[Football] Coupe de la Ligue (1)

Rappel du premier message :

Les pauvres Lensois ......ce faire enfler de la sorte par ce belle arbitrage............. :choque:
Il est a peine déséquilibre je trouve que c'est une faute vraiment litigieuse M.Duhamel je pense n'aurait pas du sifler ce penalty.........
Arbitre :M.Poulat tout est dit............

ET C FAIT SAINT-ETIENNE REMPORTE LA COUPE DE LA LIGUEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEE BIEN JOUER LES VERTS

Saint-Etienne remporte la coupe de la Ligue ! Trente deux ans après, l'ASSE remporte un titre ! Les joueurs partent aux quatre coins du terrain. Rennes reste maudit, après avoir perdu il y a quatre ans la finale de la coup de France. Pour la troisième année consécutive, la finale se termine sur le même score: 1-0.

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CdL: Saint-Etienne conquiert le Stade de France

L'AS Saint-Etienne s'est adjugée la Coupe de la Ligue 2013 en dominant en finale le Stade Rennais, samedi au Stade de France. Brandao a inscrit l'unique but du match après 18 minutes du jeu en reprenant du pied gauche un centre de Pierre-Emercik Aubameyang. Une réalisation qui permet aux Verts de remporter un premier trophée depuis un titre de champion de France de Ligue 2 en 2004...

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Saint-Etienne dépoussière la vitrine


L’AS Saint-Etienne remporte la Coupe de la Ligue aux dépens de Rennes (1-0) ce samedi au Stade de France. Brandao a de nouveau été l’homme providentiel avec le seul but du match. Les Verts remportent leur premier trophée depuis 1981.

Ils y sont. L’attente, insupportable, a même donné des fourmis aux dirigeants stéphanois, qui avaient pris une semaine d’avance pour rallier Paris à vélo. Ils n’auront pas fait le déplacement pour rien. Au terme d’un match où la tension les aura pris au corps au fil des minutes, les Verts remportent finalement la Coupe de la Ligue (1-0) face à Rennes. Les Bretons, qui n’ont pas démérité, s’inclinent une nouvelle fois dans une finale nationale, 4 ans après l’échec en finale de la Coupe de France contre Guingamp.

Brandao, le talisman

Durant le premier acte, les Verts n’ont pas laissé l’espoir aux Rennais d’exister. Seul errement notable pour les hommes de Christophe Galtier, le tout début de match où leur attentisme aurait pu leur coûter d’être menés sur le coup d’envoi. Heureusement pour eux, Ruffier était lui déjà dans son match et n’a pas tremblé au moment de sortir une frappe déviée d’Erding après 30 secondes de jeu (1e). Pris à froid, les Stéphanois ont ensuite serré la vis pour dicter le jeu. La réponse n’a pas tardé avec un plat du pied de Clerc juste à côté (3e). De plus en plus conquérante, l’ASSE a marqué définitivement son territoire et pris les devants. Sur une perte de balle dans leurs 20m, les Rennais se sont fait punir sans ménagement : Cohade a lancé Aubameyang qui a déposé le cuir au second poteau sur Brandao, tout heureux de pouvoir pousser le ballon au fond malgré Costil (1-0, 17e). Le Brésilien, véritable talisman, n’a tout simplement jamais perdu un match de Coupe de la Ligue depuis qu’il est en France (13 matches au total), et marqué pour la 2e année consécutive en finale. Il aurait pu ajouter un autre but, mais son coup de tête sur un nouveau service de son compère gabonais a trouvé Costil sur sa route (28e).

Rennes et les éléments contraires

En soi, et malgré une certaine forme de révolte illustrée par des occasions de Pitroipa (41e, 55e) et une tête rageuse de Boye qui a trouvé Ruffier (72e), le Stade Rennais a vite paru sans solutions. Les hommes de Frédéric Antonetti ont en plus perdu Erding puis Danzé sur blessure avant l’heure de jeu, réduisant le champ des options au technicien corse. Plus équilibré, le second acte était tout de même globalement maitrisé par les Verts qui se sont procuré les occasions les plus nettes, avec Cohade pas assez précis (47e) et surtout Clerc, qui a vu son coup d’épaule presque gagnant sorti sur sa ligne par Pitroipa (53e). Seule une reprise magistrale de Diallo, sortie d’une horizontale par Ruffier (87e) est venue teinter de suspens les derniers instants. Ivre de bonheur, la marée verte présente dans l’enceinte dionysienne pouvait se laisser aller à un rugissement à faire rougir le Lyon. Sainté, 32 ans après, goute de nouveau à l’ivresse d’un succès national, et ajoute une ligne supplémentaire à son livre d’Histoire.

