[Football] Coupe de France

Rappel du premier message :

J'ouvre ce topic coupe de france car je suis heureux
Bravo Carquefou.............dans le cul l'OM ahahahahah
1-0 pour Carquefou c'est foufoufou qui élimine Marseille en huitième de finale ............
Grandin est rentrée et Zubar aussi etait sur le terrain mais rien y fait...............
L’énorme exploit de Carquefou !

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CdF: Le tirage des demies

Dans la foulée de l'élimination du PSG à Annecy, le tirage au sort des demi-finales de la Coupe de France a été réalisé ce mercredi soir. Les affiches mettront aux prises Troyes et Bordeaux dans l'Aube, ainsi qu'Evian TG et Lorient en Haute-Savoie. Les matches se joueront les 7 et 8 mai prochains.

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Aliadière a impressionné Bourillon

Présent sur les ondes de RMC Sport, le défenseur du FC Lorient Grégory Bourillon a rendu hommage à son coéquipier Jérémie Aliadière, buteur décisif en quart de finale à Saint-Etienne (2-1) mardi.

"Il fait une saison extraordinaire. Il est énorme. Il nous met le but qui faut à la dernière minute. Il est épargné par les blessures. On en tire profit. C’est bien pour tout le monde", s'est réjoui l'ancien défenseur du Paris-SG.

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Paris s’est fait tout petit…



Capable d’accrocher le FC Barcelone en Ligue des champions, le Paris Saint-Germain, déjà sorti par Saint-Etienne en Coupe de la Ligue, a été éliminé de la Coupe de France mercredi par Evian-Thonon-Gaillard. La preuve que le PSG n’est pas encore une grande équipe, du moins pas le monstre attendu.

Les déclarations d’intention avaient rythmé le début de la semaine. "Le doublé ? Ce serait tout simplement parfait ! Et nous aborderons Evian avec le même sérieux que nous avons abordé les matchs contre Barcelone et Troyes", promettait Christophe Jallet. "On le veut, renchérissait Mamadou Sakho. Quand on est ambitieux, c’est quand même le minimum que de chercher à tout gagner." Thiago Silva, le capitaine parisien, avait parfaitement résumé la situation : "Réussir le doublé serait la marque d’une très belle saison. Arriver dans une équipe avec plein d’autres joueurs et, dès la première saison, réussir le doublé, ce serait quelque chose d’assez fort."

Ne pas y parvenir offre à l’inverse un goût de trop peu. Et donne le sentiment assez paradoxal que le PSG, en route pour décrocher un troisième titre de champion de France après ceux de 1986 et 1994, n’a exprimé que partiellement son potentiel survitaminé par l’arrivée voilà bientôt deux ans des Qataris. "Ce n'est pas un échec, corrige Javier Pastore sur le site du club. On a perdu un match c'est tout. Quand on joue mal comme ça et que l'équipe en face se défend bien, c'est ce qui arrive." Mais ça ne devrait pas. Les Parisiens ont offert mercredi leur pire visage, celui de joueurs s’avançant en trainant les pieds, incapables de se faire violence ni de réagir en équipe, l’expulsion de Thiago Motta pour un mauvais geste en prolongation étant le symbole de comportements contraires et égoïstes.
Ancelotti n’a pas aimé

Et ça n'a pas échappé à Carlo Ancelotti. "C'est une grande déception, surtout par rapport à l'attitude de l'équipe qui n'a pas été bonne, a réagi l'entraîneur du club de la capitale, remonté comme rarement contre ses joueurs, rapporte L’Equipe. On peut perdre un match mais pas comme ça. On n’avait pas de concentration, pas de caractère, beaucoup de suffisance. Dans la saison, quand l'équipe est concentrée, nous faisons de grands matches, comme contre Barcelone. Après est arrivé la suffisance. On est une équipe qui, à chaque fois, va perdre sa concentration. On commence alors à jouer individuellement, à rater des passes, à chercher des choses difficiles. La saison n’est pas finie mais ce soir, c’était un désastre. Je suis désolé. C’est ma responsabilité."

