[Football] Champion's League

Rappel du premier message :

Bon c'est partie pour une belle petite débacle de nos club Français encore hier soir Lyon n'a pas eu de réussite mais 3-0 ça fait mal..............

Bon ce soir j'espere bien rigolé devant ma tv car Liverpool ne devrait avoir pas trop de problème pour battre Marseille.......même si sur un match tout est possible!

Pour illustrer la débacle des Gones voici l'équipe gratuit en téléchargement!
L'équipe gratuit

allez Munichhhhhhhhhhhhhhhhhhh

Quel sauvetage de Subotic! Alors que Müller prend de vitesse Neuer et glisse le cuir devant le but déserté, le défenseur du Borussia se fend d'un superbe tacle devant sa ligne pour empêcher Robben de conclure l'action. In extremis

Les esprits s'échauffent à hauteur de la surface de Dortmund alors que Grosskreutz demande vertement à Ribéry, à terre, de se relever. Résultat: les deux hommes écopent d'un carton jaune.

BUTTTTTTTTTTTTTTTTTTTTTTTTTTTTTTTTTTTTTTTTTTTTTTTTTTTTTT ROBBENNNNNNNNNNNNN POUR LE 2-1 POUR LE BAYERN MUNICH

LE BAYERN MUNICH REMPORTE LA LIGUE DES CHAMPIONS 2-1 FACE A DORTMUND YESSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSS BRAVO LES BAVAROIS

Citation :

Robben offre le titre au Bayern



Le Bayern Munich a remporté ce samedi la finale de la Ligue des champions en dominant le Borussia Dortmund (2-1) sur la pelouse du stade de Wembley.

Après une première période sans but, les Bavarois ont ouvert le score à l’heure de jeu par Mandzukic, mais les joueurs du Borussia ont égalisé huit minutes plus tard sur un penalty de Gündogan. Robben, passeur décisif sur le premier but, a offert la victoire à son équipe à une minute de la fin du temps réglementaire.

Le Bayern, qui avait perdu ses deux précédentes finales en 2010 et 2012, décroche la C1 pour la cinquième fois de son histoire, douze ans après le dernier titre.

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Ligue des champions 2013 - Buteurs: Cristiano Ronaldo termine meilleur buteur

L'attaquant portugais Cristiano Ronaldo, éliminé en demi-finale par Dortmund avec le Real Madrid, a terminé meilleur buteur de la Ligue des champions, remportée samedi soir à Londres par le Bayern Munich, vainqueur de Dortmund 2 à 1.

Avec 12 buts, "CR7" a devancé au classement final Robert Lewandowski (Dortmund, 10 buts) et succède au palmarès à l'Argentin Lionel Messi (FC Barcelone), 3e avec huit buts en compagnie de Thomas Muller (Bayern Munich) et Burak Yilmaz (Galatasaray).

Arjen Robben, auteur du but de la victoire bavaroise, termine avec quatre réalisations.

Classement de la saison 2012/2013:

12 buts: Cristiano Ronaldo (Real Madrid)

10 buts: Robert Lewandowski (Dortmund)

8 buts: Burak Yilmaz (Galatasaray), Lionel Messi (FC Barcelone), Thomas Müller (Bayern Munich)

5 buts: Alan (Sporting Braga), Karim Benzema (Real Madrid), Oscar (Chelsea), Jonas (Valence), Ezequiel Lavezzi (Paris SG)

4 buts: Robben (Bayern Munich), Willian (Shakhtar Donetsk), Klaas-Jan Huntelaar (Schalke 04), Roberto Soldado (Valence), Kostas Mitroglou (Olympiakos) Lukas Podolski (Arsenal), Fabio Quagliarella (Juventus Turin), Eliseu (Malaga), Marco Reus (Dortmund), Claudio Pizarro (Bayern Munich)

...