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Saint-Etienne prend sa coupe



Trente-et-un ans après son dernier titre, l’AS Saint-Etienne enrichit enfin son palmarès d’une première Coupe de la Ligue après sa victoire (1-0) en finale samedi, au Stade de France, face à Rennes. Un but de l’inévitable Brandao dès la 18e minute de jeu fait le bonheur des Verts et désole le peuple breton.

Une marée verte. 32 ans après, les Stéphanois ont enfin retrouvé les cieux hexagonaux en remportant la Coupe de la Ligue. Dans une ambiance de fête, les hommes de Christophe Galtier ont su imposer leur puissance à des Rennais d'abord timorés et dont le réveil trop tardif n'a pas été suffisamment convaincant pour inverser la tendance. De fait, les Verts méritent de l'emporter au terme d'une finale maîtrisée. A l'exception de cette énorme opportunité signée Erding après 30 secondes de jeu, les Verts ont en effet eu les cartes en mains. Leur bloc bien organisé, l'agressivité en défense, la vitesse d'Aubameyang ou la puissance de Brandao ont fait la différence.
Et si François Clerc manque le cadre d'un rien (2e), les Stéphanois vont rapidement trouver la faille. Mollo accélère, Aubameyang poursuit et sert Brandao d'un extérieur du droit parfait, le Brésilien n'a plus qu'à pousser dans le but vide (1-0, 18e). Un premier avantage relativement logique tant les Rennais semblent incapables de construire en milieu de terrain. Lemoine tente d'en rajouter une couche mais sa reprise passe au-dessus (23e). Les Rouge et Noir reculent et encaissent un nouveau coup dur avec la blessure d'Erding remplacé par Cheick Diarra (25e). Un changement qui ne modifie pas la physionomie de ce duel et suite à un nouveau centre d'Aubameyang, la tête à bout portant de Brandao est détournée par Costil (26e). Rennes tente de rectifier le tir mais Pitroipa (41e), Diallo (45e) ou encore Feret sur coup franc (45e) n'y changent rien. Ce sont même les Verts qui reprennent très fort avec une accélération de Mollo qui sert en retrait Cohade dont la reprise s'envole (46e) tandis que la tête de Perrin est détournée sur sa ligne par Pitroipa (53e).
C'est le même Pitroipa qui met fin à la léthargie rennaise d'une volée hors cadre (54e). Mais la guigne se poursuit pour les Rouge et Noir avec la blessure de leur capitaine Danzé remplacé par Apam (57e). Les efforts Rennais sont papables mais c'est la percussion stéphanoise qui fait mal et Aubameyang manque de peu le cadre (62e). Les Bretons deviennent tout de même plus consistants avec les minutes et Boye inquiète Ruffier (72e). Rennes jette ses dernières forces dans la bataille mais il manque toujours un détail dans la zone de vérité pour véritablement mettre à mal la formation stéphanoise, quand ce n'est pas Ruffier qui s'interpose pour détourner la volée de Diallo (86e). Les Verts peuvent enfin lever une Coupe de la Ligue qui va garnir pour la première fois une salle des trophées qui n'attendait que ça. Dès le coup de sifflet final, les scènes de liesse se sont multipliées avec des joueurs immédiatement partis communier avec leur bouillant public. La fête ne fait que commencer, le retour des Verts est en cours.

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Galtier (ASSE) : "La réussite d’un groupe"

C’est un Christophe Galtier euphorique, mais aussi ému, qui s’est présenté au micro de France Télévisions après la victoire de Saint-Étienne en finale de la Coupe de la Ligue face à Rennes (1-0).

" C’est la victoire de l’équipe, du groupe, de mon staff technique, du staff médical. C’est tout cet ensemble qui a gagné. J’ai une grosse pensée pour les Rennais. Aujourd’hui, c’est l’anniversaire de ma maman, c’est son plus beau cadeau d’anniversaire ! Brandao ? C’est un homme de coupe, une locomotive. Je voudrais associer trois joueurs à cette victoire : Alejandro Alonso, qui a pris sa retraite chez nous, Max-Alain Gradel et Jérémy Clément, qui ont eux aussi fait partie de l’aventure ".

