection ouverte aux jeunes filles de 15 à 19 ans, vendredi 26 avril. Le club de l'agglomération caennaise a la volonté de renforcer son équipe U19, pensionnaire du niveau national, en vue de la saison prochaine. La journée, qui se déroulera de 9h30 à 17h, sera constituée de deux entraînements et d'une présentation de la structure cormelloise.


Si la Basse-Normandie affiche deux représentants séniors en Deuxième Division féminine de football, Cormelles est le seul club régional à disposer d'une équipe U19 au niveau national. Opposées à des adversaires tels que le Paris-Saint-Germain, Juvisy, Hénin-Beaumont ou Guingamp, les jeunes bas-normandes sont en grande difficulté cette saison. Treize de leurs seize rencontres se sont soldées par une défaite, parfois lourde à l'image de celle concédée dimanche dernier contre le troisième du classement Hénin (0-9). Cormelles a gagné un seul match et ne peut rivaliser qu'avec Rouen dans le bas du classement. Battues cinq fois d'un but, notamment contre le leader manceau, les Cormelloises sont pourtant « dans les clous » à en croire leur président et ancien entraîneur Olivier Cahoreau. « Si on arrive à étoffer ce groupe, on a les moyens de bien figurer l'année prochaine. On a de grandes chances d'être renouvelé au niveau national parce que le club est solide*. Par contre, il faut qu'on recrute huit ou neuf joueuses. »


C'est dans cette optique que Cormelles organise une journée de détection vendredi prochain, 26 avril. « Le but est de constituer un pré-groupe pour les U19 nationale, expose Olivier Cahoreau. Notre effectif actuel est tellement léger qu'il nous met en grande difficulté. » L'ESC, qui souhaite collaborer avec les clubs voisins, proposera des tests techniques le matin et du jeu l'après-midi. Elle fera également visiter ses installations aux jeunes filles comme à leurs parents.

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OL : Les Lyonnaises remportent le choc des invincibles


Il y avait un choc, un vrai, ce samedi après-midi en quarts de finale de la Coupe de France féminine. Les joueuses de l’OL, invaincues cette saison, se déplaçaient sur la pelouse d’Hénin-Beaumont, invaincu cette saison… en deuxième division. L’une des deux équipes allait donc connaître le goût amer de la défaite pour la première fois cette année. Et sans trop de surprise, ce sont les Nordistes qui se sont inclinées lourdement (6-0) sur des buts d’Amandine Henry, Laëticia Tonazzi, Laura Agard, Lotta Schelin, Eugénie Le Sommer et Lara Dickenmann.

Les joueuses de Patrice Lair sont toujours en course pour un triplé championnat-Coupe-Ligue des Champions…

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Coupe de France féminine : OL-Montpellier et ASSE-PSG en demies

Les Lyonnaises affronteront Montpellier en demi-finale de la Coupe de France féminine. Un remake de la finale 2012. L’autre affiche mettra aux prises Saint-Etienne et le PSG.

LE PROGRAMME DES DEMI-FINALES :

AS Saint-Etienne (D1) – Paris Saint-Germain FC (D1), le dimanche 12 mai à 15h

Montpellier HSC (D1) – Olympique Lyonnais (D1), le dimanche 12 mai à 15h

La finale se jouera sur la pelouse du Stade Gabriel Montpied de Clermont-Ferrand, le samedi 8 juin à 20h55.

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Coupe de France féminine - Demi-finale : Lyon retrouve Montpellier
Publié le 29/04/2013 à 14:46, mis à jour le 29/04/2013 à 14:47
L'équipe féminine de Lyon, tenante du titre, affrontera en demi-finale de la Coupe de France Montpellier, le 12 mai, soit le remake de la finale de la saison passée, selon le programme diffusé lundi par la Fédération française de football (FFF).

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Daniel Dufour : « Jouer un rôle intéressant en Ligue féminine »

Daniel Dufour avait prévenu d'entrée de jeu : « le but est de confirmer certaines choses et de rassurer vos lecteurs sur l'avenir de l'USO Mondeville ». La conférence de presse menée conjointement par le président et son entraîneur Romain L'Hermitte est allée dans le sens annoncé, ce matin. Face aux doutes suscités par le départ du principal partenaire financier du club et ses multiples conséquences, Mondeville adopte une posture résolument positive.