Tout autant que celle des joueurs qui n’ont pas joué à leur niveau, à l’image de Zlatan Ibrahimovic qui a tout raté, jusqu’à son tir au but, repoussé par Bertrand Laquait, le gardien d’Evian-Thonon-Gaillard. A croire que le PSG, propulsé dans une autre dimension, y a perdu de son identité, qui en faisait une équipe de coupe, rarement prise à défaut par plus faible qu’elle. Ou plus surement que cet empilement de joueurs ne forme pas encore une grande équipe, de celle capable d'assumer son statut et d'assurer le minimum même dans un cadre suranné, comme le Parc des Sports d’Annecy qui, convenons-en, n'invite pas au dépassement de soi comme le Camp Nou. Toute la différence avec le Barça qui, dans un match de coupe par excellence (même sur le mode aller-retour), avait su résister en Ligue des champions au petit Paris…

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Evian n’en revient pas



Pour la première fois de son histoire, Evian-Thonon-Gaillard disputera une demi-finale de Coupe de France. L’équipe haut-savoyarde, qui affrontera Lorient pour une place au Stade de France, a réussi à renverser le PSG en quarts, un exploit fêté comme il se doit dans les Alpes…

Ils ont chanté, dansé, sauté, les joueurs d’Evian-Thonon-Gaillard n’auront pas boudé leur triomphe mercredi sur les coups de minuit pour fêter une victoire sur le Paris SG en quarts de finale de la Coupe de France pour le moins inattendue. Rapidement menés suite à l’ouverture du score de Javier Pastore, les hommes de Pascal Dupraz ont su ne pas sombrer pour s’accrocher, revenir juste avant la pause par Khlifa, puis faire jeu égal avec un PSG aux antipodes du niveau affiché en Ligue des champions. La motivation avait clairement choisi son camp sur la pelouse du Parc des Sports d’Annecy et c’est finalement «moral» que l’équipe ayant affiché le meilleur état d’esprit soit qualifiée.

"On a éliminé le PSG, on est désolés, mais nous aussi on voulait aller au Stade de France ! On s’est accrochés et on s’est qualifiés", s’excusera presque après-coup un Pascal Dupraz pas peu fier de ses joueurs et qui se voit peut-être trop vite à Saint-Denis (il reste une demi-finale à domicile face à Lorient). Les ingrédients de la qualification ? Le capitaine Olivier Sorlin les livre: "Depuis le début, on se bat avec nos armes: beaucoup de courage, beaucoup de coup de cœur. Des fois, ça marche, des fois, ça ne marche pas, il faut aussi un peu de talent. Ce soir, il fallait plus de cœur qu’eux et on l’a montré. Je pense que ce n’est pas démérité." On peut même dire que c’était mérité, tant le petit Poucet a su tenir la dragée haute à un ogre pas vraiment concerné. Paris n’y était pas, Evian a su en profiter et voilà le club alpin en passe d’écrire une des plus belles pages de sa jeune histoire, qualifié pour la première fois pour les demi-finales de la Coupe de France.
Sorlin: "Il faut continuer !"

"On avait déjà écrit une petite page en allant en quarts, là, on en écrit une autre en demie, c’est à nous d’en écrire une autre pour aller en finale, poursuit Olivier Sorlin sur le site de l’ETG. Aller en demie, c’est fort, surtout quand vous battez Paris. Ils survolent le championnat de France et ils ont fait un bon parcours en Ligue des champions. Ce n’est certainement pas le Paris de Ligue des champions qu’on a vu ce soir (mercredi), mais on les a gênés et on a su se créer des occasions. On savait que plus le match avançait et plus c’était bénéfique pour nous. On a tenu puis on a eu un grand «Bébert» aux penalties et voilà ça nous a fait aller en demie !" Déjà décisif dans le jeu face à Alex ou Lavezzi, Bertrand Laquait a en effet sorti le premier tir au but parisien d’Ibrahimovic, montrant la voie de la qualification.

"Les joueurs ont été formidables aujourd’hui, donc je leur dois bien ça, commentera-t-il à sa sortie du terrain sur France 3. Ça fait quelque temps qu’on a prouvé notre solidarité, ce soir, c’est une page du club qui est écrite, mais la plus belle sera de rester en Ligue 1." Seizième avec trois points d’avance sur le premier relégable, Nancy, Evian, qui vit sa deuxième saison parmi l’élite, n’est en effet pas encore tiré d’affaire, mais a son destin entre les mains, puisque l’équipe haut-savoyarde dispose d’un calendrier favorable, avec quatre matches à domicile sur six, le prochain face au… PSG (le 28 avril), et un déplacement dès dimanche à… Nancy. "On espère maintenant que cette qualification nous permettra de nous maintenir", poursuit Dupraz, tandis qu’Olivier Sorlin rêve d’une fin de saison en apothéose: "C’est beau pour toute une région, une région sevrée de football depuis quelques années. Avec l’ETG, on arrive à mettre un peu de baume au cœur aux gens depuis trois ans, on a fait deux montées consécutives, une belle saison l’année dernière et on fait un beau parcours en Coupe de France. Il faut continuer !" Le rendez-vous est pris le 7 ou 8 mai contre Lorient...