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ASSE-Galtier: "La réussite de tout un ensemble"



Samedi soir, l'AS Saint-Etienne a remporté la Coupe de la Ligue face au Stade Rennais (1-0), pour le plus grand bonheur de son entraîneur, Christophe Galtier. "C’est l’équipe, le groupe, le staff technique et médical. C’est la réussite de tout cet ensemble. C’est la première fois que l’on venait au Stade de France et on s’impose, a déclaré l'entraîneur des Verts sur France Télévision après le coup de sifflet final. La fin de saison aurait pu être compliquée, on est toujours en course en championnat, mais si on a eu les jambes ce soir c’est parce que l’on a bien géré le match de Lorient. Je voudrais enfin associer trois hommes à cette victoire: Alonso, Gradel et Clément".

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ASSE-SRFC (1-0) – Perrin : "On l’a fait !"


Formé au club, habitué aux saisons galère, le capitaine de Saint-Étienne Loïc Perrin a sans doute davantage encore apprécié le succès de son équipe en Coupe de la Ligue que ses coéquipiers. "On l’a fait, on est vraiment heureux, a lancé le stoppeur au micro de France Télévisions. Mais le plus important, c’est de pouvoir partager cela avec tous les supporters qui se sont déplacés. On ajoute notre petite ligne sur le palmarès du club."

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Les notes: Aubameyang, l'altruiste



A l’image d’une ASSE solide et solidaire, Pierre-Emerick Aubameyang a joué une partition sans fausse note ce samedi au Stade de France, lors de la finale de la Coupe de la Ligue remportée par les Verts aux dépens du Stade Rennais (1-0). Sa passe décisive sur le but de Brandao l’illustre bien: le Gabonais s’est distingué par son altruisme au sein d’un collectif merveilleusement bien huilé.

Pierre-Emerick AUBAMEYANG: 8
Buteur attitré des Verts, il s’est surtout illustré dans cette finale par son altruisme. Passeur décisif sur la réalisation de Brandao (18e), il aurait pu l’être doublement quelques minutes plus tard si le même Brésilien avait davantage appuyé sa tête. Son hyper-activité sur le front de l’attaque stéphanoise a du reste longtemps contraint les Rennais à camper sur leurs arrières.

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Stéphane RUFFIER: 7
S’il a eu peu de travail dans cette rencontre, il l’a bien fait, à l’image de cette parade devant Erding dès le coup d’envoi. Le résultat, outre son talent et un sens du placement remarquable, d’une communication parfaite avec sa charnière centrale.

François CLERC: 6,5
Oubliée cette finale de Coupe de la Ligue perdue avec l’OL en 2007. Maître de son couloir, son expérience et son sang froid ont été des atouts précieux pour les Verts dans ce match qu’il a bien failli débuter par un but, sur une belle reprise expédiée de peu hors cadre.

Kurt ZOUMA: 7
Solide sur ses appuis et dans les airs. Un roc que les Bretons n’ont pas su contourner ou prendre à revers dans les duels. L’assurance tout risque de Saint-Etienne !

Loïc PERRIN: 7,5
Seul Stéphanois à avoir disputé l’intégralité des matches dans cette Coupe de la Ligue et pour cause: le capitaine des Verts est tout simplement indispensable au collectif de l’ASSE. Toujours bien placé et rassurant dans ses prises de balle, il s’est employé à repousser le danger quand le Stade Rennais tentait d’accélérer la manœuvre.

Jonathan BRISON: 6
Si le danger est souvent venu de son côté, par de longs ballons joués dans son dos notamment, il n’a que rarement été pris à défaut. Perrin l’a il est vrai bien suppléé lorsqu’il désertait les lignes arrières.

Fabien LEMOINE: 7
Il avait perdu la finale de la Coupe de France 2009 avec… Rennes. Cette fois, l’intéressé était dans le bon camp, guère étranger qui plus est à la conquête de ce titre. Véritable détonateur, il n’a pas ménagé ses efforts pour dynamiser son équipe et dynamiter les lignes défensives adverses.

Josuha GUILAVOGUI: 6,5
La sentinelle stéphanoise a fait son office dans ce match. Proprement, sûrement, sans fioriture. Son abattage devant la défense ne l’a pas empêché d’apporter sa pierre à l’édifice offensif des Verts.

