[Sports Automobile] Sujet Général (2)

Sujet: [Sports Automobile] Sujet Général (2) Jeu 28 Mar 2013 - 15:31

Rappel du premier message :

Y'a-til des fans de formule 1, rallye, moto gp......

Parlons en ici

Citation :: Austin, FP3 : Espargaro, Redding, le duel se précise ! Zarco est huitième.

Les pilotes Moto2 viennent d’en finir avec la troisième et dernière séance d’essais libres avant les qualifications et à l’instar de leurs collègues du Moto3 et du MotoGP, ils ont encore gagné une seconde par rapport au meilleur chrono de la veille.

Si Redding s’est montré à son avantage, c’est pourtant Espargaro, qui avec un chrono de 2.11.575, a réalisé le plus grand bond en avant et a pris la première place avec 83 millièmes d’avance sur le Britannique.

Nakagami, comme au Qatar, prend la troisième place (+0.327) et devance Nico Terol (+0.588) qui a commis l’une ou l’autre erreur et Esteve Rabat (+0.797), l’équipier d’Espargaro.

Le premier Français de la matinée, c’est Johann Zarco (+1.125), il prend la huitième place, juste devant le seul Belge du plateau, Xavier Simeon (+1.217).

Mike Di Meglio n’a pas trouvé son rythme ce matin et n’occupe que la dix-huitième place à 1.920 seconde.

Quant à Louis Rossi, il est vingt-septième à 3.791 secondes.

Citation :: Moto
Austin : Rossi et Lorenzo ne sont pas inquiets

Les pilotes Yamaha savent qu’ils ont encore un sérieux écart à combler pour tenter de décrocher la pole à 14h, heure du Texas, mais il paraît peu probable que ce soit réellement ce qu’ils visent.

En effet, en FP3, Lorenzo pointait à 887 millièmes de Pedrosa et Rossi à 1.765 secondes.

Pourtant, l’Espagnol se montrait satisfait du pas en avant effectué sur la moto même s’il déplorait un écart encore trop important par rapport au leader.

« Je suis très content de l'amélioration que nous avons réalisée sur la moto ce matin. Cette troisième séance d'essais libres était beaucoup meilleure qu'hier mais d’un autre côté nous sommes en retard par rapport à Dani. Ce matin, nous avons essayé d'améliorer le grip des pneus arrière: maintenant je me sens mieux sur la moto mais il nous manque encore quelque chose. Quoi qu'il en soit, nous nous améliorons petit à petit et c'est la seule chose positive. Nous devons encore travailler avant la qualification afin d’essayer de réduire l'écart autant que possible. Nous verrons si nous pouvons faire un pas de plus pour obtenir une bonne position sur la grille de départ. La première ligne est l’objectif ».

Quant à Rossi, sa situation paraît encore moins enviable que celle de son voisin puisqu’il se trouvait de nouveau en septième position à l’issue du FP3.

Qu’à cela ne tienne, l’Italien semble toujours confiant quant au progrès qu’il pourra réaliser pour la qualification. La question restant de savoir jusqu’où ces progrès pourront le mener.

« Notre position après la troisième séance n’est pas fantastique mais nous étions juste concentrés sur le fait de trouver le bon équilibre et le bon réglage pour la séance de qualification de cet après-midi. Nous avons essayé quelques distributions des poids différentes et quelques réglages différents: certains d'entre eux fonctionnent, d'autres pas, mais c'était un travail important pour cet après-midi. Maintenant, nous allons essayer de mettre tout à la suite et faire de notre mieux à 14 heures ».

Citation :: Quelle stratégie pour la course demain ?

Selon Pirelli, l’écart relativement faible entre les deux mélanges – durs et médiums – ouvre un large éventail de stratégies pour Le Grand Prix demain.

Il n’y aura pas une solution unique pour réaliser une bonne course. Prendre le départ en médiums ou en durs ne fait pas une grande différence, estime Paul Hembery, directeur de Pirelli Motorsport :

“L’écart de performance entre les deux mélanges est bien plus faible qu’en Chine – environ 0’6 au tour –, ce qui signifie qu’il existe plusieurs possibilités différentes pour les stratégies et non un seul chemin unique à emprunter. Nous avons déjà vu cela en qualifications, les équipes adoptant des approches différentes lors de chaque séance.”

La stratégie la plus commune devrait être de trois arrêts : prendre le départ en mélange médium, pour changer avec de nouveaux médiums au tour 8. Un troisième train de médiums serait à passer au tour 24, avant de mettre les durs au 38ème passage.

Si l’on part en pneus durs, comme Felipe Massa (qui a signé un 1’33”207 contre 1’32”667 pour Fernando Alonso, chaussé de tendres), le premier changement aura lieu au 10ème passage pour un autre train dur, puis un nouveau passage en durs au 25ème tour, pour finir avec les médiums à partir du tour 41.