« L'USO Mondeville est un club en parfaite santé, aussi bien sur le plan financier que dans ses structures, même si elles sont renouvelées pour beaucoup. » L'USOM, son équipe de Ligue féminine, son centre de formation au sommet de la hiérarchie française, ses 25 équipes en compétitions et ses 18 salariés, « se porte très bien », d'après Daniel Dufour. Le président mondevillais reconnaît toutefois que de « petites turbulences » ont agité la fin de saison. Le retrait de Thierry Godfroy, ancien sponsor majeur de l'USOM, en a été à l'origine. « Nous avons eu des divergences de vue sur l'avenir du club », expose Daniel Dufour. Il semblerait que ce dernier ait également peu apprécié la place grandissante que prenait son partenaire dans les décisions et la vie du club.


Cette rupture prive Mondeville d'un apport extrêmement conséquent puisque Thierry Godfroy contribuait pour 400 000 euros au budget local. « Notre budget passe de 1,7 million d'euros à 1,3. C'est une baisse sensible qui se manifeste surtout sur la masse salariale. » Le président mondevillais ne cache pas que plusieurs départs sont directement liés à cette diminution. Hervé Coudray, KB Sharp, Giedre Paugaite, Mima Coulibaly et Noel Kuin figurent dans cette catégorie. « Ingrid Tanqueray, Laetitia Kamba et Didier Godefroy sont partis de leur propre fait, précise-t-il. Nous n'avons pas souhaité garder Aminata Konaté et Marie-Bernadette M'Buyamba. » Mondeville a néanmoins chercher à retenir KB Sharp après le revirement d'Ingrid Tanqueray, mais la Franco-Américaine s'était déjà engagée ailleurs. Elle nous a confié qu'elle serait restée dans le cas inverse.


Ambitions maintenues


Un budget en berne, des recrues peu connues, un effectif restreint et un entraîneur inexpérimenté : Mondeville n'affichera pas beaucoup de garanties au moment d'attaquer la saison 2013-2014. Aucune inquiétude ne transparaît pourtant du discours de son président. « Les ambitions ne seront pas du tout revues à la baisse. On a recruté une équipe qui sera complémentaire et performante. Je n'ai pas fixé d'objectif à l'entraîneur car il faudra faire un amalgame, mais il est tout à fait possible de faire mieux que cette année. On a l'effectif pour jouer un rôle intéressant en Ligue féminine. » Touty Gandega, que le club espère voir à son meilleur niveau dès novembre ou décembre, Kadidia Minté et Amanda Lassiter sont les seules rescapées de la saison dernière. Marine Johannes, Pauline Bétis et Lysa Millavet feront bien plus que compléter le banc puisqu'elles sont appelées à avoir un vrai rôle la saison prochaine.


Le nom des quatre arrivantes a été officiellement confirmé. La raquette sera bien occupée par Sandra Dijon, Oumou Touré et Courtney Hurt, tandis que Julie Vanloo se chargera de la mène. Des paris ? « Tout le monde me dit ça, commente Romain L'Hermitte. Sandra Dijon n'est pas un pari. On connaît son expérience et son niveau de jeu. Oumou Touré était la meilleure joueuse de Ligue 2 la saison dernière, meilleure marqueuse (18,5 points) et meilleure rebondeuse (11,9). Courtney Hurt a terminé meilleure scoreuse en Israël. Julie Vanloo a certes 20 ans, mais elle est arrivée au haut niveau à 16 ans. Je l'ai vue jouer en sélection, elle crevait l'écran par son talent. Cette équipe a de la gueule. C'est peut-être un petit pari, mais je suis très confiant. Il faut avant tout créer un vrai groupe solidaire. » Mondeville espère voir plus de fraîcheur et d'enthousiasme dans son jeu. Son président se réjouit du mélange d'expérience et de jeunesse qui découle du recrutement réalisé.