Renaud COHADE: 6
Toujours entre deux eaux, entre deux lignes, ses nombreux décrochages et appels de balle ont permis de fluidifier le jeu de l’ASSE, même s’il a manqué d’efficacité à l’approche de la zone de vérité.

BRANDAO: 7
Monsieur Coupe de la Ligue a encore frappé ! Triple tenant du trophée et invaincu dans la compétition, l’ancien Marseillais y est allé de son but décisif dans cette finale – comme l’an dernier avec l’OM contre Lyon. Un neuvième but en 13 matches dans ce cadre estampillé LFP qui vient sublimer une prestation aboutie, parfois brouillonne mais toujours livrée avec panache.

Yohan MOLLO: 6,5
Vif et incisif dans ses prises de balle, il a souvent dicté le jeu stéphanois en première période, avant de s’éteindre quelque peu après le repos, jusqu’à son remplacement par Romain HAMOUMA à la 73e minute. Ses coups de pied arrêtés ont du reste contribué à accentuer la domination puis la mainmise des Verts dans cette finale.

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CdL: Brandao homme du match

Samedi soir, si l'AS Saint-Etienne a remporté la Coupe de la Ligue face au Stade Rennais, elle le doit en grande partie à Brandao, unique buteur de la rencontre. L'attaquant brésilien a ainsi été désigné homme du match par la LFP (Ligue de football professionnel), lui qui a pour l'occasion remporter ce trophée pour la quatrième fois consécutivement après ses trois victoires précédentes sous les couleurs de l'Olympique de Marseille. En 13 matches dans cette compétition depuis 2010 et son arrivée en France, Brandao n'a jamais perdu et est parvenu à faire trembler les filets adverses à 9 reprises.

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Les notes: Erding, un seul être vous manque



Tout près d’ouvrir le score sur la première frappe du match, l’avant-centre rennais Mevlut Erding a laissé après sa sortie sur blessure dès la 25e minute de jeu de cette finale de la Coupe de la Ligue un vide jamais comblé. Rennes, sonné par l’ouverture du score précoce des Stéphanois, n’avait pas besoin d’un tel handicap.

Mevlut ERDING (non noté) : Nul doute que l’ancien Parisien avait rêvé d’un tout autre scénario pour sa 4e finale au Stade de France. Sa frappe détournée dès la première minute de jeu aurait pu idéalement lancer Rennes, si Ruffier n’avait pas sauvé les Verts après vingt-cinq secondes de jeu. Au lieu de quoi, l’avant-centre rennais, blessé sur une tentative de contrôle aérien, devra céder sa place dès la 25e minute de jeu, remplacé par Cheick Diarra (4,5). Difficile de rentrer dans un tel match et ça se confirmera.

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Benoît COSTIL (5,5) : Trop court sur le centre d’Aubameyang, qui trouve Brandao sur le but stéphanois, le gardien rennais sauve son équipe sur la tête piquée du Brésilien tout proche du doublé. Pas grand-chose d’autre à se reprocher : le mal était fait.

Chris MAVINGA (4) : Coupable sur l’ouverture du score stéphanoise par un Brandao, libéré de la surveillance du latéral rennais.

John BOYE (4,5) : Comme Mavinga, un marquage trop lâche de la part du Ghanéen sur Brandao, que sa réputation pourtant précède, mais que le défenseur central rennais abandonne de manière assez inexplicable sur l’ouverture du score du Brésilien. Deux bons coups de tête au plus fort de la réaction rennaise en seconde période pour le Rennais le plus dangereux de la soirée. Tout un symbole.

Jean-Armel KANA-BIYIK (5,5) : Un match plutôt sérieux de la part du Camerounais. Sans doute le défenseur le plus solide au sein de l’arrière-garde rennaise.

Romain DANZE (4,5) : De trop rares intentions offensives et du déchet technique sur les quelques centres délivrés ou même le jeu de passe. Le capitaine rennais était-il seulement en pleine possession de ses moyens… Face à Mollo notamment et parfois même Aubameyang, qui s’est aussi se faire passeur, beaucoup de travail défensif. Avant que sa cuisse, qui l’avait handicapé toute cette semaine, ne le rattrape et le contraigne à céder sa place à Onyekachi Apam (57e).

Jean II MAKOUN (5) : On attend forcément que le Camerounais mette sa force de percussion dans l’entrejeu au service de son équipe. Mais après le bon premier quart d’heure de pressing très haut de la part de son équipe, l’ancien Lillois reste trop discret. C’est lui en revanche qui sonnera la révolte de son équipe en seconde période. Mais il était trop tard.