Une stratégie à deux arrêts n’est pas non plus exclue, avec deux relais en durs et un en médiums, si la dégradation du train arrière peut être maintenue à un niveau décent durant les 57 tours de course. Une approche flexible de la stratégie peut payer, mais il sera important de trouver des espaces dans le trafic en raison de la facilité de dépassement en piste.

Citation :: Moto
Austin, QP : Rins prend la pole. Alexis Masbou est neuvième

Après la troisième séance d’essais libres, Alex Rins partait favori pour les qualifications tant sa domination avait été totale.

Derrière lui, seuls Salom et Viñales semblaient en mesure d’éventuellement le contrer et sans surprise, ce sont ces trois garçons que nous retrouvons aux trois premières places. Rins devance Salom et Viñales.

Derrière, c’est Jack Miller qui prend la quatrième et Jonas Folger, au prix d’un dernier tour de toute beauté, qui prend la cinquième.

Mais ce qui nous fait réellement plaisir, c’est la très belle neuvième place d’Alexis Masbou qui pourtant, jusque-là, n’avait pas spécialement brillé.

Au rayon des pilotes qui se sont effondrés après de belles séances libres, on retrouve Fenati, dix-septième, Vazquez, quinzième et Oliveira, dix-huitième.

Citation :: Moto
Austin, FP4 : Marquez reprend la tête avant la qualification

Désormais, avec le nouveau système de qualification, les pilotes MotoGP ont droit à une quatrième séance d’essais libres de 30 minutes avant que les moins rapides disputent la Q1 et que les deux meilleurs rejoignent les dix plus rapides pour disputer laQ2.

Juste un petit mot pour accompagner notre tableau et vous dire que Marquez a repris sa place de leader en étant le seul à passer sous la barre des 2.04

Le rookie a de nouveau dominé son équipier, Dani Pedrosa et le Champion du Monde, Jorge Lorenzo.

Crutchlow, Bradl et Dovizioso suivent.

Valentino Rossi est septième malgré le fait qu’il ait réalisé son meilleur tour du week-end.

Citation :: Moto
Austin, Q1 : Espargaro et Smith vont en Q2
Les douze pilotes qui vont se disputer la pole position sont maintenant connus puisque c’est une fois encore Aleix Espargaro qui a pris le meilleur chrono de la Q1.

Jusque dans les dernières secondes c’est Iannone qui semblait le mieux placé pour l’accompagner mais c’est finalement Bradley Smith qui s’est qualifié pour le Q2.

Iannone est donc éliminé, tout comme Randy de Puniet qui doit se contenter de la quatrième place.

Citation :: Moto
Austin, Q2 : Marquez, imperturbable, prend la pole devant Pedrosa et Lorenzo

GP-inside

Depuis ses premiers tours de roue sur le COTA, Marc Marquez, le rookie de Repsol Honda, a dominé ses expérimentés adversaires et aujourd’hui, en qualifications, il a concrétisé cette domination par la première pole de sa carrière en MotoGP.

On a même cru que l’espagnol allait passer sous la barre des 2.03 mais c’est finalement sur un chrono en 2.03.021 qu’il s’est arrêté.

Après sa chute du matin, il n'est pas inutile de rappeler la force de caractère de ce jeune garçon de 20 ans qui demain, pourrait battre le record de Spencer

Il devance son équipier, Dani Pedrosa, qui lui aussi, a effectué un sacré bond en avant (+0.254).

Jorge Lorenzo (+1.079) n’a jamais semblé être en mesure de se hisser au niveau des pilotes Repsol et dans son avant-dernière tentative, suite à un incident avec Andrea Dovizioso (à vérifier), le Champion du Monde se voyait contraint d’effectuer un ‘Ride Through’ qui l’empêchait de tenter sa chance une dernière fois. Il remplit toutefois l’objectif qu’il s’était fixé puisqu’il avait pour ambition d’accrocher la première ligne.

Cal Crutchlow (+1.246) a encore réalisé de l’excellent travail et il s’en est finalement fallu de peu pour que ce soit lui qui s’élance de la première ligne. Il clôture à 167 millièmes de Lorenzo.

Stefan Bradl (+1.424) n’a pas pu s’adjuger la place dont il rêvait, celle juste derrière les Honda officielles. Il prend le cinquième chrono devant Dovizioso (+1.852), Bautista (+1.921), Valentino Rossi (+2.359) et le toujours meilleur Aleix Espargaro (+2.368).

Hayden (+2.547), Smith, repêché des Q1 (+3.719) et Spies (+4.023) ferment la marche de ces Q1.

Citation :: GP des Amériques-Moto2: La pole pour Redding

Brillant dans le dernier tour des qualifications, Scott Redding a en profité pour décrocher la première pole position de sa carrière, samedi à Austin, théâtre du Grand Prix des Amériques. Sur la première ligne de la catégorie Moto2, le Britannique âgé de 20 ans sera accompagné dimanche de Takaaki Nakagami et de Nico Terol.