Classement des buteurs en Ligue des champions (depuis 1992-1993, à partir de la phase de groupes):

1. Raul (Al Sadd) 71 buts

2. Lionel Messi (Barcelone) 59

3. Ruud van Nistelrooy (*) 56

4. Thierry Henry (Red Bulls New York) 50

. Cristiano Ronaldo (Real Madrid) 50

6. Andreï Shevchenko (*) 48

7. Filippo Inzaghi (*) 46

8. Alessandro Del Piero (FC Sydney) 42

Classement des buteurs en C1 (Coupe d'Europe des clubs champions et Ligue des champions, phases préliminaires incluses):

1. Raul (Al Sadd) 71 buts

2. Ruud van Nistelrooy (*) 60

3. Andreï Schevchenko (*) 59

. Lionel Messi (Barcelone) 59

5. Thierry Henry (Red Bulls New York) 51

6. Cristiano Ronaldo (Real Madrid) 51

7. Filippo Inzaghi (*) 50

8. Alfredo Di Stefano (*) 49

9. Eusebio (*) 47

10. Alessandro Del Piero (FC Sydney) 44

Classement des buteurs en compétitions de clubs européennes:

1. Raul (Al Sadd) 77 buts

2. Filippo Inzaghi (*) 70

3. Andriy Chevtchenko (*) 67

4. Gerd Müller (*) 62

. Ruud van Nistelrooy (*) 62

. Lionel Messi (Barcelone) 60

7. Thierry Henry (Red Bulls New York) 59

. Henrik Larsson (*) 59

9. Eusebio (*) 56

10. Alessandro Del Piero (FC Sydney) 54

11. Cristiano Ronaldo (Real Madrid) 51

12. Alfredo Di Stefano (*) 50

13. Claudio Pizarro (Bayern Munich) 48

...

NDLR: L'UEFA comptabilise dans ce dernier classement le but inscrit par Raul en Coupe Intercontinentale (2-1 contre Vasco de Gama en 1998), organisée conjointement par l'instance européenne et la Conmebol (Confédération sud-américaine) jusqu'à son remplacement par le Mondial des clubs, organisé par la Fifa.

Les joueurs dont les noms sont suivis du signe (*) ne sont plus en activité.

(Source UEFA)

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Football - Ligue des champions
Robben au top, Hummels au flop


Le Bayern Munich a donc remporté la Ligue des champions 2013 face au Borussia Dortmund (2-1) grâce notamment à un Arjen Robben décisif. Le Borussia a pu compter sur son duo magique Reus-Gundogan, mais a été pénalisé par les errements défensifs de Mats Hummels.

Les Tops

Arjen Robben : Il était le chat noir des finales après avoir perdu la Ligue des champions en 2010, en 2012 et la Coupe du monde 2010. Finalement il a réussi à conjurer le score en inscrivant le but de la victoire. Même s’il a pas mal vendangé en première période, oubliant souvent ses partenaires et refusant d’utiliser son pied droit, le Néerlandais est impliqué dans les deux buts de son équipe après avoir parfaitement servi Mandzukic pour l’ouverture du score. Sa joie à la fin de la rencontre montre tout le soulagement pour lui de remporter enfin une grande finale. Après avoir butté sur Weidenfeller alors qu’il était seul devant les buts (29e), puis plusieurs fois sur la défense de Dortmund, il a fini par trouver la faille, par deux fois. Il offre pratiquement à lui tout seul la victoire au Bayern. Ilkay Gundogan : Le travailleur de l’ombre du Borussia. Il a ratissé, récupéré et orienté tous les ballons pour son équipe. En parfaite adéquation avec Marco Reus, l’Allemand a été impérial au milieu de terrain faisant le lien parfait entre sa défense, portée à bout de bras par Subotic, et son attaque emmenée par Robert Lewandowski. Il a en plus permis au Borussia de ne pas perdre espoir à un moment où le Bayern prenait le pas sur le match. Il n’a pas tremblé pour transformer le penalty, prenant Manuel Neuer, parfaitement à contre pied. Manuel Neuer : Il a tout simplement tenu à bout de bras le Bayern Munich pendant toute la première demi-heure du match. Face à Lewandowski, Reus et Piszczek, il a repoussé tous les assauts du Borussia. En permettant au Bayern de repartir à la pause sans avoir encaissé de but, il a tout simplement permis à son équipe de restée en course. Il a été le dernier rempart du club bavarois quand sa défense prenait l’eau. Il a eu beaucoup moins de travail en seconde période mais il est toujours resté attentif. Il n’a malheureusement pour lui, rien pu faire sur le penalty de Gundogan, où il fut pris à contre-pied.