Vincent PAJOT (3,5) : Invisible, ou presque, à l’image de son équipe durant tout le premier acte, avant que le milieu de terrain ne se signale enfin sur un bon centre à la… 79e minute de jeu ! Tout est dit.

Sadio DIALLO (4) : Difficile au terme d’une saison sans le moindre but, ni la moindre passe décisive, de se transformer en héros d’un match aussi important : l’ancien Bastiais n’aura jamais vraiment pesé. Sa reprise superbe depuis l’angle de la surface en fin de match aurait pu faire basculer la finale, mais un hors-jeu et la parade de Ruffier ne laissent aucun regret.

Julien FERET (4,5) : Le dépositaire du jeu rennais en l’absence d’Alessandrini, surveillé comme le lait sur le feu par ses gardes du corps stéphanois, aura peine à alimenter ses attaquants. Son coup-franc masqué avant la pause ne surprend pas Ruffier. Des efforts louables après la pause, mais jamais le geste qui aurait pu faire la différence.

Jonathan PITROIPA (3,5) : Une tentative de bicyclette sans danger pour Ruffier : c’est le bilan famélique en première période du Burkinabé, capable de suppléer son gardien sur sa ligne à la reprise. Avant de s’essayer à la frappe sur une combinaison sur coup-franc, sans plus menacer le but adverse. De l’activité à mesure que Rennes refera surface, mais on attendait plus d’un tel joueur, surtout après la sortie d’Erding.

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Rennes-Antonetti: "Il faut persévérer

Si Rennes s’est bien incliné en finale de la Coupe de la Ligue, samedi face à Saint-Etienne (1-0), Frédéric Antonetti estime que son club est tout de même sur la bonne voie, et trouvera sa récompense un jour ou l’autre. "Vous savez, nos adversaires du soir ont regardé les Rennais pendant dix ans en les enviant. C’est une équipe qui est souvent présente en coupe aux mois d’avril ou mai, une équipe qui a dû être européenne six fois ces dix dernières années. Il n’y a pas de trophée, certes, mais le club fonctionne bien. Rennes a le mérite d’être là, et je ne parle pas de mon passage, c’est une dynamique qui ne date pas d’hier. Il faut persévérer, continuer dans ce sens. Moi, j’y crois !", a lancé le coach breton, après la rencontre.

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Coupe de la Ligue : bloqués sur l’autoroute, des supporters des Verts n'ont (presque) pas vus la fin

C’est le quotidien Le Progrès qui rapporte l’information. Des supporters des Verts, bloqués hier durant plusieurs heures sur l’autouroute A6, au niveau de l’aire de Châlon-sur-Saône, ont vécu un véritable enfer. Après une collision entre leurs deux cars, ces fans ont vécu une attente de près de quatre heures sur l’autoroute. Du coup, les supporters d’un premier véhicule n’ont vu que la 2e mi-temps du match entre l’ASSE et Rennes, les autres, trente-minutes. Au moins, auront-ils vu la remise de la Coupe.

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Aubameyang (ASSE) "va savourer"


Victorieux de Rennes en finale de Coupe de la Ligue(1-0), samedi soir au Stade de France, l'AS Saint-Etienne a remporté son premier trophée depuis 1981, une éternité pour le peuple vert. Emu, Pierre-Emerick Aubameyang s'est confié à L'Equipe à l'issue de la rencontre.

"J’ai toujours dit que je voulais ajouter une nouvelle ligne dans le palmarès de mon équipe. C’est chose faite. C’est magnifique ! Ca a été le feu, vous l’avez vu comme moi. Franchement, c’était super. Le peuple vert était là avec nous et c’est ça qui nous a donné la force de gagner ce soir. Avant le match, on s’était dit qu’on allait kiffer le moment. C’était magnifique à voir. Dans ces moments-là, le plus important est de prendre du plaisir pour ne pas les oublier. C’est une bonne chose. Quand on est joueur, on a envie de gagner des titres. Là, c’est fait. Je vais savourer ça avec toute ma famille." a notamment déclaré l'attaquant de l'ASSE, Pierre-Emerick Aubameyang, meilleur buteur des Verts cette saison.