Citation :: GP des Amériques-MotoGP: Marquez, une première record

Marc Marquez est devenu samedi le plus jeune pilote à prendre la pole position de toute l’histoire de la catégorie reine, le MotoGP. A 20 ans, le rookie espagnol établit un nouveau record qui appartenait précédemment à Freddie Spencer grâce à son chrono de 2'03''012 réussi lors des qualifications du Grand Prix des Amériques. Dani Pedrosa (+0''254) et le champion du monde Jorge Lorenzo (+1''079) complètent une première ligne 100% espagnole. En Moto3, c'est un autre espagnol, Alex Rins, qui s'élancera en première position dimanche du côté d'Austin.

Citation :: Moto
Austin : Mike Di Meglio, déçu mais confiant

A l’instar de Johann Zarco, le week-end de Mike Di Meglio avait très bien débuté mais hier, au CotA, le Toulousain a malencontreusement chuté et ruiné ses espoirs de pouvoir obtenir une bonne position sur la grille.

Il s’agira donc maintenant de prendre un bon départ tout en restant prudent car le premier virage n’est pas serré, il l’est extrêmement et en s’élançant au milieu du peloton, le danger sera partout.

Toutefois, s’il parvient à passer cet écueil, Mike Di Meglio pense pouvoir disputer une bonne course tant il se sent à l’aise sur la moto.

« Je suis malheureusement déçu par ce qui s'est passé, je sentais que je pouvais faire un bon chrono et je poussais fort pour l’améliorer, mais je suis tombé. Nous savons maintenant qu'un bon départ demain sera essentiel afin d'essayer de récupérer des positions et faire une bonne course. Pour être honnête, je suis assez confiant que ça puisse se produire parce que le set-up que nous avons trouvé avec les gars m'ont mis à l'aise, donc je suis positif et j'espère réaliser une bonne course ».

Citation :: Grand Prix du Bahreïn : les pilotes toujours sans signaux lumineux

Les pilotes seront de nouveau privés de signaux lumineux dans leur cockpit pour le Grand Prix de Bahreïn de ce dimanche, dont le départ sera donné à 14 heures en France (cliquez ici pour consulter la grille de départ). La FIA n'est toujours pas parvenue à rétablir une bonne transmission de télémétrie entre les voitures et la direction de course.

Lors des trois Grands Prix précédents, les signaux lumineux normalement envoyés dans les cockpits (indications de drapeaux bleus, etc.) par Charlie Whiting n'étaient déjà pas de mise. Les pilotes avaient dû redoubler de vigilance en regardant les drapeaux agités par les commissaires. La FIA a changé de fournisseur de télémétrie durant l'hiver, ce qui explique les problèmes rencontrés en ce début de saison, au grand dam des pilotes et des écuries.

Citation :: Grand Prix du Bahreïn : Grosjean a trouvé la solution à ses problèmes

Romain Grosjean nous a révélé à Sakhir qu’il avait enfin trouvé la solution aux problèmes qu’il rencontrait au volant de sa Lotus depuis le début de la saison.

"Toutes mes interrogations sont levées. Nous pouvons dire que nous sommes repartis sur une bonne base à partir de laquelle nous pouvons travailler", nous a-t-il confié, non sans cacher son soulagement.

"Nous avons beaucoup travaillé ce week-end et nous avons fini par résoudre les problèmes que nous avions depuis ce début de saison. Pour tout vous dire, nous avons découvert la supercherie vendredi soir. Je ne peux pas trop en parler, mais c’est exactement le même problème que j’avais déjà rencontré l’an dernier quand j’étais nulle part à Hockenheim, le vendredi à Budapest ainsi qu’à Spa-Francorchamps."

"En gros, sans entrer dans les détails car c’est confidentiel, c’était un souci de corrélation entre le mapping, le pilotage et les pneus. Dès le premier tour hier matin en essais libres, j’ai retrouvé les sensations que j’aimais avoir dans une voiture, ce qui est positif."

Grosjean estime que son début de saison pour le moins difficile aurait pu être évité s’il n’avait pas changé d’ingénieur au cours de l’intersaison. "J’ai changé d’ingénieur électronique cet hiver. Je pense que cela m’a fait un peu reculer", a-t-il conclu. Le Français s’élancera de la 11ème place cet après-midi au Grand Prix de Bahreïn (cliquez ici pour consulter la grille de départ).

Citation :: Grand Prix de Bahreïn : Räikkönen moins bien loti que Grosjean ?

Romain Grosjean estime avoir de meilleures chances que son équipier Kimi Räikkönen pour le Grand Prix de Bahreïn, dont le départ sera donné à 14 heures en France. En manquant la troisième partie des qualifications, le Français, qui partira de la 11ème place, a économisé des trains de pneus neufs, à l'inverse de son équipier finlandais, seulement huitième sur la grille de départ.