Mondeville compte sur ses jeunes


Construire une équipe compétitive sans se mettre dans le rouge financièrement : tel était l'objectif des dirigeants mondevillais. « On a été extrêmement prudent », souligne Daniel Dufour, qui rappelle néanmoins la réussite obtenue avec Hervé Coudray à l'arrivée de celui-ci. Caroline Koechlin (future Aubert), Aurélie Bonnan et Krissy Badé l'accompagnaient alors. Des inconnues ou presque. Le président de l'USO Mondeville « fai[t] confiance à la jeunesse et au talent » en regardant ouvertement vers le centre de formation. Marine Johannes, Pauline Bétis (« une des 2-3 meilleures meneuses de Nationale 1 ») et Lysa Millavet intègrent l'effectif à part entière. « Nous n'aurons que sept professionnelles, mais nous avons le meilleur centre de formation en France, précise Romain L'Hermitte. C'est plus facile pour nous que pour d'autres clubs de palier une blessure avec une de ces joueuses. » Qui sera à la tête de ce centre de formation, puisque Didier Godefroy le quitte après six années riches en victoires ? Bien qu'aucun nom n'ait circulé en conférence de presse, Fabrice Calmon est le mieux placé pour prendre la suite. L'actuel entraîneur du Caen Basket Calvados doit donner sa réponse dans la journée.


En bref...

Capitaine. Sandra Dijon sera capitaine de l'USO Mondeville la saison prochaine. Romain L'Hermitte a longuement discuté avec elle la semaine dernière. « Elle a toujours eu un comportement exemplaire partout où elle est passée. » (D.Dufour)

Postes. La meneuse numéro 2 sera Pauline Bétis. Marine Johannes évoluera au poste d'arrière. « C'est là où elle sera beaucoup plus compétitive, mais j'espère la faire évoluer sur le poste 1 », indique Romain L'Hermitte.

Coupe d'Europe. Paradoxalement, Mondeville peut espérer disputer l'Eurocup, la « petite » coupe d'Europe. Non pas grâce à son classement (onzième), mais en raison des difficultés financières de certains clubs. En cas d'invitation, l'USOM ne la refuserait pas. Réponse au plus tard fin-juin.

Amicaux. Toutes les dates ne sont pas encore fixées, mais Mondeville connaît en grande partie son programme de préparation. Il affrontera Villeneuve et Nantes en matchs aller-retour et participera au tournoi d'Amboise ainsi qu'à l'Open de Basse-Normandie. Au moins une autre rencontre est à prévoir.

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Fabrice Calmon : « Un choix de raison »

C'est à la tête d'une équipe de cadettes que Fabrice Calmon a commencé sa carrière d'entraîneur, à 18 ans à peine. Un quart de siècle plus tard, celui qui fut coach du Caen Basket Calvados pendant cinq ans s'apprête à retrouver de jeunes basketteuses. Il a été choisi pour succéder à Didier Godefroy à la tête du centre de formation de l'USO Mondeville. « C'est un choix de raison, mais c'est également un choix qui m'excite », assure-t-il.


Fabrice, comment êtes-vous devenu le nouvel entraîneur du centre de formation de Mondeville ? Y pensiez-vous depuis longtemps ?

Est-ce que j'y pensais depuis longtemps ? Oui et non. Quand on arrive dans une région, on regarde ce qui s'y passe. Quand on arrive à Caen, on connaît le CBC et l'USO Mondeville, forcément. J'ai été contacté par Mondeville il y a dix-quinze jours. Le discours du président m'a vraiment plu, à plus d'un titre. Mondeville, c'est le Cholet du basket féminin. C'est le centre de formation qui a les meilleurs résultats depuis quelques années. C'est une place forte du basket féminin et il y a une vraie volonté de formation. On l'a vu cette saison, avec les divergences ayant entraîné quelques départs. J'ai vite compris que c'était un club professionnel. C'est carré. On sait où on va et comment on y va. Ça me plaît.


Vous passez de la Nationale 2 masculine à un centre de formation féminin. A priori, ça n'a rien à voir...

Effectivement, ce n'est pas du tout la même chose. Ce n'est pas le même public. Les filles ne se gèrent pas comme les garçons. Après, il y a une grande trame commune qu'est le jeu, le basket. Je voulais retrouver un poste d'entraîneur professionnel. L'opportunité s'est présentée, qui plus est dans une région dans laquelle j'avais envie de rester. L'idée transmise par le président de former un staff avec Romain L'Hermitte, que je découvre, et Loïc Asseline, que je connais bien, m'a plu. Les structures qui m'intéressent sont celles qui travaillent en équipe.