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Saint-Etienne-Rennes: déclarations

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Loïc Perrin (défenseur et capitaine de Saint-Etienne) : "Tout le monde attendait cela et déjà nous les joueurs. Après une carrière, ce qu'il reste, ce sont les titres que l'on a gagné. Nous méritions de gagner un trophée avec ce groupe là. C'est extraordinaire et de fêter cela avec tous les supporteurs venus en nombre. Le stade était aux trois-quarts vert. Nous voulions leur donner cette coupe que tout le monde attendait depuis si longtemps. On profite des moments mais on ne se rend pas bien compte. Nous avons pu écrire une ligne au palmarès du club. C'est important. On savoure et quand on arrivera à Saint-Etienne, on se rendra compte que c'est vraiment extraordinaire. Cela faisait plus de 30 ans que tout le monde attendait cela. C'est nous qui l'avons fait. Les gens ne l'oublieront pas, nous non plus. Ce n'est que du bonheur".

François Clerc (défenseur de Saint-Etienne) : "Nous sommes très contents. C'est une grande joie. Cela matérialise notre belle saison et un trophée c'est super. Nous en avons rêvé en début de saison et nous sommes parvenus à le faire. Voir tout le peuple vert heureux, c'est une très grande joie pour nous. Cela fait trop longtemps que Saint-Etienne attendait ce trophée. C'est une grande fierté de le ramener. Pour l'heure, on va savourer cette coupe. Le club méritait de gagner d'autres trophées avant. Déjà de ne jamais être allé au Stade de France, c'est quelque chose d'incroyable. D'y être allé et de gagner, nous sommes très contents. Par rapport à l'histoire du club et l'engouement, c'est une grande satisfaction de voir les gens heureux et de leur amener un peu de plaisir. Pour nous aussi, forcément. Nous avions un super groupe cette année. C'est vraiment super".

Fabien Lemoine (milieu de Saint-Etienne) : "Pour nous, c'est une immense joie car lorsque l'on voit le nombre de supporteurs présents ce soir, nous n'avions pas le droit de nous rater. Cela se joue à pas grand chose. Une finale est belle quand on la gagne et je sais de quoi je parle après avoir perdu moi-même avec Rennes en 2009. J'avais vraiment à coeur de gagner un trophée pour moi, pour mes proches, notre équipe et nos supporteurs exceptionnels ce soir. J'imagine que les supporteurs rennais sont tous déçus mais Rennes est aussi dans une situation compliquées en championnat et les REnnais avaient à coeur de faire quelque chose pour égayer leur fin de championnat. Nous allons bien savourer jusqu'à mercredi et nous essaierons de gagner contre Ajaccio pour faire une belle fête dans notre stade avec notre public. Il faut continuer en championnat".

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ASSE-SRFC (1-0) : La réaction de Benoît Costil

Le gardien rennais Benoît Costil n’a pas caché sa frustration après la défaite face à Saint-Etienne (1-0) en finale de la Coupe de la Ligue.

"Perdre une finale, je ne peux pas être content. Quand au bout de 20 minutes vous perdez Erding et que Danzé sort aussi avant la fin, nous n'avions pas tous les éléments. C'était jouable, mais après le 1 à 0, quand on ne répare pas des erreurs, on a ce que l'on a. Ça serait bien de gagner un match car je ne sais plus ce que ça fait le goût de la victoire. On a joué pas mal sur coups de pied arrêtés, il y avait la place mais ça n'a pas marché. J'ai pas la solution, ça fait 9 matches qu'on gagne pas! Sur le déroulement du match, c'est malheureux pour nous, va falloir s'accrocher maintenant. Faut qu'on fasse preuve de courage, d'amour propre. Voilà, on n'est pas une grande équipe, c'est comme ça. C'est nous qui nous sommes donnés ce manque de confiance mais la confiance, ça se gagne", a déclaré Costil.

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ASSE-SRFC (1-0) : La réaction de Christophe Galtier

L’entraîneur stéphanois Christophe Galtier est ravi d’avoir vu son équipe répondre présent pour s’imposer devant Rennes en finale de la Coupe de la Ligue (1-0).

"Il fallait du mental, assumer une pression positive, digérer le match de mardi (défaite en quart de finale de Coupe de France à domicile face à Lorient, 1-2, ndlr). L'ensemble du staff a énormément travaillé. Il y avait une priorité dans la semaine, en équilibrant les temps de jeu pour avoir des joueurs pleins d'énergie. On a su être nous. Depuis que je suis responsable de l'équipe, on n'a jamais été nous dans les derbies, on l'a été contre Paris et ce soir. J'espère qu'on le sera mercredi contre Ajaccio (en match décalé de la 33e journée de L1, ndlr): la saison n'est pas finie. Je suis déterminé: sur les six derniers matches il faut rajouter quelque chose", a déclaré Galtier.