Ces jeux non entamés pourraient conférer un avantage non négligeable à Grosjean cet après-midi. Avec une température de piste qui devrait atteindre les 45°C au moment du départ à Sakhir, les Pirelli pourraient se dégrader très rapidement. "Si l’on compare ma situation à celle de Kimi, on peut penser que la mienne est meilleure, nous a déclaré Grosjean. Après, la journée de vendredi n’a pas vraiment servi à grand-chose me concernant, je ne sais donc pas à quoi m’attendre pour la course

Citation :: Ecclestone : "Un Grand Prix à Bahrein, c'est stupide !"

Jamais avare de commentaire sur des sujets un peu brûlants, Bernie Ecclestone s'est exprimé au micro de la BBC samedi en déclarant : "Il faut croire que le gouvernement est un peu stupide d'organiser un Grand Prix à Bahreïn, car cela représente une plateforme pour les protestataires du régime..."

"Je pense que c'est bien de venir ici, ce n'est pas à nous de décider de la politique, bonne ou mauvaise. C'est un bon circuit, une bonne course à laquelle tout le monde est heureux de participer."

"Les parlementaires anglais se manifestent une fois par an, à cause du Grand Prix, sinon on ne les entend pas sur le sujet. Je vais m'entretenir avec le leader de l'opposition après les qualifications, au moins ici les gens se parlent, et les droits de l'homme concernent ceux qui vivent ici : nous ne sommes pas là pour juger."

Le Prince régnant Salman Al-Khalifa n'a pas mal pris les réflexions de Mister E : "Bernie est Bernie, il adore les petites phrases et possède un sacré sens de l'humour. On sait qu'il peut être sarcastique. Nous apprécions son support."

Les organisateurs du Grand Prix ont même demandé au grand argentier de redevenir la manche d'ouverture du calendrier mondial, comme en 2006 et en 2010, en proposant une ultime séance d'essais privés la semaine précédente. Ecclestone n'a pas dit non, en se contentant de préciser qu'il allait étudier la situation...

Citation :: Moto
Crutchlow : « être devant Rossi et Bradl, c’est une grande réussite »

Cal Crutchlow a l’habitude d’être rapide lors des qualifications et hier, il a encore démontré que c’était bel et bien le cas.

Toutefois, en partant avec un handicap sur ses adversaires les plus incisifs (il n’a pas testé à Austin en mars), il savait que la mission serait compliquée mais le Britannique a appris vite et bien et s’est finalement adjugé la quatrième position.

Il faudra maintenant confirmer en course et tenter de ramener de gros points à Bormes-les-Mimosas.

« Je suis vraiment heureux de me qualifier en quatrième position, même si j’aurais préféré être une nouvelle fois sur la première ligne. Mais venir ici sans aucune expérience de la piste signifiait que la bataille allait être compliquée. Terminer aussi près de Lorenzo et être en avance sur Bradl et Valentino, qui ont testé ici le mois dernier, c’est une grande réussite pour moi-même et pour Tech3. C'est une piste longue et technique, mais heureusement j'ai pu l'apprendre très vite et mon équipe a également été attentive à ce dont j’avais besoin pour aller vite et ensemble, nous avons fait un excellent travail. Je suis évidemment très loin de Marquez et de Dani mais c'est le cas pour tout le monde. Ce sera une course très difficile et très physique pendant 21 tours, mais en arrivant ici et vu que nous n’avions aucune connaissance de la piste, j'ai toujours dit qu’avec un top six, la mission serait accomplie. C’est mon objectif.

"

Citation :: Pirelli reparti pour cinq ans ?

Martin Brundle l'a affirmé hier dans ses commentaires sur Sky Sport : Pirelli aurait renouvelé son partenariat avec la F1 pour cinq saisons (2013-2017) en tant que fournisseur unique.

"J'ai eu l'information de quelqu'un qui est supposé être au courant..." a dit l'ancien pilote anglais. Sans doute Bernie Ecclestone, puisque Mister E. a également sous-entendu ce week-end que, de son côté, tout était en ordre pour prolonger l'accord avec Pirelli.

Selon certaines sources, les négociations sont menées par la FOM et non la FIA, ce qui implique qu'un appel d'offres n'est pas nécessaire.

La rumeur d'une candidature du coréen Hankook, qui avait été relancée en début de semaine, semble donc avoir fait long feu. Même si chez Pirelli, Paul Hembery insiste pour souligner que les pourparlers sont en cours mais qu'ils ne sont pas finalisés, et que le plus tôt est le mieux étant donné le challenge technique que représente le règlement 2014. Gageons que la confirmation du deal devrait intervenir sous peu.

Citation :: Moto
Aleix Espargaro, c’est l’autre homme du jour !

Depuis le début de la saison, Aleix Espargaro est en train de confirmer qu’il ne doit son titre virtuel de meilleur pilote CRT en 2012 qu’à lui-même !

Hier encore, l’Espagnol a, pour la seconde fois en deux courses, réussi à se hisser en Q2 après avoir remporté la Q1.