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Paris, le bateau a coulé


Evian a éliminé le PSG mercredi en quarts de finale de Coupe de France, au terme de la séance de tirs au but (1-1 a.p., 4 t.a.b. à 1). Les Parisiens avaient ouvert la marque par Pastore, mais Saber Khlifa a égalisé en fin de première période.

C’était nul, du début à la fin, au propre comme au figuré. Mais les spectateurs du Parc des sports n’en ont évidemment cure, puisque le dénouement est totalement inattendu pour l’Evian-TG, à la lutte pour le maintien en Ligue 1 et qui a éliminé le PSG sans qu’il y ait grand-chose à redire. Les deux équipes ont fini à égalité après 120 minutes, et la loterie des tirs au but a fait la différence (1-1 a.p., 4 t.a.b. à 1). Ce n’est pas que l’ETG - qui recevra Lorient en demies - a outrageusement dominé et mérité sa qualification, c’est surtout que Paris n’a jamais cherché à éviter la honte.

Après Saint-Etienne en Coupe de la Ligue et le Barça en Ligue des champions, le Paris-Saint-Germain a encore été éliminé en quarts de finale, et encore après un match nul (et même deux face au Barça…). Comme chez les Verts, le PSG s’est incliné après une séance de tirs au but, qui était donc la deuxième de la saison pour les hommes de Carlo Ancelotti. Il faudra travailler l’exercice en vue de la saison prochaine, si tant est que l’entraîneur italien ait le loisir de le faire. Car cet énorme couac, au moment de faire le bilan en fin de saison, peut faire mal.
Laquait: "Je leur devais bien ça"

"C’est l’exploit, se satisfaisait un Pascal Dupraz à la joie plutôt mesurée, sur France 3. Je pense qu’on a mérité la victoire. On a fait une super première période et on a eu plus de mal en deuxième, mais on s’est accrochés et on s’est qualifiés. Les joueurs ont été héroïques. On se prend à rêver, on est à 120 minutes maximum d’une petite visite du Stade de France." Il n’y a pas grand-chose à ressortir de ce match pour le PSG, où Nicolas Douchez, Sylvain Armand, David Beckham ou Jérémy Ménez étaient titulaires. L’Anglais a délivré une belle transversale sur l’ouverture du score à Christophe Jallet, qui a ensuite servi Javier Pastore pour une frappe splendide. Mais à la huitième minute de jeu, ce but est sans doute arrivé trop tôt.

Car Pastore n’a rien fait ensuite, mais alors vraiment rien. Pas plus qu’un Zlatan Ibrahimovic à nouveau édifiant de désinvolture. Sur ce match, Lucas Moura a manqué, tant le rythme était lénifiant. C’est exactement ce qu’il fallait à Evian, qui n’a pas eu à se mettre dans le rouge et a pu revenir au bon moment, juste avant la mi-temps sur un but de Saber Khlifa (1-1, 43e), oublié par une défense parisienne aux abonnés absents où Alex et surtout Thiago Silva étaient endormis. Les bien maigres occasions dudit Thiago Silva (29e), d’Ibrahimovic (56e) et d’Ezequiel Lavezzi (112e) ne suffisent pas, et l'expulsion de Thiago Motta à la 117e minute pour un coup de pied sur Barbosa annonçait la catastrophe.

"Je savais qu’il allait se passer quelque chose, c’était écrit, rêvait Bertrand Laquait, qui n’a fait rien de moins que repousser le premier tir au but d’Ibrahimovic. Les joueurs ont été formidables, donc je leur devais bien ça. C’est une belle page de l’histoire du club, mais on va essayer de continuer car la plus belle serait de se maintenir en Ligue 1." Les Evianais n’ont pas manqué une seule de leurs tentatives lors de la série fatidique, alors que Thiago Silva a écrasé sa frappe sur la barre. Ibrahimovic et Thiago Silva symboles de l’élimination du PSG, le résumé est parfait. Il est sidérant et très problématique de voir une équipe jouer de manière aussi différente à Barcelone et à Annecy.