Les Flops

Mats Hummels : On a rarement vu le défenseur central du Borussia aussi peu en forme. Il a complètement délaissé son partenaire, Subotic, seul face aux assauts bavarois. Imprécis dans ses relances, absent dans les duels, pris de vitesse régulièrement, il a bien failli offrir un but à Arjen Robben juste avant la mi-temps. Il fut finalement suppléé par son gardien devant le Néerlandais. Mais ce n’était que partie remise lorsque le Bavarois a offert la victoire à la 89e minute alors que la défense du Borussia prenait l’eau. Même ses quelques tentatives offensives n’ont rien apporté. Un match a oublié pour l’international allemand. Dante : Il fait la faute qui aurait pu faire chuter tout le Bayern. Une faute stupide et inutile, qui aurait pu aisément lui valoir un carton rouge direct, ou tout du moins un deuxième carton jaune. Finalement il ne sera pas averti mais il a redonné espoir à tout le Borussia en offrant un penalty aux jaunes et noires pour sa faute sur Marco Reus. Résultat, Gundogan inscrit le but égalisateur et cela aurait bien pu être pire si les joueurs du Borussia n’avaient pas sombré physiquement. Bastian Schweinsteiger : D'ordinaire tellement influent sur le jeu du Bayern, "Schweini" n'a cette fois-ci pas été si décisif pour son équipe. Devancé par un très bon Javi Martinez, l'international allemand n'a pas touché autant de ballons qu'à la normale. Il n'a pas illuminé le jeu bavarois de ses passes millimétrées, ni de ses centres parfaits pour ses attaquants. On ne peut pas parler réellement de mauvais match, mais plus d'absence. On n'en ai souvent venu à se demander si le milieu bavarois était bien présent sur le terrain. Sa première période fut à l'image de celle de son équipe. Il a très souvent été dominé par la paire Bender-Grosskreutz.

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Ribéry la tient enfin

Après deux finales perdues en 2010 et 2012, Franck Ribéry a remporté la Ligue des champions à sa troisième tentative avec le Bayern Munich, vainqueur du Borussia Dortmund (2-1) en finale à Wembley.

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Tout pour le Bayern





Le Bayern Munich a battu le Borussia Dortmund (2-1) en finale de Ligue des champions, grâce à un but de Robben dans les dernières minutes. Mais ça n'a pas été simple pour les Bavarois, qui se sont surtout fait bouger en première période.

Wembley pour exorciser tous ses récents démons. De retour pour la deuxième fois en trois ans dans « le temple du football anglais, européen et même international » selon les termes de Jürgen Klopp, aussi pour fêter les 150 ans de la Fédération anglaise, la finale de la Ligue des champions a vu le succès étriqué du Bayern Munich en bout de route face au Borussia Dortmund. Comme si le premier avait d'ailleurs profité du départ tout feu tout flamme de son adversaire pour lui planter un couteau dans le dos, à une minute du terme du temps additionnel. Car sous les yeux de 86 298 spectateurs, c'est bien le Borussia qui fait la meilleure première impression. Dès l'entame, Blaszczykowski ouvre sur la droite pour Reus, mais la volée du droit de Lewandowski passe de peu à droite du but gardé par Neuer (2e).

A l'instar de Gündogan sur Ribéry côté droit, les Borussen saisissent le problème bavarois à bras-le-corps. Le bloc positionné très haut du BVB et le pressing sur le porteur du ballon empêchent le rival de s'éloigner de sa propre moitié de terrain. Si les Munichois sortent enfin de leur coquille après 10 minutes de jeu, Kaiser Franck, qui attire la majorité des ballons côté gauche, a du mal à entrer dans son match. Sur une perte de balle bavaroise, Lewandowski arme une frappe enroulée du droit que Neuer détourne au-dessus de sa barre (13e). Une minute plus tard, Blaszczykowski, "Kuba" pour les intimes, se procure la plus belle opportunité du premier quart d'heure sur un centre en retrait de Reus, orphelin de son compère Götze (15e). En face, les longs ballons de Boateng ou Dante pour soulager leur arrière-garde peinent à arriver. Et quand ces derniers franchissent enfin le premier rideau défensif du BVB, Ribéry, Robben ou encore Müller manquent de précision dans leurs transmissions.
Neuer tient son rang

Incontestablement, le Borussia propose plus de percussion qu'un FCB qui a oublié de retirer le frein à main au coup d'envoi. Pour preuve, Bender, installé milieu défensif dans le 4-2-3-1 de Klopp, peut même prendre sa chance à l'angle gauche de la zone de vérité. Sans la vigilance de Neuer, le score nul et vierge aurait sans doute déjà évolué. Si l'ancien gardien du temple de Schalke 04 tient son rang, Weidenfeller n'est pas en reste à l'autre bout du terrain. Avec Ribéry qui monte en puissance, c'est tout le Bayern qui repart de l'avant. Au crédit d'abord du Tricolore, une première transversale côté opposée pour Müller puis, ensuite et surtout, un centre aux petits oignons pour Mandzukic (26e). La tête du Croate est cadrée, mais le portier des Jaune et Noir réalise un arrêt réflexe de grande classe sur sa ligne. Dans la minute qui suit, l'Espagnol Javi Martinez voit lui aussi son coup de boule flirter dangereusement avec la transversale adverse.