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ASSE-SRFC (1-0) : La réaction de Frédéric Antonetti

L’entraîneur rennais Frédéric Antonetti était déçu après la défaite face à Saint-Etienne (1-0) en finale de la Coupe de la Ligue. Mais il n’en veut pas à ses joueurs.

"On a perdu, c'est compliqué. Une finale, c'est difficile. Je ne vais pas faire l'analyse du match, ça ne sert pas à grand-chose. Je félicite mes gars, qui ont lutté avec les armes du moment, ce n'est pas suffisant. Celui qui marque le premier prend un ascendant, et on connaît la solidité de Saint-Etienne, on n'a pas pu les mettre en danger. Je ne vais rien reprocher à mes joueurs, ils ont tout donné ce qu'ils pouvaient en ce moment. On n'est pas arrivés ici dans les meilleures conditions, mais c'était de notre faute. On a beaucoup souffert après le but, on s'est bien repris en deuxième mi-temps, j'ai trouvé une envie de bien faire, même si eux avaient un peu plus de puissance physique", a reconnu Antonetti.

" Dès qu'il nous manque deux ou trois joueurs, c'est difficile pour nous. Danzé, c'est sa blessure qui s'est réveillée, et Erding s'est fait mal aux adducteurs. On a manqué un peu de justesse, on a eu les situations mais on est capable de mieux faire. J'ai toujours dit que Saint-Etienne était meilleur que nous, ils sont plus complets, mais il n'y a pas un gros écart. C'est la situation du moment qui faisait qu'on était plus qu'outsider. Ils étaient supérieurs à nous, pas tout le temps, mais quand même supérieurs à nous, même si c'était assez équilibré dans l'ensemble", a poursuivi l'entraîneur rennais.

(sur son avenir) "Je ne vais pas parler de mon cas personnel ce soir, c'est ni le lieu, ni le moment. Il faut essayer de bien terminer. On le doit à ce public rennais, qui m'a surpris ce soir. Il y a de belles choses à faire à Rennes. On n'a pas pu leur donner la récompense, je suis déçu pour le club, mais il faut persévérer, moi j'y crois. Il y a des hauts et des bas, là on est dans un bas, mais il faut faire face, être digne et bien terminer cette saison. On a le mérite d'être là au mois d'avril souvent depuis dix ans et de jouer quelque chose, il faut rester mesuré", a-t-il conclu.

Qui a suivit cette finale?

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Coupe de la Ligue : la touchante déclaration de Brandao (ASSE)


Quelques heures, seulement, après avoir soulevé la Coupe de la Ligue, avec l’ASSE, l’attaquant des Verts, Brandao, s’est exprimé sur son compte Facebook. Et a tenu à mettre certaines choses au point avec tous ceux qui émettaient des doutes sur son niveau de jeu. "On m’a dit que je n’y arriverais pas. On m’a dit d’arrêter. On m’a dit tellement de choses négatives que je voulais abandonner. On m’a dit que ce n’était pas ma vocation. Mais je n’ai pas lâché" Brandao qui a même rajouté, et en Français dans le texte : "Un grand merci à tous ceux qui ont toujours cru en mon travail".

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Saint-Etienne-Brandao: "Très content"

Buteur de la finale de Coupe de la Ligue remportée samedi soir par Saint-Etienne contre Rennes (1-0) et premier joueur à gagner ce trophée quatre fois d’affilée, Brandao a réagi à ce premier titre depuis 32 ans pour l’ASSE. "Félicitations à tout le groupe pour les efforts qui ont permis de remporter le titre, a confié le Brésilien, désigné homme du match par la LFP, ce dimanche au micro de Stade 2. Il y avait beaucoup de supporters de Saint-Etienne qui attendaient ce titre depuis longtemps. Je suis très content que tout le monde soit content ici. J’ai passé beaucoup de moments difficiles dans ma vie et quand je suis arrivé ici les gens m’ont aidé. Ce sera un gros match la semaine prochaine (à Lyon en Ligue 1)."

Photos et vidéos de la coupe et du défilé sur asse.fr