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Bordeaux a dû se battre



La route du RC Lens en Coupe de France s'est arrêtée mercredi, à domicile face à Bordeaux (2-3). Les Sang et or ont mené jusqu'à la 60e minute, avant de plier après le repos sur un but de Grégory Sertic, ancien de la maison, et un doublé de Diabaté.

Les absents ont finalement causé un grand tort aux Lensois. Privés de Jérôme Le Moigne, Pierrick Valdivia, Yoann Touzghar (blessés) et Alaeddine Yahia (suspendu), les joueurs d’Eric Sikora y ont cru pendant longtemps, durant une heure et même un peu plus. Les spectateurs de Bollaert, plein à craquer grâce à l’exceptionnelle non-diffusion TV et le décalage du match de 17h à 19h, en ont eu pour leur argent. Même si le dénouement est malheureux pour les Sang et or, cinq buts ont été inscrits au total (2-3)...

Après deux premières occasions rapides de Sow (7e) et Déme N’Diaye (9e), Lalaina Nomenjanahary ouvre la marque dès la 10e minute de jeu avec l’immense - et involontaire - complicité de Cédric Carrasso, qui voit le ballon lui rebondir sur les jambes puis entrer dans le but suite à une frappe sur le poteau. Les Lensois gèrent alors sans trop de souci la première période, où Francis Gillot a du mal à réveiller ses Girondins pour son retour dans le Pas-de-Calais. C’est nettement mieux au retour des vestiaires, alors que Rudy Riou doit déjà officier juste avant la mi-temps sur un tir de Grégory Sertic (43e).
Démont ne voulait "pas s'arrêter là"

"C’est évident qu’on ne veut pas s’arrêter là, on veut passer", nous disait Yohan Démont à la veille de la rencontre. Les Artésiens ont tout donné, mais ce même Sertic, ancien joueur du Racing, enclenche la chute de ses ex-partenaires en égalisant à l’heure de jeu (1-1, 59e). Les débats restent encore très serrés jusqu’à 10 minutes du terme, où Cheick Diabaté inscrit un doublé en quatre minutes (1-3, 81e, 85e). Zakarya Bergdich, dans un ultime effort, marque encore dans le temps additionnel (2-3) et les supporters poussent comme des damnés.

Mais il restait trop peu de temps à jouer, et Riou doit même sortir un dernier penalty d’Obraniak pour ne pas encaisser plus de trois buts. Et empêcher les Bordelais de marquer quatre fois pour la deuxième fois en quatre jours (après le 4-1 de samedi contre Montpellier). "Ce sera une bonne rencontre à jouer, en tout cas on l’espère, disait aussi Démont. On va faire en sorte d’être les meilleurs possibles." Avec leurs armes, les Lensois ont donné le maximum et leurs supporters n’ont pas cessé de chanter après le coup de sifflet final. Mais il est désormais acquis que le dernier carré sera seulement composé d’équipes de Ligue 1.

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PSG-Pastore: "On est éliminés, rien de plus"

Javier Pastore avait marqué au Camp Nou, il y a plus d'une semaine. Le milieu de terrain a récidivé mercredi soir contre Evian, lors du quart de finale de la Coupe de France perdu par les Parisiens (1-1, tab: 4-1). Après la rencontre, l'Argentin ne voulait pas céder à la panique. "On a perdu un match, c'est tout. Quand on joue mal comme ça et que l'équipe en face se défend bien, c'est ce qui arrive. On est éliminés, rien de plus, et on a encore un championnat à gagner. Il y avait une bonne équipe en face", a-t-il lâché en zone mixte dans des propos relayés par Eurosport

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Prochains match mercredi et mardi

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Demi-finales: le programme

On connait le programme des demi-finales de la Coupe de France. Mardi 7 mai, Troyes recevra Bordeaux (20h55), et mercredi 8 mai Lorient se rend à Evian-Thonon (21h). Cette année, le dernier carré est composé uniquement de clubs de Ligue 1.

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Bordeaux: Obraniak incertain face à Troyes

L’inquiétude est de mise dans les rangs girondins. Touché à la cheville droite lors de la première période du match entre Saint-Etienne et Bordeaux (0-0), vendredi soir, Ludovic Obraniak a été contraint de céder sa place à Jaroslav Plasil avant le retour aux vestiaires. A l’issue de la partie, l’entraîneur du club au scapulaire, Francis Gillot, faisait la moue et laissait le doute planer quant à la participation de l’international polonais à la demi-finale de Coupe de France programmée à Troyes mardi. "Le coup qu’il a reçu peut remettre en cause sa participation au match de Troyes. Le match est dans quatre jours et il a pris une bonne semelle. Il est très incertain pour mardi", a confié le technicien sur le site officiel du club.