C'est un fait : le Bayern lâche enfin les chevaux, et Robben peut même se mordre les doigts de ne pas avoir suffisamment piqué son ballon sur un service de Müller (31e). En tout cas, les deux équipes se livrent corps et âme. Robben s'emmêle encore les pinceaux devant Weidenfeller après que Lewandoswki s'est lui éteint devant Neuer, malgré un contrôle des plus justes pour décoiffer Dante (36e). Vierge de tout but, cette première période contraste toutefois avec la précédente Ligue des champions 100% anglaise entre Chelsea et Manchester United, à Moscou en 2008. Quarante-cinq minutes de très haut niveau qui ne peuvent cependant donner une première indication sur l'identité du futur lauréat.
Wembley a un nouvel hôte de marque

Sous les yeux du président de l'UEFA Michel Platini et de la Chancelière Angela Merkel, laquelle devait avoir son cœur allemand partagé, la seconde période redémarre et les débats demeurent équilibrés. Tout du moins jusqu'à la 59e minute et un mouvement initié par Ribéry, poursuivi par Robben et conclu par Mandzukic. L'avant-centre ne rate pas sa deuxième occasion du match (0-1). Dans les tribunes, le masque de Mario Götze en dit long sur le coup du sort que vient de subir son Borussia. En attendant l'officialisation de son transfert vers le camp d'en face, le prodige formé dans la Ruhr reste un Dortmundais pur jus, suffisamment pour fêter l'égalisation sur penalty de Gündogan (68e, 1-1). La faute de Dante était bien trop grossière pour que M. Rizzoli ne la signale pas. Le match, déjà rythmé, prend alors une autre dimension.

Reus, parti depuis sa propre moitié de terrain, temporise et rate d'abord la réalisation du 2-1. Subotic sauve ensuite son camp sur sa ligne de but en dégageant un tir trop croisé de Müller (72e). Quant à Alaba, sa frappe sèche du cou-de-pied trouve les gants de Weidenfeller (76e). Le dernier quart d'heure du temps réglementaire s'annonce brûlant, entre deux clubs qui se connaissent par cœur. Suivi à la culotte, Robben ne peut réaliser sa spéciale en repiquant au centre pour décocher une flèche de son pied gauche (80e). Qu'importe, le Néerlandais repart au charbon et, étincelant lors des précédentes échéances, fait oublier son calvaire de la saison passée face à Chelsea. Sorti on ne saurait dire comment du marquage de Subotic et Hummels, Robben achève le gardien du Borussia d'un ballon qui franchit péniblement - mais pleinement - la ligne. Après Barcelone, tombeur de Manchester United voilà deux saisons, Wembley a un nouvel hôte de marque : le Bayern Munich.

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Ribéry, c'est l'éclate !





Franck Ribéry a donc gagné la Ligue des champions. Pas loin de l'expulsion, le Français n'a pas livré le match de sa vie. Mais son apport n'a pas été négligeable dans la victoire du Bayern. Infatigable, l'ex-joueur de l'OM a notamment délivré la passe décisive pour Robben.

Il n’aura pas forcément le Ballon d’Or Fifa pour autant, mais Franck Ribéry l’a fait: l’international français a fini par remporter la Ligue des champions, après deux premières tentatives infructueuses. La première, en 2010, n’en était pas vraiment une, puisque l’ancien Marseillais était suspendu et n’a pas participé à la défaite du Bayern face à l’Inter (0-2). Mais le souvenir de l’an dernier était en revanche bien plus vif, avec ce cruel revers à domicile aux tirs au but contre Chelsea. "Je n’ai pas envie d’en perdre une troisième", disait d’ailleurs Ribéry sur Canal+ après la qualification contre le Barça.