Et ce n’est pas pour y faire de la figuration puisqu’il y prenait la neuvième place, à seulement 9 petits millièmes de Valentino Rossi et en laissant derrière lui Nicky Hayden, Bradley Smith et Ben Spies.

« Je suis vraiment satisfait de la façon dont les choses ont tourné en qualifications et dans la dernière demi-heure d’essais où j'ai fait une simulation de course de dix tours avec des pneus usagés. Ça s'est très bien passé et je me sentais très souple. Puis, en qualifications, j’ai été capable, à certains moments, d’être vraiment rapide avec un réservoir presque vide. Nous avons accompli un gros travail en nous rapprochant autant des motos officielles. Avec le châssis, nous avons un set-up presque parfait et ça signifie que je peux rouler en confiance. Nous travaillons avec cette équipe depuis un an et demi maintenant et le travail d’équipe est incroyable, nous obtenons le maximum absolu de notre matériel ».

On parle beaucoup de Marquez mais indubitablement, Espargaro est lui aussi l’homme du jour. Sera-ce suffisant pour obtenir un ticket sur une moto compétitive ? Ce ne serait en tout cas pas démérité !

Citation :: Moto
Rookies Cup : Toprak Razgatlioglu, la Turquie s’est découvert un nouveau talent!

Hier, Austin coïncidait avec la grande première pour les jeunes espoirs de la RedBull MotoGP Rookies Cup.

Si devant, c’est Bradley Ray qui a donné la leçon à tout le monde (il s’impose en roue libre avec 6.554 secondes d’avance), tous les regards se sont tournés vers un jeune dont nous sommes bien incapables de prononcer le nom et encore moins de l’écrire sans un copié-collé!

Toprak Razgatlioglu a seize ans et hier, pour sa première grande course internationale, après s'être qualifié en huitième position, il s’est permis de faire douter Karel Hanika, le grand favori de la coupe, jusqu’à la ligne d’arrivée. Il termine finalement troisième et s'offre son premier podium.

Il faudra confirmer aujourd’hui, lors de la seconde manche mais une chose semblait claire après cette épreuve, la Turquie s’est découvert un nouveau talent.

Citation :: Moto
Austin : Aegerter se réjouit de sa qualification mais se méfie des Dunlop

Comme à peu près tous les pilotes Moto2 du plateau, la première chose que Dominique Aegerter a tenu à signaler après s’être réjoui de sa cinquième position, c’est la difficile gestion des pneumatiques.

Xavier Simeon nous le rappelait hier et c’est également le cas de Domi qui estime que la gestion des pneumatiques sera la clé de ce premier Grand Prix des Amériques de l’histoire.

Quoi qu’il en soit, malgré une petite chute en début de séance, Dominque Aegerter a une nouvelle fois démontré qu’il faudrait compter sur lui en course.

« Comme au Qatar, je me trouve dans une position très intéressante, au milieu de la deuxième ligne de la grille. Ce matin, nous avons essayé quelques autres choix techniques, en vain; cet après-midi, avec la base dont nous disposions, j'ai réussi dès le deuxième tour à améliorer mon chrono matinal. Après, il y a eu cette petite chute, sans grands dégâts heureusement, mis à part un échappement et une partie du carénage. J'ai pu repartir en fin de séance et encore améliorer mon chrono, tout cela est prometteur. Mais attention, la course sera longue, 19 tours, et je crois, comme tout le monde, que la clé se situera dans la gestion des pneumatiques, qui souffrent beaucoup sur ce tracé ».

Citation :: Moto
Une moto française en MotoGP? Avec le projet GECO, c'est possible!

Alors que le Championnat du Monde MotoGP a repris ses droits et que comme la plupart d’entre vous, nous piaffons d’impatience à l’idée de voir les moteurs rugir sur les pistes du monde entier, d’autres, comme Eric Offenstadt et son équipe, continuent leurs recherches pour ramener une moto de conception française parmi l’élite.

Quoi ? Une moto française en course d'endurance ? Un concept tricolore ? Parfaitement !

Pour les adeptes des revues spécialisées ou les membres du groupe facebook « une moto française en MotoGP », le sujet n’est pas neuf. Toutefois, c’est aussi de ceux qui, aujourd’hui encore, viennent de se poser les trois questions précédentes, qu’Eric Offenstadt a besoin.

Mais commençons par le début, la remise en question de plusieurs décennies de recherche du monde des deux roues.

Certains conformistes imperméables aux nouveaux courants de pensée vont probablement avoir envie de mettre un terme anticipé à leur lecture mais pourtant, si vous lui accordez dix petites minutes, le GECO pourrait bien vous étonner.

GECO, c’est le nom du prototype qui, aujourd’hui à l’étude, pourrait, si on lui en offre les moyens, se concrétiser sur les circuits et donner aux français l’orgueil et la fierté qui, en 2007, a comblé les tifosi de la Ducati.

A la base de ce projet novateur, on retrouve une notion clé, la fonction homocinétique (utilisée en F1 depuis 50 ans).