Ça peut paraître surprenant de faire ce choix dans le sens où j'étais au CBC depuis cinq ans et que le club est redevenu attractif, si on en croit l'investissement de Nicolas Batum et l'arrivée de potentiels partenaires financiers. Mais je ne pouvais pas occulter la proposition de Mondeville. J'ai prévenu mes dirigeants du CBC tout de suite. Malheureusement pour eux, ils étaient dans l'incapacité de me faire une proposition. Il y a des choix de coeur et il y a des choix de raison. J'ai fait des choix de coeur un paquet de fois. Là, j'ai envie de dire que c'est un choix de raison, mais c'est également un choix qui m'excite. Je suis très impatient de découvrir mes joueuses, tous les gens qui composent le club et de commencer à y travailler. Je le sens vraiment bien.


À quoi faites-vous référence quand vous parlez du discours du président ? À la notion d'équipe qu'il a mise en avant ?

Il y a ça, mais il y a aussi la réactivité dont le président à fait preuve. Je l'ai rencontré à 11 heures. À 17h53, mon agent avait une proposition de contrat. Ça résume la situation. Ça me plaît parce que c'est réactif, cohérent, honnête.


Comment peut s'établir une collaboration proche entre vous et le staff de l'équipe professionnelle ?

Quand j'ai rencontré le président, Romain L'Hermitte était présent. Il m'a dit : « pour le travail individuel, je suis à ta disposition ». Je pense qu'il n'y a pas énormément de coachs professionnels capables de tenir ce genre de propos à un entraîneur de centre de formation. Ça donne le ton. La collaboration sera réciproque. Romain et Loïc s'investissent dans la formation. Ils comptent aussi que je m'investisse dans l'équipe professionnelle. Comment cela se fera concrètement ? C'est un peu tôt pour le savoir. Mais le principe me va bien.


Une aventure « exceptionnelle » au CBC


Votre profil est complètement différent de celui de votre prédécesseur, mais les attentes seront les mêmes...

Je suis conscient de la tâche. Didier Godefroy laissera une trace à l'USO Mondeville parce qu'il a gagné beaucoup de titres et parce que c'est quelqu'un de très humain, attentif et compétent. Les joueuses resteront à jamais marquées par lui. Il y aura des attentes, j'aurai des comptes à rendre, mais je ne conçois pas ce métier sans ça. Je fais ce métier parce qu'il y a des objectifs, des moments de forte émotion, des hauts et des bas. C'est un métier qui vit. Je sais ce qu'on attend de moi, à savoir gagner des titres et former des joueuses pour jouer en Ligue féminine, ce qui est à mon sens le but ultime. C'est une tâche qui m'a plu quand j'étais à Levallois. Je n'y ai pas gagné énormément de titres (entre autres, champion de France cadets, ndlr) mais ma grosse satisfaction de mon passage là-bas est de voir que j'ai participé à la formation de joueurs qui ont eu une carrière professionnelle digne de ce nom. On a non seulement formé de bons basketteurs, mais on a aussi formé des hommes. On a éduqué. J'ai senti à Mondeville que ces valeurs étaient très importantes.


Est-ce difficile de quitter le CBC au moment où il prend un virage qui peut l'amener vers le haut niveau ?

Absolument. C'est difficile de quitter le CBC pour cela, mais encore plus pour les relations humaines que j'ai pu tisser, que ce soit avec les dirigeants, les joueurs, les supporters... C'est un club très sain, très convivial. C'est une institution en Basse-Normandie. Le CBC me laissera une trace. Ce que j'y ai fait a été passionnant, exceptionnel. Le club a réussi le virage qu'il a pris après le départ de Monsieur Gruau grâce à l'aventure humaine qui en a résulté. Éric Fleury a pris la présidence pour sauver le club. Il a eu une équipe de dirigeants restreinte mais efficace, qui a su me convaincre de continuer l'aventure malgré les problèmes. Quand je suis arrivé au CBC, j'étais entraîneur professionnel, j'entraînais huit fois par semaine, j'avais sept joueurs pros. Pour rester avec des moyens beaucoup moins importants, il a fallu que je travaille à côté, d'abord à mi-temps, ensuite à plein temps. Ça n'a pas été tous les jours faciles, mais l'objectif commun a pris le dessus.