Pas étincelant comme il a pu l’être si souvent cette saison, Ribéry n’en a pas moins joué un rôle majeur à Wembley. Le natif de Boulogne-sur-Mer s’est d’abord montré nerveux, et ça a duré un petit bout de temps. Non sanctionné pour un coup de coude volontaire sur Lewandowski à la 26e minute, il aurait dû recevoir un jaune et certains arbitres zélés n’auraient même pas hésité à taper plus haut. Jamais avare d’efforts, Ribéry a ensuite reçu un carton jaune, pour de vrai cette fois, après une altercation avec Kevin Grosskreutz à la 74e minute (alors que le score était de 1-1).
Peut-être jusqu'en 2018

Là aussi, ça aurait pu finir un peu plus mal… En mettant sa tête en opposition face au visage de son vis-à-vis, "Kaiser Franck" a pris un gros risque. Paradoxalement, il peut remercier son adversaire direct de ne pas avoir simulé et de ne pas être tombé au sol: les deux joueurs n’ont pris qu’un avertissement… Ribéry a donc eu le droit de rester sur le terrain, et il l’a bien rendu à M. Rizzoli en se montrant décisif sur le but salvateur de Robben, qu'il avait déjà lancé pour l'ouverture du score de Mandzukic. Bien que détournée par Piszczek, la talonnade du Français a fini dans les pieds de son compère néerlandais, avec la fin que l’on sait.

"Ce ne sera pas facile contre Dortmund, c’est une équipe qui a un peu notre style, qui court beaucoup, présageait déjà Ribéry il y a près d’un mois. On espère qu’on sera meilleurs." Difficile à dire, et ça vaut aussi pour son cas personnel. Les supporters ne se posent pas ce genre de question, à l’image des écharpes à son effigie vues sur les images diffusées par Infosport+. Dans les bras de son agent Jean-Pierre Bernès, situé en tribune basse, l’intéressé ne se questionnait pas beaucoup non plus, tout à son immense joie. La suite avec Guardiola, et peut-être jusqu’en 2018 au moins, échéance à laquelle il pourrait prolonger son contrat.

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Les notes: Neuer a tenu la baraque



Le Bayern Munich a conjuré ce samedi soir sa réputation de chat noir européen en remportant la cinquième Ligue des champions de son histoire aux dépens du Borussia Dortmund (1-2), grâce à un but inscrit dans les toutes dernières minutes par Arjen Robben et un grand Manuel Neuer. Les notes.

Manuel Neuer: 8,5
L'homme fort du Bayern Munich. Des prises de balle rassurantes, des relances rapides. Beaucoup de travail. Robert Lewandowski, Jakub Blaszczykowski, Marco Reus ou encore Julian Schieber ont tour à tour buté sur le gardien de but allemand. En revanche, il ne peut rien sur le penalty réussi par Ilkay Gündogan car pris à contre-pied (1-1, 68e).

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Philipp Lahm: 7
À l'image de ses coéquipiers, le capitaine du Bayern a mis du temps à trouver la bonne carburation. Un retard à l'allumage qui s'est vu avec quelques mauvaises passes. Par contre, il a fini en trombe. Tout comme son homologue à gauche David Alaba.

Jerome Boateng: 6,5
Le défenseur central a coupé de la tête plusieurs offensives dangereuses du Borussia Dortmund. Préféré à Daniel Van Buyten car plus rapide que l'international belge, il a quand même été gêné par la couverture de balle de Lewandowski. Boite bas en fin de rencontre.

Dante: 5,5
De nombreux longs ballons signes d’impuissance pour commencer. Un carton jaune suite à une obstruction sur Reus (29e). C'est lui qui commet le penalty du Borussia après avoir donné un coup de pied dans le bas-ventre de… Reus. Le rouge n’était pas loin !

David Alaba: 7
On l'a écrit, la prestation de l'Autrichien ressemble fortement à celle fournie par Lahm. Et puis, de bons centres ainsi qu'une frappe somptueuse repoussée des deux poings par Roman Weidenfeller (77e). En deuxième période, il a enfin poursuivi ses actions côté gauche et donc donné des solutions à Ribéry.

Javi Martinez: 7,5
Toujours aussi précieux en soutien de Bastian Schweinsteiger. Pour lui: un coup de tête décroissé qui est passé juste au-dessus de la cage gardée par Weidenfeller (28e) et de bons retours, notamment dans les pieds de Reus.