GPi : Eric, comment en es-tu arrivé à vouloir créer une alternative à la suspension traditionnelle ?

Pour parler populaire, je dirais que j’ai mis 35 à comprendre comment fonctionnait une moto. Après avoir arrêté de courir, je suis rentré dans une société de la plus grande zone industrielle de l’époque française, près de Pontoise et on y a construit la première transmission arrière homocinétique mais sans le savoir, c’était purement intuitif.

A cette époque, nous avions construit un bombardier avec une transmission arrière qui réduisait l’usure du pneu et ça s’entendait directement au bruit lorsqu’elle passait sur les bosses. La transmission supprimait les accélérations de roue parasites.

Ensuite, c’est en travaillant pour les fourche W.P., qui avait loué un de mes brevets, et Aprilia qui m’avait demandé de lui construire une suspension avant alternative, que je me suis rendu compte que ce qui avait l’air très compliqué, à savoir les accélérations de roues parasites, était ce qui provoquait toute l’adhérence et toutes les réactions entre la machine et son centre de gravité.

GPi : est arrivé ensuite le proto Tecmas…

Ça, c’est 5 ans plus tard et cette fois, nous avons travaillé sur l’avant et sur l’arrière. Sylvain Guintoli l’a essayé. Il tournait à 1,2 seconde des Ducati d’usine au test Michelin (même jour, même pneu) avec le vieux proto Tecmas 500 bicylindre. Malheureusement, l’écurie n’avait pas un sous et ne pouvait pas construire.

A l’époque, Sylvain avait demandé à son écurie en 250 de monter les T de fourche sur son Aprilia, ce qui a été refusé. C’est dommage puisque lorsqu’il a été interviewé par Moto Revue il y a de ça deux ans, il avait déclaré avoir enrhumé Bayliss, or, à l’époque, je ne pense pas qu’il roulait aussi vite que l’Australien.

Tecmas a été viré des Grands Prix par la Dorna et n’ayant plus les fonds nécessaires, le proto a été vendu à un particulier.

GPi : Après cette mise en bouche, on en arrive à ne plus tenir en place. Qu’est-ce que le principe homocinétique ?

Le principe homocinétique, qui est présent sur les voitures depuis 1963, signifie que les bosses ne font pas accélérer ou décélérer les roues c’est-à-dire qu’il n’y a pas de perte d’adhérence des roues en passant sur les bosses.

Les cardans homocinétiques sur les voitures ont 50 ans ! En Formule un, ils vont jusqu’à traquer la fonction homocinétique au centième de millimètre. Ils vont même jusqu’à calculer l’influence de chaque coup de piston 600 fois par seconde sur l’accélération de la roue tellement c’est néfaste à l’adhérence tandis que nous, les motards, on a 45 millimètres à l’avant !

En fait, sur les motos, on a un tas de défauts homocinétiques et tout le monde s’en fou. En fait, on ne s’est jamais posé la question.

GPi : et le GECO là-dedans, il en est où ?

Le GECO c’est une des applications de ce principe, aussi bien au niveau de la suspension avant que de la suspension arrière.

Sur notre groupe Facebook, nous avons monté une association afin de récolter un peu de fonds. Nous avons déjà pu recueillir 10.000 euros et c’est déjà énorme car nous partions sans le moindre budget et aujourd’hui, il est de 25.000 euros. Nous pouvons respirer un tout petit peu: Mais c'est juste assez pour la mettre sur roues. Quand on voit le budget que trouve le père d'Abraham pour faire quelques points au championnat, c’est un peu triste. Notre projet en est à une quarantaine de pages dans la presse avec 0 euros de budget et c’est pour nous difficile de comprendre que certaines personnes dépensent autant d’argent pour aussi peu de retombées, mais c’est un autre débat.

GPi : Tu as tout de même reçu quelques soutiens ?

D’abord, par l’intermédiaire de Christophe Guyot que je remercie, Eric de Seynes nous a prêté une R1 et le service "recherche compétition" de Michelin nous offre sa collaboration technique. Ensuite, nous pouvons également compter sur le soutien de Spem, de l’Université de technologie de Montpellier, de Paul Mas, de l’Assurance mutuelle des motards, de TS, de Titan, de Rome motos, de France équipement et du Lycée Jean Moulin de Béziers.

Maintenant, nous avons un stagiaire qui se consacre entièrement au dessin de pièces.

Certaines pièces sont usinées mais cette moto, c’est 15 fois plus de travail qu’une machine traditionnelle parce que tout est à dessiner alors que sur une moto traditionnelle, tout est dessiné depuis toujours, il n’y a pas d’étude de géométrie ou de calculs de cinématique à faire, il suffit de commander la fourche chez Öhlins. C’est finalement assez simple pour faire une moto dans le coup, il suffit d’en prendre une qui gagne et la copier !

GPi : Si tout se passe comme prévu, quand voudrais-tu présenter la moto au public ?