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CdF: Troyes-Bordeaux reporté

La demi-finale de Coupe de France Troyes-Bordeaux, prévue ce mardi à 20h55, est reportée, à cause des violentes intempéries et crues qui sévissent dans la région Champagne-Ardenne depuis quelques jours. Le risque d'inondation est trop important actuellement pour que la rencontre puisse se tenir. Le match sera rejouée mardi 14 mai (20h55).

21:00 Evian-Thonon Lorient

Evian ouvre le score face à Lorient 1-0

Evian mène 2-0 face à Lorient

Evian mène 3-0 face à Lorient

Mi-temps Evian 3-0 Lorient

Evian mène 4-0 à Lorient

4-0 pour Evian-Thonon-Gaillard face au FC Lorient, on a du mal à y croire compte tenu de la place des deux clubs en Ligue 1

C'est terminé au Parc des Sports d'Annecy ! Evian-Thonon-Gaillard est en finale de la Coupe de France 2013 après sa nette victoire 4-0 face au FC Lorient. Les Hauts-Savoyards iront défier le vainqueur de l'autre demi-finale, qui mettra aux prises, mardi prochain, Troyes et Bordeaux

bien joué evian

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CdF: Evian écrase Lorient

Une raclée ! Après avoir écarté le PSG en quart de finale, Evian-Thonon-Gaillard a cette fois donné la leçon à Lorient, mercredi au Parc des Sports d’Annecy, pour se hisser en finale de la Coupe de France (4-0). Une demi-finale qui a très rapidement tourné en faveur de Haut-Savoyards qui ont fait la différence par Ninkovic (10e), Sagbo (20e), Bérigaud (33e) et Bouia (80e). Si Evian va vivre sa première finale de Coupe, les Merlus manquent la marche vers le Stade de France pour la 3e fois en 4 ans.

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Evian-TG-Trotignon: "Un lapin de trois jours"



Patrick Trotignon est revenu mercredi sur l'avenir à court terme de l'ETG.

"Comme on dit à la campagne, on est un peu un lapin de trois jours, seulement appelé Evian-Thonon-Gaillard depuis 2009", a rappelé le président haut-savoyard sur France 2. Mais nous avons un grand projet, donc le maintien est très important pour nous."

Alors qu'Evian s'est qualifié pour la finale de Coupe de France en étrillant Lorient (4-0), Trotignon se veut confiant: "On m’a dit que la Coupe nous avait peut-être laissé échapper des points, je peux peut-être penser qu’elle nous en fera gagner lors des trois prochains matches."

Evian qui a mit 4-0 à Lorient ça fait mal

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Gourcuff : "Il n'y a pas eu de match"

Ecrasé par Evian en demi-finale de Coupe de France (0-4), Christian Gourcuff, entraîneur du FC Lorient, a fait part de son incompréhension en conférence de presse.

"Il n'y a rien à dire sur la victoire mais sur le match il y en a beaucoup. Il n'y a pas eu de match, simplement. Il y a eu dix minutes. Sur le premier but, il y a eu une passivité incroyable. Dans une demi-finale de coupe, cela laisse interrogateur. Dans notre jeu, nous avons été assez mièvre, sans mettre de vitesse. Hormis la première occasion, nos opportunités se comptent sur les doigts d'une main. Pour le reste, cela a été du pousse-ballon. A 3-0, après la mi-temps, c'était difficile de se remettre dans le coup. C'est raté. Nous sommes déjà déçus d'avoir perdu 4-0 dans une demi-finale de coupe. L'histoire semble parfois se répéter. Nous en avions déjà pris cinq à Lille. On est capable sur certains matches d'être très bons comme à Saint-Etienne au tour précédent. Si là-bas, nous avions joué ainsi, nous ne nous serions pas qualifiés. Où est la valeur de l'équipe ? C'est vrai que l'on s'interroge après de tels matches. La colère n'amène pas grand chose. Nous ferons le point tranquillement" a réagi Christian Gourcuff à l'issue de la rencontre.

Que pensez-vous de cette fessée d'Evian infligée à Lorient?