Bastian Schweinsteiger: 6,5
Dans un premier temps, le pressing opéré par les Borussen a empêché la plaque tournante munichoise de tourner rond. Il faut dire qu'être harcelé sans cesse par deux ou trois adversaires, ce n'est pas facile à vivre et surtout cela ne permet pas d’accélérer le jeu. Du mieux par la suite. Preuve en est cette lourde frappe décochée des 18 mètres mais repoussée une nouvelle fois par Weidenfeller (86e).

Arjen Robben: 8,5
Le Néerlandais a d'abord eu du mal à faire les efforts défensivement, cela aurait pourtant aidé les Munichois à mieux ressortir le ballon. Offensivement, il a raté plusieurs énormes occasions devant Weidenfeller et sa mâchoire (31e, 43e). Si bien que l’ailler a regagné les vestiaires les yeux au ciel. Au retour, après une bonne combinaison avec Franck Ribéry à gauche, il a pris à revers toute la défense de Dortmund en adressant un centre légèrement en retrait pour Marijo Mandzukic, qui a marqué dans un but vide (1-0, 60e). À la fin du match, Robben a profité d'une talonnade astucieuse de Ribéry pour effacer Mats Hummels d'un crochet puis tromper Weidenfeller tout en douceur (2-1, 89e). Une belle revanche pour lui.

Thomas Müller: 8
Loin du niveau qui était le sien en demi-finales contre Barcelone. Jusqu'à la métamorphose bavaroise. Là, il est revenu dans la partie, a beaucoup bougé entre les lignes. Propre. Un de ses coups de tête a frôlé le cadre. Passe en retrait astucieuse sur la frappe somptueuse d'Alaba.

Franck Ribéry: 7,5
Comme son compère sur les ailes, il a souvent été pris dans son dos au début du match. Quand il a donné un coup de coude volontaire à Lewandowski, le Français s'en est bien sorti car M. Rizzoli ne l'a pas sanctionné. Il prendra tout de même un carton jaune suite à une friction avec Kevin Grosskreutz (74e). Finalement, l'ancien joueur de Marseille s'est montré déterminant sur les deux actions victorieuses du Bayern grâce à une bonne combinaison avec Robben puis une talonnade astucieuse pour ce même Robben. Le "Robbery" dans toute sa splendeur.

Marijo Mandzukic: 8
Dangereux de par son jeu de tête. Il a ouvert le score pour le Bayern Munich. Son troisième but en dix matches joués cette saison en Ligue des champions. Le Croate et son mètre 87 ont pesé.

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Les notes: Impuissant Weidenfeller

Auteur d’une prestation des plus soignées, avec bon nombre de parades à mettre à son actif, Roman Weidenfeller a payé cash le manque de communication de ses défenseurs.

Roman WEIDENFELLER: 7
Une prestation de haute volée… ternie par deux buts encaissés, sur lesquels il ne peut strictement rien. Le dernier rempart du Borussia s’est montré à son aise sur la pelouse de Wembley. Une claquette face à Mandzukic (28e), un réflexe et un heureux arrêt "de la joue" devant Robben (31e, 43e) lui ont permis de se mettre en jambes durant le premier acte. Abandonné par sa défense sur les deux buts du Bayern (60e, 90e), il a tout de même su faire étalage de toute sa classe lors du second acte, en s’envolant sur une belle frappe d’Alaba (76e) et en repoussant un missile de Schweinsteiger (86e). Un match frustrant pour celui qui n'a jamais été convoqué par Joachim Löw avec la Mannschaft.

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La revanche de Robben



Ecarté en début de saison, Arjen Robben a plané sur la finale de la Ligue des champions en offrant la victoire au Bayern Munich face au Borussia Dortmund (2-1). Avec une passe décisive et un but, le Néerlandais a enfin décroché un grand titre après trois finales perdues.

C’est l’homme de cette finale de Ligue des champions. Passeur décisif puis buteur, Arjen Robben a offert la victoire au Bayern Munich face au Borussia Dortmund (2-1) en marquant à une minute de la fin du temps réglementaire. Le Néerlandais brise ainsi la mauvaise spirale, après trois déceptions dans des grandes finales (Coupe du monde 2010, Ligue des champions 2010 et 2012). L’an dernier, les Bavarois avaient laissé filer la C1 face à Chelsea, sur leur pelouse de l’Allianz Arena, et Robben avait manqué un penalty au cours de la prolongation. D’un centre en retrait pour Mandzukic, premier buteur contre Dortmund, et d’un subtil ballon glissé pour le but de la victoire, il est entré dans la légende du Bayern.