Pour l’instant, le programme prévoit que nous allons essayer de présenter la moto pour la manche du Superbike à Magny-Cours. Mais la rapidité est entièrement liée au financement. Plus nous récoltons de fonds plus vite nous allons pour faire usiner des pièces. Pour le moment, nous faisons tout à l’ancienne, par des bénévoles et au meilleur tarif possible.

GPi : Une idée de qui va l’essayer ?

Je sais déjà que ce sera Bruno Vecchioni qui fera le premier déverminage, histoire de voir quand on passe la première, si la moto roule et quand on freine, si ça freine.

Après, le pilote pressenti pour le développement, c’est Thomas Métro. Evidemment, Thomas est fort typé Ducati et ce n’est pas certain qu’il puisse nous donner des renseignements comparatifs avec une R1.

De suite après, ce seront les pilotes de Christophe Guyot qui prendront le relais à moins que Thomas Métro ne se mette dans le coup directement.

Le développement sera compliqué car nous avons à dégrossir des tas de choses complètement inconnues jusqu’à maintenant.

GPi : Et au niveau de l’électronique ? Quid ?

Les essais, nous allons les mener avec un moteur stock et une électronique basique.

GPi : Elle te permettra tout de même de récolter des données utiles ?

Il s'agit de comparer les chronos de notre moteur R1 "STOCK" avec une R1 "stock". Le souci c’est que cette moto-là est tellement différente, que même l’électronique la plus sophistiquée ne pourra pas marcher. On a intérêt à travailler avec l’électronique la plus basique dans le sens où une électronique sophistiquée aurait pour effet de corriger les avantages que notre technique pourrait produire. Par exemple, la moto, à l’arrière, ne se lèvera plus au freinage ou plutôt, elle se lèvera mais avec beaucoup plus de puissance, il faut également mettre beaucoup plus de puissance à l’accélération pour lever la roue avant…donc l’électronique va nous réduire la puissance et en conséquence, elle ne va pas nous avantager.

GPi : Et concrètement, quel gain peut espérer amener le GECO ?

Le gain au niveau de l’adhérence, on ne sait pas bien ce que ça peut donner puisqu’actuellement, les pneus sont conçus pour des suspensions qui travaillent mal ! Par exemple, si on utilise les Michelin (Avec qui nous collaborons) qui ont été fabriqués pour une 1000 : les pneus ne vont pas chauffer puisque notre suspension va être parfaite au niveau grip mécanique.

Avec notre suspension, on va pouvoir utiliser des pneus beaucoup plus tendres donc on va gagner sur l’adhérence mais aussi sur l’adhérence des pneus.

Le jour où il va faire chaud et que les autres vont devoir passer les durs et que nous, nous pourrons mettre les tendres, on pourrait, si la mise au point est aboutie, leur mettre une valise. Et puis, le jour où il fera plus froid et que nous serons obligé de mettre les mêmes pneus qu’eux, c’est nous qui allons la prendre la valise. On ne peut donc pas répondre à cette question dans ce domaine.

Par contre, sur le système à trois amortisseurs qui permet de freiner 12% plus tard et d’accélérer 12% plus fort avant le délestage, on peut chiffrer assez facilement.

Mais pour freiner plus tard, il faut aussi que le pilote en soit capable car il faut avoir du courage. Quand on a essayé le proto Tecmas qui freinait 8% plus tard, Guintoli a mis une demi-journée pour y arriver. Et j’ai tendance à dire qu’il a de la chance de n’avoir eu besoin que d’une demi-journée car d’autres n’y sont jamais arrivés.

En fait, pour pouvoir utiliser un truc comme ça, il faut un des 20 meilleurs mondiaux car le mec qui ne lève déjà pas la roue au freinage avec une moto normale, c’est évident qu’il ne va pas pouvoir freiner plus tard avec le GECO ».

Comme Eric Offenstadt vous en a parlé, avec l’aide quelques personnes, il a monté l’association PROGECO MOTO et un de ses objectifs est de permettre de récolter des fonds en toute transparence.

Si vous désirez, vous aussi, participer à ce projet et que vous avez envie d’y contribuer financièrement, il vous suffit de cliquer ici.

Si par contre vous n’avez pas envie de débourser de l’argent mais que le projet vous a enthousiasmé, vous pouvez rejoindre Eric sur la page Facebook de l’association en cliquant ici ou simplement en parler autour de vous ou encore, partager cet article ou un de ceux de nos excellents confrères que sont par exemple nos amis de Sport Bikes, de Moto Revue, de Moto-Sport Suisse…

Nous terminerons cet article inédit pour GP-Inside en présentant tout d’abord nos plus vives excuses à Eric pour avoir mis trop de temps à le publier et en vous disant que parfois, nous avons entendu les sceptiques prendre Eric Offenstadt pour un fou. Toutefois, il faut toujours avoir à l’esprit que derrière chaque grande réalisation, il y a toujours eu une grande idée imaginée par un grand penseur que souvent, les gens ont considéré comme un fou.