J'ai travaillé avec un super président. J'ai une petite anecdote qui donne le ton. Éric m'avait appelé au lendemain d'une défaite très décevante. Là où neuf présidents sur dix auraient eu un discours négatif envers les joueurs ou le coach, lui me dit : « qu'est-ce qu'on pourrait faire, nous dirigeants, pour vous mettre dans les meilleures dispositions ? » C'est facile pour un entraîneur d'avoir un président qui comprend les choses et qui voit le basket de la même façon. En plus, un assistant avec qui je m'entends comme larrons en foire (Maxime Petré) est venu se greffer là-dessus.


Quel est votre calendrier à Mondeville ?

On va se rencontrer au fur et à mesure avec tous les intervenants du club. Dans un avenir très proche, je vais voir les joueuses. Je les connais de vue seulement. Je compte faire des entretiens collectifs et individuels. J'ai hâte de faire leur connaissance.

En Deuxième division féminine, Cormelles et Condé/Noireau pourront légitimement viser les quatre points, dimanche. Les Cormelloises accueilleront à 13h l'équipe de Blanquefort, positionnée un rang derrière elles au classement. Elles sont actuellement sixièmes sur douze. Condé, quatrième, recevra Poitiers, dixième (15h).

Les footballeuses de Condé n’ont pas fait dans la dentelle, dimanche face à Poitiers ! Rien de moins que six buts inscrits (6-0) contre l’avant-dernier du classement qui jouait pourtant sa survie en D2. Condé reste quatrième.



Il y a également eu six buts marqués dans la rencontre entre Blanquefort et Cormelles mais répartis différemment. Les locales ont dominé des normandes pourtant combatives (4-2). Cormelles reste néanmoins sixième.

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Football - Football féminin
Coupe de France : Une finale ASSE-OL

Les Lyonnaises se sont qualifiées dimanche pour la finale de la Coupe de France aux dépens de Montpellier (1-1, 5-6 TAB). Elles affronteront Saint-Etienne, victorieux du PSG samedi (2-0), le 8 juin prochain à Clermont en finale. Déjà championnes de France et engagées en finale de la Ligue des champions, elles restent en course pour le triplé.

Le sélectionneur Bruno Bini a communiqué lundi la liste des 18 Françaises retenues pour affronter la Finlande en match amical le samedi 1er juin au stade du Hainaut à Valenciennes (18h00), un match préparatoire à l'Euro féminin prévu du 10 au 28 juillet en Suède.

Les Bleues se réuniront auparavant le 27 mai à Clairefontaine, elles enchaîneront ensuite sur deux stages lors de la seconde quinzaine du mois de juin puis un dernier du 4 au 9 juillet, avec deux ultimes matches amicaux à la clé, face à la Norvège le 29 juin à Reims et à l'Australie le 6 juillet à Angers.

La liste: Sarah Bouhaddi (Lyon), Céline Deville (Lyon) - Laure Boulleau (PSG), Sabrina Delannoy (PSG), Corine Franco (Lyon), Laura Georges (Lyon), Jessica Houara (PSG), Ophélie Meilleroux (Montpellier), Wendie Renard (Lyon) - Camille Abily (Lyon), Elise Bussaglia (Lyon), Amandine Henry (Lyon), Louisa Nécib (Lyon), Sandrine Soubeyrand (Juvisy), Gaëtane Thiney (Juvisy) - Marie-Laure Delie (Montpellier), Eugénie Le Sommer (Lyon), Elodie Thomis (Lyon)

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Coupe de France Féminine: la rencontre entre l'OL et MHSC a rejouer

Les présidents Louis Nicollin et Jean Michel Aulas sont tombés d'accord pour rejouer la rencontre, après l'élimination du MHSC sur un but refusé.

Suite à la rencontre de coupe de France Féminine MHSC- OL disputée à Sussargues Dimanche 12 Mai, le MHSC a déposé des réserves techniques après l’épisode du tir au but refusé à Rumi Utsugi. Dans un communiqué publié ce mardi soir sur le site du club héraultais, les deux présidents Louis Nicollin et Jean Michel Aulas proposent de rejouer cette demi-finale. La FFF devra désormais se prononcer.