Après une première période terne, à l’image de son équipe, Robben a été recadré par Jupp Heynckes à la pause. L’entraîneur munichois lui a demandé de se recentrer et de profiter des espaces créés par les déplacements de Mandzukic et Thomas Müller. A l’heure de jeu, sa vitesse d’exécution lui a ouvert une brèche dans la défense du Borussia. Lancé par Franck Ribéry côté gauche, le Néerlandais choisissait le geste juste, avec un centre en retrait hors de portée de Weidenfeller et dans le dos de Schmelzer, venu se placer sur la ligne. Mandzukic, l’attaquant croate, n’avait qu’à pousser le ballon dans les filets (1-0, 60e). Une demi-heure plus tard, alors que la prolongation semblait inéluctable, Robben utilisait à merveille une offrande du Français pour caresser le ballon et tromper le portier des Borussen, surpris et battu (2-1, 89e).

Très démonstratif au coup de sifflet final, l’ancien joueur de Chelsea et du Real Madrid fêtait avec les supporters le cinquième titre en Ligue des champions dans l’histoire du Bayern. Une manière de se réconcilier définitivement après des mois de doute en début de saison, auxquels des blessures à la cuisse et au dos ont largement participé. Barré par Müller et Tony Kroos, le Néerlandais est finalement redevenu indispensable aux yeux de Heynckes depuis le quart de finale contre la Juventus Turin. Buteur à l’aller et au retour contre le Barça en demi-finales (4-0 et 3-0), Robben a brillé en finale. Comme une revanche

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Dortmund-Bayern, la vidéo

http://www.sports.fr/football/ligue-des-champions/articles/dortmund-bayern-la-video-637010/

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Dortmund-Bayern (1-2) - Klopp : "Nous reviendrons en finale"

Malgré la défaite face au Bayern (2-1), Jürgen Klopp est fier de la prestation du Borussia Dortmund et voit bien son équipe revenir en finale de la C1.

"Après le match, j'ai dit aux joueurs que nous reviendrions en finale", a déclaré l'entraîneur du BVB. "Dans deux ans, ce sera à Berlin, donc un bon moment pour revenir en finale", a-t-il ajouté.

" Je félicite le Bayern et Jupp Heynckes qui méritent ce succès", a dit Klopp. "C'était un match dur. Certains joueurs avaient des crampes, la saison a été longue. Cela aurait pu tourner dans un sens ou dans l'autre. Je suis fier de mon équipe, qui a fait un bon match et a donné tout ce qu'elle avait", a-t-il estimé.

" Bien sûr pour le moment c'est la déception qui prédomine", a reconnu le coach du Borussia. "Quand j'ai revu l'action (de Dante qui a valu un penalty), j'ai pensé qu'il y aurait dû y avoir un deuxième carton jaune. Je ne sais pas ce que ça aurait donné à 11 contre 10. Nous avons montré que nous méritions d'être en finale. C'était probablement le meilleur match contre le Bayern cette saison", a-t-il conclu.

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Bayern - Dortmund, les réactions

Découvrez les réactions du Bayern Munich et du Borussia Dortmund, après la victoire du club bavarois en finale de la Ligue des champions (2-1).

Mats Hummels : "On était un peu fatigué à la fin et le Bayern en a profité. Le match était très serré, c'est très décevant pour nous. Le Bayern a soulevé la coupe et pas nous". Jurgen Klopp: "Je voudrais d'abord féliciter le Bayern. Il faut respecter le résultat. Nous méritions d'être en finale. Ce n'est pas la chose la plus importante, mais c'est quand même vrai. Roman Weindenfeller: "Nous sommes fier d'avoir pu rivaliser avec le Bayern. Nous avons très bien joué, mais cela n'a pas suffit". Philipp Lahm: "Nous avons travaillé de façon incroyablement dure depuis des années, et nous sommes finalement récompensés. Nous avons traversé beaucoup de choses". Jupp Heynckes : "Il y avait de la pression sur les deux équipes mais nous avons senti le poids d'être favoris dans les premières 20 minutes. Nous ne sommes pas bien entrés dans le match en première période donc j'ai corrigé quelques choses par la suite".