Eric et ses amis ont le courage de défier des années de conception classique de la moto et nous ne pouvons que lui souhaiter d’y parvenir.

Citation :: Bol d'Or : deuxième victoire consécutive de la Kawasaki N.11
Publié le 21/04/2013 à 15:11, mis à jour le 21/04/2013 à 15:12
La Kawasaki N.11 pilotée par l'équipage français formé de Grégory Leblanc, Loris Baz et Jérémy Guarnoni, a remporté dimanche la 77e édition du Bol d'Or disputée sur le circuit de Magny-Cours (Nièvre).

Déjà victorieuse l'an dernier de cette course mythique, cette ZX-10R signe son quatrième succès consécutif dans une épreuve de 24 Heures, après ses deux victoires enregistrées en 2011 et 2012 lors des 24 Heures du Mans. Elle devance cette fois de neuf tours la Yamaha numéro 7, de l'écurie autrichienne du YART, et de douze tours la Suzuki numéro 1, championne du monde en titre.

Citation :: GP Bahreïn: Vettel s'impose, Grosjean troisième

Sebastian Vettel a remporté dimanche le Grand Prix de Bahreïn, quatrième manche de la saison de F1. L’Allemand a rapidement pris la tête de la course pour ne plus jamais la lâcher, glanant ainsi son deuxième succès de l’année. Derrière, Lotus réalise une belle opération, puisque Kimi Raïkkönen et Romain Grosjean complètent le podium.

Citation :: Sebastian Vettel (Red Bull) s'impose à Sakhir devant les Lotus de Räikkönen et Grosjean

Sébastien Vettel (Red Bull) a signé sa deuxième victoire de la saison lors du Grand Prix de Bahrein, dimanche sur le circuit de Sakhir, devant les Lotus de Kimi Raïkkönen et Sébastien Grosjean. L'Allemand, triple champion du monde en titre, reste la tête du classement des pilotes après 4 courses.

Citation :: Vettel : “J'ai contrôlé la course”

Sebastian Vettel a signé sa deuxième victoire de la saison (après la Malaisie) avec une relative facilité dans le désert de Bahreïn.

Après avoir rapidement repris sa deuxième place à Alonso qui lui avait un temps subtilisée puis doublé le poleman Nico Rosberg, le pilote allemand s’est envolé, s’échappant à coup de secondes pleines lors des premiers tours suivant ses arrêts aux stands.

“C’était une course fantastique. Je dois remercier chaleureusement l’équipe qui a fait un sans-faute du départ à l’arrivée. La vitesse était phénoménale, la voiture exceptionnelle, nous avons su préserver les pneumatiques, et l’ensemble a payé. C’était très chaud au premier virage, j’ai dû céder ma place à Alonso mais je lui ai reprise très rapidement, ce qui s’est avéré crucial. J’ai finalement pu passer Nico, mais c’était assez serré. Une fois en tête, la piste était dégagée et j’ai vraiment pu creuser un écart.”

Plusieurs fois, son ingénieur de piste, le Français Guillaume Roquelin, lui a indiqué qu’il roulait trop vite, au-delà du temps de référence fixé, mais l’Allemand contrôlait ses adversaires et les pneumatiques Pirelli, dont la spécification tendre avait posé tant de problèmes aux Red Bull il y a une semaine.

“Nous sommes en bonne position au championnat. La course a été limpide. Nous avions une vitesse incroyable, à laquelle nous ne nous attendions pas. J’ai pu contrôler la course, en maintenant l’écart. J’ai même pu pousser un peu à la fin car mes gommes étaient encore fraîches.”

Grâce à cette victoire, la 28ème de sa carrière, Vettel confirme son emprise au classement général, où il possède 10 points d'avance sur Kimi Räikkönen, 27 sur Lewis Hamilton, et 30 sur Fernando Alonso, le grand perdant du week-end.

Citation :: Grosjean sur le podium : "Là où on doit être"

C'est un Romain Grosjean rayonnant qui est monté sur le podium aux côtés du vainqueur Sebastian Vettel et de son équipier Kimi Räikkönen, comme l'an passé.

"Cela fait du bien de se retrouver ici", s'est exclamé Romain au micro de David Coulthard sur le podium.

"J'ai vécu un début de saison difficile, même si j'ai terminé toutes les courses dans les points, mais la performance n'était pas vraiment là. On a travaillé dur avec le team pour mettre le doigt sur le problème et ce week-end j'ai retrouvé un bon feeling avec l'auto."

Sur le plan stratégique, Grosjean n'a pas exactement suivi le plan prévu : "On était sur deux arrêts, a-t-il confirmé, mais en partant avec un train neuf de pneus dur, je devais aller plus loin sur le premier relais. Malheureusement, des débris sur la piste m'ont contraint à m'arrêter un peu tôt, sans profiter de cet avantage. Finalement, j'ai pu revenir fort en fin de course avec les pneus tendres, et cela m'a permis de prendre le meilleur sur di Resta pour la troisième place."