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Dortmund-Bayern (1-2) - Lahm : "Finalement récompensés"

Philipp Lahm a mesuré le chemin parcouru par le Bayern après la victoire sur Dotrmund (2-1) en finale de la Ligue des champions. "Nous avons travaillé de façon incroyablement dure depuis des années, et nous sommes finalement récompensés", s'est réjoui le capitaine du Bayern. "Nous avons traversé beaucoup de choses", a-t-il ajouté.

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Finale Ligue des champions 2013: Jupp Heynckes: "Favoris dans les premières 20 minutes"

Victorieux face à Dortmund (2-1) en finale de Ligue des champions, Jupp Heynckes a confié qu'il avait senti que le Bayern était favori "dans les premières 20 minutes"

"Il y avait de la pression sur les deux équipes mais nous avons senti le poids d'être favoris dans les premières 20 minutes a expliqué l'entraîneur du Bayern. Nous ne sommes pas bien entrés dans le match en première période donc j'ai corrigé quelques choses par la suite".

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Robben : "Je n'arrive pas à y croire"


Auteur du but décisif en toute fin de match face au Borussia Dortmund, en finale de la Ligue des champions, samedi soir à Wembley, Arjen Robben a fait part de son immense satisfaction à l'issue de la rencontre.

"Nous avons fait un grand match et nous sommes tous vraiment très excités par cette victoire. Je n’arrive pas à y croire !" a en effet réagi l'ailier néerlandais au coup de sifflet final

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Ribéry :"La 3e a été la bonne"


Après avoir remporté la première Ligue des champions de sa carrière, Franck Ribéry s'est montré plus que satisfait du sacre du Bayern Munich face au Borussia Dortmund (2-1).

"La troisième a été la bonne. C’est quelque chose d’extraordinaire. On pensait à cela depuis un bon moment. L’effet que ça fait quand tu regardes tout le monde d’en haut avec la Coupe, c’est magnifique. C’est mérité, même si ça a été difficile. Nous n'avons rien lâché. On a eu 20 premières minutes très difficiles. Il fallait passer par la. On a continué à jouer, en travaillant tous ensemble. Au final, on est content d’avoir gagné et ce club le mérite. L’année dernière on a été meilleurs que Chelsea et on a perdu. Cette fois, c’était plus équilibré. Personnellement, j’ai beaucoup couru et dans les deux, trois moments importants du match, j’étais présent et ça fait du bien. Nous allons partager cela un peu avec la famille. C’est exceptionnel et c’est aussi un soulagement" a déclaré Franck Ribéry au micro d'Infosport+

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La presse allemande salue une victoire méritée du Bayern et encense Robben


Les journaux allemands célébraient dans leurs éditions en ligne une victoire méritée du Bayern Munich en finale de la Ligue des champions et encensaient le milieu international néerlandais Arjen Robben, buteur décisif.

"Le Bayern a la Coupe", soulignait le quotidien populaire Bild, tout en n'oubliant pas de saluer le perdant: "gardez la tête haute à Dortmund, vous êtes le vainqueur des coeurs". Pour le journal, Robben a été le "roi de Wembley", le stade où s'est déroulé la finale.

"Quel suspense, que de sensations fortes", s'enthousiasmait également le titre dans lequel le "Kaiser" Franz Beckenbauer, légende du football allemand, notait: "Dortmund n'a jamais abandonné le match au Bayern. Et quelle folie avec ce Robben ! Exceptionnelle, la façon dont il a marqué ce but".

Pour le quotidien bavarois Süddeutsche Zeitung, "Robben a envoyé le Bayern sur le trône". C'était "une finale passionnante". "Après un début de match endormi, les Munichois sont revenus dans la partie et se sont trouvés à la fin un mémorable +matchwinner+, Robben", estime le journal.

Le quotidien conservateur Die Welt et le magazine spécialisé Kicker reprenaient également les métaphores du trône ou de la couronne, le second décernant en outre une mention spéciale à la performance des deux gardiens de but, exceptionnels tout au long de la rencontre.

"Le Bayern enfin au paradis", titrait de son côté le Frankfurter Allgemeine Zeitung. "Le Borussia Dortmund a tout fait aux Munichois mais un but tardif de Robben a transformé les favoris en vainqueurs de la Ligue des champions. Un dédommagement après tant de déceptions les années précédentes", soulignait-t-il, rappelant ainsi les déconvenues du club bavarois l'an passé (face à Chelsea) et en 2010 (face à l'Inter Milan) en finale de la compétition.